Le Wiko Highway Signs avait été présenté lors du dernier IFA, en septembre, au côté d’un Highway 4G au positionnement plus intéressant. Le Signs, lui, s’impose comme sa déclinaison compacte, mais sans 4G : l’appareil mise donc plus sur un design soigné que sur ses connectivités. Et pour 200 euros, on retrouve un châssis épais de 7,7 mm, un dos vitré mais des tranches en plastique au lieu du métal vu sur le Highway standard. Le téléphone est doté d’un écran HD 720p de 4,7 pouces, d’un processeur octo-cœur signé MediaTek et cadencé à 1,4 GHz ainsi que de 1 Go de RAM. Côté mémoire, il inclut 16 Go de stockage interne et peut accueillir une carte micro-SD. Attention toutefois : cette carte mémoire partage son logement avec une deuxième micro-SIM, mais les deux ne peuvent pas cohabiter. En somme, il faudra choisir entre une extension de mémoire ou un usage double-SIM. Remarquons pour finir que comme le Tornado 348, le Highway Signs tourne sous KitKat, et propose des appareils photo de 5 mégapixels à l’avant et de 8 mégapixels à l’arrière.
Le Wiko Highway Signs s’inscrit dans la lignée d’un Acer Liquid Jade, lui aussi maître dans l’art du design, mais sans 4G, ou encore du Kazam Tornado 348 évoqué plus haut et remarquable pour sa finesse. Mais puisqu’il s’agit de Wiko, c’est par son prix qu’il s’en différencie : quand ses concurrents se trouvent à 220 euros (Jade) ou 300 euros (Kazam, en novembre), le Highway Signs plafonne à 200 euros. C’est toutefois le prix d’un Wiko Wax animé par un Nvidia Tegra 4i et compatible 4G. On devrait trouver le Signs d’ici quelques jours dans le commerce, décliné en blanc, noir, violet, bleu et rose.