Avant-propos.
En Mars 2010, des gros bonnets de la C.I.A décidèrent d'organiser un groupe d'hommes, dont la mission serait de traquer et éliminer Oussama Bin-Laden.
Pour trouver les meilleurs agents possibles, ils décidèrent de recruter parmis les forces spéciales des pays alliés aux Etats-Unis.
Ainsi, les gouvernements des nations telles que les Etats-Unis, L'Angleterre, l'Allemagne, l'Australie, la Russie et la France, firent un pacte dans le plus grand secret.
Ils acceptaient de prêter les hommes dont les états de services étaient les meilleurs de leurs précieuses forces spéciales, en contre-partie, ce groupe devait exécuter des missions pour aider chacun des gouvernements dans la confidence.
Après l'exécution d'Oussama Bin-Laden, ses hommes devaient remplir des missions dont les objectifs étaient les suivants :
Libérations d'otages, renseignement, espionnage, sabotage, destruction, élimination ou capture de cibles importantes, éliminations de groupes ennemis; ces hommes furent entraînés pour pouvoir exécuter les tâches les plus difficiles, et les plus risquées.
Le G.I.P était créé.
C'est cour, mais la suite sera plus longue, postez-moi vos commentaires
J'aime pas les fics.
Clap, clap, clap !! ~ ~
Des avis plus constructifs ?
DarkMallow
Posté le 31 juillet 2011 à 18:09:50 Des avis plus constructifs ?
A chier.
Voilà la suite.
Le groupe d'intervention du Pacte.
Prologue
Lundi 2 février 2012
Cinq heures du matin.
Montagnes de Gorya, Outback, Australie.
Agent Antonio Joseph As, du G.I.G.N Français.
La Der' des Ders'.
La porte latérale de l'hélicoptère BlackHawk s'ouvrit. Soulevée par les rotors de l'appareil, une bourrasque de sable clair s'engouffra dans l'appareil et je sentis les légers grins de sables me piquer les yeux.
Je sautais par la porte et me réceptionnais un mètre plus bas.
Epaulant le fusil d'assaut HK416 que je portais en bandoulière, je m'agenouillais pour balayer l'horizon avec la lunette ACOG de mon arme.
On ne savait pas ce que les instructeurs nous avaient préparés pour notre dernière exercice, celui qui déterminerait si ou non, j'intégrais le G.I.P.
Une main gantée me tapota l'épaule, c'était Tarkov, le soldat du Spetsnaz Russe. Le seule Russe de l'équipe d'ailleurs, les instructeurs s'arrangeaient toujours pour que les Russkov n'atteignent jamais l'exercice final en leur rendant la vie particulièrement difficile, mais ce Tarkov était un dur à cuir.
- Zone sécurisée, on peut y aller As, me dit-il avec son accent à couper à la Kalashnikov.
(Je sais que l'expression ''couper à la Kalashnikov n'existe pas, mais bon, aller vous faire foutre, vous me forcez à écrire mon histoire pour remplir vos jolies petites archives secrètes du Pentagone, alors que j'vous ai bien prévenu que j'ai aucun talent de rédaction !)
Aussitôt qu'il m'ait annoncé que la zone était propre, je me levais et me dirigeais vers le Sergent-Major Jonas, de la Delta-Force.
Le reste de l'équipe avait fait un demi-cercle autour de lui.
En parlant de l'équipe, je me demande à quel môment de mon foutu rapport je vais les présenter... bon, allons-y.
Tout d'abord, le Lieutenant Douglas, de la Delta-Force, grand ami du Sergent-Major Jonas. Un type aux épaules si larges que... que... bref.
Ensuite, William Polasky, du Special Air Service anglais, ce roastbeef était toujours aussi blanc qu'un caché d'aspirine et avait toujours un épais cigare vissé sur les lèvres.
L'agent VonderHayven, du GSC allemand (vous vous en doutiez, vu le nom...) ce type aussi mince qu'une allumette avait la manie de parler tous le temps et de balancer ces blagues à l'humour noir que j'appréciais particulièrement.
Vient le Navy Seal, Paul Wesson, un black d'un mètre quatre-vingt dix qui ne causait jamais.
Puis Tarkov, mon meilleur pote, rejeté par tous, sauf moi car j'ai toujours apprécié les Russes ( ou les rejetés, je sais pas).
Et en dernier moi, le français, que dire sur moi ? Bah, si vous, le rat de bibliothèque de la C.I.A, plongez dans la lecture de mon rapport, sans doute qu'au préalable, vous aurez lu mes états de service.
Retournons à nos moutons, le Sergent-Major Jonas s'apprêtait à nous faire son topo habituelle.
- Soldats, l'heure est arrivée, je vous rappelle que nous sommes à quatre milles mètres d'altitude, enfilez vos marsques à Oxygène, celui qui fait un malaise est abandonné sur place, c'est triste mais ne comptez pas sur moi pour vous aider, alors enfilez-les biens.
Nous nous exécutâmes sur le champ, avant qu'il ne reprenne.
- Bon, récapitulons, nous sommes sur une montagne de quatre milles mètres de hauteur, nous allons entâmer la descente jusqu'au plateau numéro six pour nous engager dans le maquis, n'oubliez pas que s'est bourré d'ennemis, un détachement de marines est sur les lieux, utilisez vos tasers ou vos poings pour les assommer discrètement, nos fusils crachent des billes de peinture type munitions simulées, ça fait mal d'accord. Mais ils font du bruit quand même, alors ne les utilisez qu'en dernier recours. On doit rejoindre le chalet en position Echo pour récupérer les vélos et les parachutes . Une fois qu'on les a, on rejoints la route dix-huit qui descend jusqu'à la falaise pour le saut en parachute. Si vous ne vous tuez pas pendant la descente à velo, peut-être que le saut en parachute le fera. Une fois que vous avez gagné le lac artificiel, nagez jusqu'à la plage, on se retrouve en position Tango. Une fois là-bas, les instructions suivront.
Le programme prévoyait que nous ne soyons prévenus de la mission qu'au tout dernier môment, pour tester nos capacités d'adaptation.
En deux minutes, je venais d'apprendre que j'allais me battre dans la fôret artificielle d'un plateau montagneux, que j'allais faire en vélo la descente de ma vie à flanc de montagne, que j'allais sauter d'une falaise haute de trois milles mètres et que j'allais nager dans un lac où sans doute, des marines en bâteau m'attendraient.
Et c'était que le début.
A SUIVRE...
Houla zeus tu sais vraiment pas à qui tu parles
J'en ai juste marre, j'dis des conneries, je le pensait pas.
Marre de quoi ?
Si tu lis ma suite et que tu donnes un autre commentaire, je te pardonne
La vie...
Dark +> J'aimerais qu'une autre personne me pardonne...
Bin-Ladden ?
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Faut pas respirer de la compte, ça fait tousser.
Ah okay, je n'approfondirais pas plus d'investigation.
Oui, c'est soit Ben, soit Bin, moi je dis Bin, comme les Américains
Tu as compris Magnificient?
Sweet
Mon meme en :bave plus
Je pense être surtout dans le même cas que toi...Mais j'essaye de prendre la vie coté Coca-Cola !
Pas moi. Bon je stop le blabla...
Quelque soit la situation, dis-toi qu'il y a toujours plus de positif que de négatif
Enfin, la plupart du temps
Ouais aller arrêtons les jérémiades !