Voilà, c'est plus une nouvelle qu'une fiction, en fait, c'est juste pour me booster un peu plus le derrière avec les éventuels aimants du texte.

N'hésitez pas à donner un avis sincère et construit.

Le texte, en réalité, n'est pas coupé en chapitres, mais c'est qu'il est trop grand pour être posté d'un coup, alors je le coupe.

Prodrome : Le rapport étrange.

Ce que vous allez lire ici bas n'est qu'une œuvre dont les faits contés ne sont probablement qu'une légende inculquée parmi d'autres légendes au sein du panthéon des mythes et des croyances occultes, cependant il m'a été jugé nécessaire de vous en narrer les exploits afin de prévenir contre une potentielle menace empiétant petit à petit la place sur notre planète pour surgir en ce bas-monde et d'y semer le trouble à nouveau, comme dans une époque révolue, un mythe inspiré de récits de personnes dites sensées et basée sur des ouvrages dont la lecture seule décomposerait au fur et à mesure qu'elle progresserait la lueur bienveillante d'espoir entravant l'aliénation d'une personne. Des parchemins et autres papiers sur lesquels furent, paraîtrait-il, inscrits de sombres textes capables à eux seuls de mystifier un être et d'en faire témoigner la possibilité, non pas à n'importe quel prix toutefois, d'inhaler d'étranges substances folkloriques dont l'humanité ignorerait tout, en tout temps. L'ablation quasi maléfique qui en ressurgirait ensuite pourrait provoquer dans la véhémence d'un acte barbare, l'annihilation pure et simple du genre humain, comme un autodafé effacerait les erreurs du passé sur des objets, il ne s'agirait là que d'un holocauste visant à réformer les morales humaines vers leurs plus noirs desseins, laissant place à la dépravation jadis vilipendée afin d'en bâtir un homme meilleur, plus proche de sa véritable nature monstrueuse, qui ne commettra plus d'erreur et qui sinon en paiera de lourdes conséquences. Je parle là d'un être machiavélique dont tout est dicible mais dont rien n'est connu de personne, ainsi me fut-il difficile d'en avoir quelque information sensée. Tenez vous bien, car ce qui découle de mes découvertes risquerait de faire palpiter ne serait-ce qu'un insecte s'agrippant à l'épaule du plus pâle lecteur et qui tomberait sur ces savoirs ancestraux et plausiblement interdits... Accrochez vous, la fin est peut-être plus proche que vous ne le pensez... Je vous prie cependant de ne pas me juger fou après avoir pris connaissance de ce qui suit, si jamais l'inconscience ou la curiosité animaient votre lecture.

L'homme, en tout temps, a toujours été dispersé à travers ses pensées, non pas parce qu'il est stupide, mais parce qu'il est incapable. Prédicateur d'une morale dont il ignore les origines, de laquelle ressortent de vieux rites et d'anciennes pratiques oubliées de tout ce qui est éphémère et mortel, d'une morale qui témoigne une nécessité sadique de stigmatiser dans un but dit saint, mais dont l'esprit corrèle tellement de confusions qu'il en deviendrait presque risible de parler de bonne cause, l'être ainsi appelé par lui-même suprême n'hésitera pas à s'immoler afin de pourfendre l'avilissement d'une opinion qui n'est pas en accord avec celle du prêcheur.

Pendant que la foule s'affolait à se bousculer afin d'être aux premières loges pour assister à une exécution publique par pendaison, moi, j'observais depuis la fenêtre de l'école où j'étudiais, de laquelle je voyais des tas de faîtes de par la hauteur du bâtiment où je suis situé, les murs des maisons m'apparaissaient dans une perspective différente que si j'étais face à ceux-ci, parfois blancs, teintés de taches noires ou bien totalement propres, nettoyés par les commères désignées par les bourgeois ayant les capacités pécuniaires de s'offrir la prestation de ce genre de service rabaissant et humiliant pour qui la pratique, tantôt étaient-ils colorés et pareillement tachés ou non d'une couleur n'allant absolument pas en faveur de celle du mur, de même que la forme ne tendait pas à satisfaire une envie décorative de luxure sinon une aspiration à faire pencher le regard en une autre direction. Le bas-peuple courait dans la rue principale formée en un glacis tout juste plus incliné que la normale définissant le terme, en haut duquel se tenait un gibet déjà dressé de sorte que deux personnes fussent pendues, surveillées par quatre gardes, à raison de deux par condamné, d'une allure fière et dans un accoutrement assez ridicule.

Moi, j'étais debout, à moitié étourdi par l'ectoplasme morbide qui m'appelait au dehors et qui me suppliait de l'observer prendre deux autres vies, d'une part, et dans mes notes, étant en train d'écrire une thèse sur l'Église. En effet, je me trouvais lancé dans une étude théosophique à l'université qui n'allait pas tarder à atteindre son achèvement. Je me sentais très seul dans ma classe, chacun était habité par son propre mythe auquel il se référait, une divinité qui leur servait de base de réflexion, sur laquelle chacun fut habitué à faire diverger son opinion sur un sujet ou un autre, ce qui nous faisait forcément défaut quant au fait d'avoir des liens amicaux avec les autres, ce qui, dans un sens, était une bonne méthode afin d'éviter tout détournement d'attention. Tous d'entre nous prirent une divinité lumineuse, une sainte bénédiction pour laquelle nous aurions tu notre dernier souffle dans l'espoir d'un jour voir ne serait-ce qu'un halo scintillant, un éclat luminescent venant de la faîte du ciel afin d'exaucer toutes les espérances de notre cœur. Moi, j'ai choisi celle qui porte le seing de Lumière Divine. Pourquoi ? Elle est la symbolique de la raison, de la suprématie. De cette déité naquit l'espoir, de cet espoir naquit la morale. Cette morale qui veut que nous suivions le chemin du bien et du respect. Jusqu'à ce qu'un jour, dans le bureau de mon professeur de théologie, M. Thémaus, je découvris un document, composé de feuilles de papier et d'une reliure de haute qualité pour les joindre, posé à la portée de vue de n'importe qui passerait par là, traitant d'un sujet autre que ceux qu'il eut été question au programme d'apprentissage. Indiscret et sans gêne comme je me suis appris à l'être, je feuilletai les pages pendant que M. Thémaus était parti faire un petit tour avec ses collègues, je ne savais où. Il s'agissait là d'un genre de rapport, ayant quelques attraits de récit affreux, dont certains passages hélèrent mon attention :

«Divergents de version selon la subjectivité de qui le contemple, les faits restaient là. Les terres étaient austères tel un désert, et d'un grisé jamais observé jadis. Perçu qu'un montagnard se trouvant sur place fut retrouvé affalé, les mains ensanglantées, avec un regard comparable à celui d'une créature carnassière en pleine famine, qu'il était à côté de deux flaques de sang, qu'il chignait les actes qu'il pensait avoir commis mais dont il avait une totale amnésie. Dans son émotionnelle lamentation, il assura d'un air totalement affligé qu'il n'avait rien plébiscité, et que son corps était le seul coupable, pour avoir rendu plus rapide l'arrivée du monstre. Quelques morceaux de corps, membres entiers ou partiels organes déchiquetés le long d'une petite voie tracée par les coulées sanguinolentes, décoraient le paysage antan paisible, paysage duquel l'intervention humaine fut éludée de la manière la plus exhaustive qui puisse. L'attirance inexpliquée de l'état de délabrement actuel du paysage n'est renforcé que par un vide total de végétation, et il a été entendu non loin de la contrée décrépitée que les animaux s'en sont allés soudainement, une lueur d'espoir d'échapper à on ne sait quelle malveillance présente çà. Troncs d'arbres empêchant d'escalader plus le glacis montagneux dressé face à nous et auquel se dressait un point étrange, imperceptible du fait de l'éloignement et de l'angle sous lequel nous le voyons. Mais il semblerait pourtant qu'il s'agît d'une sorte d'entrée de crypte, cependant c'est à démontrer. Sous l'arbre géant effondré à quelques mètres se dissimule maladroitement un papier étrange dissimulé par l'écorce rêche. Le papier se trouve être, après une tentative efforcée des hommes m'accompagnant d'obtenir ce papier, l'ayant partiellement arraché, un parchemin, d'un papier assez ancien, plausiblement du papyrus, peut-être étant sans compagnie, ou bien étant une partie parmi d'autres d'un livre, difficile à dire. Le papier est d'un jaunâtre orangé par les années et il n'y paraît aucun texte. Difficile par conséquent d'établir une pensée concrète à propos de cette brochure.»

C'est cool

Je me suis arrêté au premier paragraphe.

Par contre , j'ai rien à dire.

Juste : tu peux faire un prologue plus long ? :sadomaso:

Le texte complet est inachevé et est beaucoup trop long pour rentrer dans un seul message.

Ah je l'avais déja lu excellent+ Sweet!

Up à l'heure de pointe des Kévin.

Up à l'heure de soumission de sustentation des Kévin.

Up, jeunes gens.

Pas mal, tu l'as ecrite toi ou c'est un c/c? si c'est toi, bravo!

J'aime pas, sorry.

C'est bien mon chou

Ca fait mal aux yeux, fallait pas faire un triple paquet^^

C'est moi qui l'ai écrit, Jayden.

Bardin Essaie de construire un peu plus ton avis. Je préfère une critique négative construite qu'un "j'aime pas". Autant ne rien dire sinon.

Joumijoe ??

Croquidou Pourtant c'est la façon d'espacer la plus cohérente que j'ai réussi à faire, désolé.

J'ajoute, Jayden, que si c'était C/C, tu l'aurais déjà retrouvé sur Internet en en copiant un passage.

Je look + tard + bonne chance

J'ai pas les couilles de lire.

Est-ce vraiment la peine, sinon pour up, de répondre, si c'est pour dire cela ?

C'est de Nyar, ça peut être que bon.
Je vais lire ça.

Ton texte est d'une complexité quand même...

Ce n'est qu'un quart de tout le travail que j'ai fourni dessus. J'allais justement préciser à certains de se munir d'un dictionnaire.