Salut

Voilà, les résultats du concours qui s'est déroulé au lien suivant sont arrivés

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-15-29959461-1-0-1-0-concours-qui-sera-le-meilleur.htm

Je n'ai reçu que 5 participations, j'éspère que vous serez plus nombreux la prochaine fois

A savoir que les places suivantes rapportent :

1er - 50 pts
2è - 30 pts
3è - 20 pts
4è - 10 pts
5è - 5 pts

Chaque tour je publierais les 3 meilleures

C'est parti ^^
En 5ème position, CalvinNHobbes
En 4ème position, Great-Wolfing

En 3ème position, Kludd ! Voici son texte.

"Une femme blonde aux yeux bleus se tenait debout, devant moi, avec un sourire aux lèvres. Je regardais tout atour de moi. Je me trouvais dans une petite pièce dont les murs étaient peints en blanc. La seule issue était une petite fenêtre bien trop étroite pour moi, seule source de lumière. Je m’en approchais afin de regarder de l’autre côté. J’y vis des collines verdoyantes, avec quelques bocages çà et là. Je me retournai et aperçu une radio posée dans un coin. Elle était rectangulaire et semblait plutôt vieille. La femme me souriait toujours… Je restais quelques minutes ainsi, tentant de retrouver un semblant de lucidité. J’étais dans une pièce de 10 ² avec une femme et une radio, sans porte avec une petite fenêtre située à au moins 10 mètres du sol et juste assez grande pour laisser passer un gros chat. Il y avait là de quoi douter de la réalité, pourtant je sentais bien que je ne rêvais pas.

Je m’approchai de la radio et la pris dans mes mains. Je l’allumai, mais apparemment elle ne captait rien du tout. Je la bidouillais tout de même pour essayer d’entendre quelque chose, et j’entendis une voix quelque peu hystérique, sur la fréquence 107.3 :«Aux dernières nouvelles, les Villes de New-York, Londres et Berlin auraient été rasées. Il est fortement déconseillé de sortir de votre domicile, sauf en cas de force majeur. On pense que les vaisscrrrrchhhhhhhhhhh… »

La communication s’arrêta là, car la fille avait bondit avec une agilité surhumaine et détruit la radio avec une force qu’on ne lui soupçonnait pas. Elle me regarda, toujours avec son sourire mystérieux, et pour la première fois elle m’adressa la parole :

-Vous n’avez pas besoin d’entendre ces choses-là.

- Comment ai-je atterri ici ? Lui demandais-je. J’aurais pu lui poser d’autres questions comme « Qui êtes vous » ou « Que me voulez-vous ? » mais ce fut elle qui me vint à l’esprit la première.

- Tsss Tsss. Vos connaissances en matière de physique sont vraiment ridicules. Comparé à nous, vous en êtes encore au stade de frapper des cailloux entre eux, fit-elle avec un petit rire moqueur.

Je ne répondis rien. J’étais un grand fan de films de science-fiction avec des histoires d’aliens qui envahissent la planète, mais jamais je n’aurais cru que ça arriverait en vrai. La « femme », bien que j’avais commencé à douter que c’en était une, sortit de sa poche un petit objet de la taille d’un Rubik’s Cube et le posa à terre. Quelques secondes plus tard il projeta un faisceau de lumière rouge sur le mur et celui-ci s’évapora instantanément, dévoilant un escalier en colimaçon. La fille me fit signe d’entrer. Je lui obéis sans hésitation, encore tout ébahi par ce qui venait de se produire. Je n’étais quand même pas devenu fou ?

Après avoir descendu l’escalier –ce qui me sembla durer une éternité- nous arrivâmes dans une pièce bien plus éclairée et bien plus grande que la précédente. Je fut stupéfait devant le spectacle qui se déroulait devant mes yeux : J’avait devant moi une sorte de salle de contrôle, mais qui ne devait rien contrôler de très humain… Des machines que je n’avais jamais vues auparavant, à peu près comparables à nos ordinateurs, étaient alignées, il y en avait plusieurs rangées. Devant chaque machine un « pseudo humain »qui appuyait sur toute sortes de bouton en marmonnant des phrases incompréhensibles. Je tournai la tête pour regarder la femme que j’avais vue tout à l’heure. L’image que j’avais d’elle se troublait, comme un hologramme. Je ne la distinguait presque plus lorsqu’elle appuya sur un bouton –il me sembla que c’était un bouton- et son image fut à nouveau nette. Elle me fit signe d’avancer. Je traversai la salle en sa « compagnie » jusqu'à arriver à une porte. Elle s’ouvrit toute seule et dévoila une sorte de portail dimensionnel, grand comme l’encadrement de la porte. Je fus poussé dans sa direction et le traversai.

Je réapparu dans un endroit qui ressemblait vaguement à une salle de tortue, avec un siège avec des liens entouré de toutes sortes de couteaux, armes et autres seringues. Deux robots qui me rappelaient incroyablement les robots de Terminator entrèrent, me prirent chacun par un bras et m’attachèrent à la chaise. L’un deux pris l’une des seringues qui contenait un liquide verdâtre et me la planta au niveau de l’avant bras. Je tombais alors dans un sommeil profond…

Lorsque je me réveillai, je me trouvai dans une pièce blanche avec pour seule ouverture une fenêtre étroite, et une femme blonde aux yeux bleus se tenait debout, devant moi, avec un sourire aux lèvres. Une radio plutôt vieille se trouvait dans un coin de la pièce…"

En 2ème position, Lydie-x3 ! Voici son texte.

"Ce fut un grésillement à vous percer les tympans qui me réveilla en sursaut. J'ouvris les yeux et m'assis en frottant mon dos douloureux. Rien d'étonnant à cela: Je dormais à même le sol... Tandis que je me frottais les yeux pour les habituer à la luminosité, bien que faible de la pièce, le grésillement qui m'avait réveillé diminua de volume. Je me tournai vers sa source, et entrevis une femme. Je ne la voyais pas très bien, car je voyais encore flou, et la seule source de lumière, qui était une fenêtre, se trouvait derrière elle. Je pus néanmoins remarquer qu'elle semblait jeune, et que ses longs cheveux blonds foncé tombaient partout autour de son visage. Elle était à genoux sur le sol, et bidouillait quelque chose à sa gauche. J'essayai de me souvenir, mais elle ne me disait rien. Elle ne semblait pas avoir remarqué que j'étais réveillé. Je me raclai gorge, mais l'effet ne fut pas vraiment celui que j'attendais. Elle sursauta, et se leva précipitamment en se tournant vers moi. Elle posa sa main sur sa poitrine, et reprit son souffle.-
- Q-Qui êtes-vous ? Demanda-t-elle en me regardant d'un air effrayé.
Je soupirai. J'avais du mal à imaginer qu'elle ne m'avait pas vu. Même endormi, je n'étais pas le genre d'homme à passer inaperçu. Je portais un pantalon en jean noir, mais mon sweat-shirt était vert vif... Je me rendis soudain compte qu'elle m'avait posé une question.
- Je m'appelle Damien. Damien Vingue.
La jeune femme ne répondit pas. Elle se laissa lentement glisser le long du mur, et se rassit.
- Et vous ? Ajoutai-je, souhaitant connaître au moins son nom.
- Louise... Ducran...
Sa voix semblait évoquer une certaine timidité. Je voyais bien qu'elle essayait de combattre cette timidité, mais je suppose que ce n'était pas facile. Je n'avais pas ce problème. J'étais quelqu'un de très sociable et extraverti, mais j'avais d'autres défauts contre lesquels j'essayais de lutter tous les jours, et je savais que c'était difficile. Par exemple, j'étais très maladroit, et devais continuellement faire attention à chacun de mes gestes, pour éviter de commettre une catastrophe... Mais en fait, n'avais-je pas autre chose à penser ? Je réalisai alors que je me trouvais dans une espèce de pièce vide, avec une femme que je ne connaissais absolument pas... Et d'ailleurs, comment m'étais-je retrouvé ici ? Oh mon Dieu ! Je n'en avais aucune idée...
Je me plongeai dans une intense concentration, et essayai de me souvenir de ce que je faisais... Voyons... Je m'étais rendu à Paris, en prenant le TGV. Je me souvenais d'y être arrivé. J'étais même avec ma petite sœur, Natacha. Nous étions fins heureux, car nous étions en route pour la Japan Expo. La Japan Expo ! Pourquoi, pourquoi cela m'était-il arrivé ? J'avais enfin pu m'y rendre ! Je me souvenais parfaitement être arrivé à Paris, mais je n'avais aucun souvenir de cette Expo... Peut-être n'y étais-je même pas parvenu ? Je déduis donc que j'étais arrivé à Paris, où personne ne me connaissait, et que j'avais disparu de la circulation en me rendant à la fameuse Japan Expo...
- Oh mon Dieu ! Ne pus-je m'empêcher de m'exclamer. Il faut absolument que je sorte d'ici avant la fin de la Japan Expo !
Je plaquai ma main contre ma bouche en me rendant compte que j'avais dit cela à haute voix. C'était aussi un de mes défauts: Je disais souvent ce que je pensais, et la plupart du temps sans m'en rendre compte.
- Vous alliez à la Japan Expo ? Me demanda Louise d'une petite voix.
- Oui... Avec ma sœur... Oh ! Natacha !
Ma bouche s'ouvrit en grand, et je ne pensai même pas à la refermer. Qu'était-il arrivé à Natacha ? Peut-être était-elle aussi enfermée dans une pièce comme celle-ci ? Ou alors, encore pire, peut-être qu'elle était en train de s'éclater à la Japan Expo !... Au fait...
- Vous alliez à la Japan Expo ? Demandai-je d'un air avide à Louise.
- Oui... Mais je n'ai pas eu le temps d'y arriver.
- Que vous est-il arrivé ?
- Eh bien... En fait, je ne sais pas trop. Je marchais dans une rue déserte, et puis... Je ne me souviens de rien...
Elle baissa les yeux. Je savais que cela était typique des personnes timides, et j'y étais habitué: mon ex était un peu comme elle.
Louise se retourna vers l'objet qui grésillait. Je me penchai un peu sur le côté, et pus reconnaître un vieux poste de radio. Louise tourna le bouton, et sourit en entendant la voix d'un présentateur.
- Nous sommes actuellement à la Japan Expo. C'est plein de monde. Nous sommes près d'un stand qui vent des mangas. Hmmm...
- Alors là, François, vous venez de prendre le meilleur manga au monde. Regardez, il n'y en a déjà plus qu'un. Je ne le connais pas, mais à priori, il a plu à pas mal de gens...
Dégoûté, je me bouchai les oreilles. N'avaient-il que ça à faire que de parler de cette expo à la radio ? Et moi qui en étais privé !
Louise se leva, et regarda par la fenêtre. Je m'en approchai.
- Oh !
Une fois de plus, cette exclamation m'avait échappé. Nous étions au milieu du rien, ou du moins c'était l'impression que j'avais. Il y avait de la neige sur le sol à des kilomètres, et rien d'autre... Je frappai la vitre. Elle était très solide. J'échangeai un regard avec Louise. Je pus me rendre compte que ses yeux étaient bleus. Ils étaient plutôt beaux: Ils étaient bleus clair, entourés d'un cercle plus foncé. Ils étaient comme ceux de Natacha. Elle me sourit maladroitement. Je me laissai tomber sur le sol. Qu'allai-je devenir ? Et qu'est-ce que je fichais ici d'abord ? Personne ne pouvait me l'expliquer !
C'est à cet instant qu'un homme surgit de nulle-part.
- Ha ! Vous êtes enfin réveillés !
Je me frottai les yeux. L'homme qui se tenait en face de moi était habillé d'un manteau rouge, et portait une longue barbe blanche.
- P-P-P-P-P-P-Père Noeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeel ! M'écriai-je.
Une terrible peur m'envahit alors. Cela vous surprend peut-être ? Je suis terrifié par le Père Noël. Alors que la plupart des enfants l'adorent, moi, il me fait ressentir une peur atroce. Lorsque j'avais quatre ans, je me promenais en ville avec mes parents, et j'avais vu un homme déguisé en Père Noël commettre un meurtre, juste sous mes yeux. Il avait assassiné un couple de passants, et avait commencé à s'approcher de nous. Mon père m'avait pris sur ses épaules et avait couru, mais ma mère ne nous avait pas suivis. Et je ne l'ai jamais revue... Mon père ne m'avait jamais dit ce qui lui était arrivé, mais je ne suis pas idiot, et même si je n'avais que quatre ans, je savais parfaitement que c'était ce faux Père Noël qui lui avait fait du mal.
Bref, vous comprendrez peut-être plus facilement ma réaction: Je me reculai contre le mur, comme si le voulais m'enfoncer dedans, et des larmes se mirent à couler sur mes joues. Mes lèvres tremblaient. Mon coeur battait comme ce jour, il y avait seize ans, comme s'il voulait traverser ma poitrine. Je me mis à trembler comme une feuille. Ma vue se troubla, et je vis vaguement Louise se jeter dans les bras du vieil homme. Ma bouche s'ouvrit, j'inspirai un grand coup. Pour quoi faire ? Peut-être voulais-je lui crier de ne pas s'en approcher. En tout cas, je ne sus pas ce qu'il lui arriva, car je sentis mes jambes se dérober, et je glissai le long du mur, totalement inconscient, tandis qu'à mes oreilles retentit vaguement un cri, très lointain... Louise !...

Ce fut un grésillement à vous percer les tympans qui me réveilla en sursaut. J'ouvris les yeux et m'assis en frottant mon dos douloureux. Rien d'étonnant à cela: Je dormais à même le sol...
Je soupirai. J'étais simplement en train de faire un cauchemar... Qui aurait pensé que le Père Noël me hanterait encore, seize ans après ? En tout cas, j'étais en sécurité ! Tandis que je me frottais les yeux pour les habituer à la luminosité, bien que faible, de la pièce, le grésillement qui m'avait réveillé diminua de volume. Je me tournai vers sa source, et entrevis une femme. Je ne la voyais pas très bien, car je voyais encore flou, et la seule source de lumière, qui était une fenêtre, se trouvait derrière elle. Je pus néanmoins remarquer qu'elle semblait plutôt âgée, et que ses longs cheveux noirs et bouclés tombaient partout autour de son visage. Elle était à genoux sur le sol, et bidouillait quelque chose à sa gauche..."

Et en première position, félicitations à lui, Adge ! Voici son texte.

"Mais... Où suis-je ?... J'étais allongé sur le sol, je m'assis, puis frottait lentement ma tête douloureuse avec ma main gauche...Après 10 minutes qui me parurent interminable,
je repris petit à petit mes esprits, et je me suis rendu compte que je me trouvais dans une pièce qui m'était inconnue. Les murs étaient tapissés de noir, une fênetre ornait le
mur du fond, protégée par des barreaux de fer à l'interieur de la pièce, et derrière laquelle il y avait une source de lumiere. Dans cette pièce étrange, il y avait une radio
posée sur le sol, et une silhouette, tapis dans l'ombre. Cette silhouette, était celle d'ue femme, d'une vingtaine d'années environ, elle avait l'air de profondement endormie.
Je me mit a chercher comment j'étais arrivé ici, mais je n'eu en réponses que de vagues souvenirs, sans aucun sens, enfin, je croyais... Je me souvenais de m'être réveillé,
comme d'habitude, pour une dure journéee de travail, dans la boite où je travaillait depuis 5 ans. Je suis allé, comme tout les matins, prendre ma douche... Les souvenirs revenaient petits à petit, et je me souvenait maintenant qu'après m'être préparé, je suis descendu prendre mon petit déjeuner, et après, plus rien. Le vide... Que m'est-il
arrivé ensuite ? Comment m'a-t-on trainé jusqu'ici ? Et surtout, qui peut bien vouloir me faire ça ? Je n'avais pourtant pas d'ennemis au travail, enfin, pas que je sache...
Un baillement me sortit de la rêverie, la jeune femme venait de se reveiller. Aussitôt, je lui demanda si elle savait ce qui lui était arrivé.
<< Je ne sais pas... Mais, qu'est-ce que je fais ici ? Et, qui êtes-vous ? >>
Je lui raconta ce qu'il m'était arrivé. Elle me dit ensuite que ces souvenirs étaient eux-mêmes flou, et qu'elle a perdu conscience pour une cause aussi impropable que la
mienne, en faisant la vaiselle... Elle ajouta aussi qu'elle était célibataire, tout comme moi, qu'elle avait quitté une semaine avant son copain, parce qu'elle le trouvait "
trop violent ". Moi, je n'ai jamais eu de copine, mais je venais de me rappeler que j'avais eu quelques querelles avec le voisin du dessus, rien d'important, des petits souçis
de tapage. Nous pensions donc, Hélena ( ainsi s'appelait la jeune fille ) et moi, a un enlevenement, mais dont nous ignorions la cause, ainsi que la personne capable de cet
acte. Après dix minutes de reflexions, je me leva, puis m'approcha de la radio, radio tout a fait banale d'apparance. Je suivi le fil du regard, il s'arrêtait devant une prise
éléctrique, instinctivement, je brancha le fil. La radio émit un grésillement, celui que fait toute radio qui cherche une fréquence. Après une dizaine de secondes, une voix retentit, a mon étonnement :
<< Georges Porsh, Hélena Julian, vous avez été amené ici dans un but précis, qui vous sera dévoilé dans les prochaines heures. Vous subirez pendant ces vingt quatre heure
plusieurs épreuves. Chaque épreuve en enclenchera une autre une autre, vous aurez pour chaque épreuve 1 heure, a partir de la fin du message, le chrono sera enclenché. La première étape consiste a sortir de la cellule AF-54. Vous disposerez ainsi d'un tournevis cruciforme, situé à l'interieur de la radio. Ce tournevis vous permettra de démonter la prise éléctrique. C'est tout pour les informations de cette première étape. Si vous décidez , ou ne parvenez pas à réussir cette épreuve dans le temps réglementaire, vous en
subirez les conséquences. Bonne chance... >>
Hélena commençait a paniquer, je sentis mon coeur s'accelerer, mais je pris sur moi et tentas de rassurer la jeune femme. Cinq minutes après, Hélena s'était calmée, et je puis m'attaquer a la tâche qui m'attendait, même si le message radio était plutôt étrange, les mots " vous en subirez les conséquences " ne me rassuraient guère, je me sentais donc obliger d'éxecuter les ordres de l'étrange voix. Je débrancha la radio, puis assena un coup de pied puissant, assez puissant pour briser la radio en deux parties, et, parmi les composants éléctriques, je trouva un petit tournevis cruciforme. Je le pris, c'était un tournevis cruciforme banal, composé d'un manche noir et jaune. La question que je me posais était : Comment ont-ils réussi a introduir cet outil dans une radio ? Etrange... Mais le temps n'était pas au questions. Je me raprocha de la prise éléctrique, enleva le cache, puis commença a dévisser les quatre petites vis. Je n'avais jamais touché à une prise éléctrique, mais la manipulation m'avait l'air plutôt simple. Après avoir retiré les vis, je retira le boitier, puis découvrit, sans étonnement, des fils éléctriques. Mais ce qui m'étonna, c'est qu'en tirant sur ces fils, les fils cedèrent sans aucune difficulté, et derrière ces fils se trouvait un caisson, dans lequel j'aperçu une scie à métaux ainsi qu'une marteau. Le souçis, c'est qu'ils ne passaient pas vraiment par l'embouchure de la prise. Après deux minutes de me reflexion, je me rendis compte que les murs n'étaient simplement constitués de placo, ce qui est relativement facile à casser.
Je me leva, puis donna un coup de pied assez puissant pour casser une petite partie du mur, et les outils étaient maintenant accessibles. J'enfonça donc ma main à l'interieur
du trou que j'avais crée dans le mur, puis retira les deux outils. Je leva la tête, j'étais fier de moi, mais le plus dur restait à faire. Je leva la tête, regarda Hélena, elle
avait les yeux rouges, mais me fit un petit sourire. Je lui répondit par un hochement de tête, puis me leva. Je traversa la pièce pour m'approcher de la fenêtre, les outils en
main, les barreaux me semblait assez solide, ce qui ne me facilitait pas la tache. Je commenca à scier le premier barreau, il me fallut dix minutes pour le scier entierrement.
Je m'attaquait ensuite au quatre autres, en faisant une pause de cinq minutes entre chaque. Au bout d'une heure environ, j'avais scié tout les barreaux, je pris donc ensuite le
marteau, puis frappa un grand coup sur la vitre, qui ceda immediatement. Au bout de quelques coups, il n'y avait plus aucun bout de verre pointu sur les bords. Je frotta mon
front en sueur, fier de ce que j'avais accompli, et ne manqua pas de le faire savoir.
<< Helena, venez, j'ai fini, nous pouvons passer. >>
Elle se leva d'un pas lent, puis me rejoigna, elle s'approcha de la fenêtre, puis me fit signe de passer en premier. La fênetre m'arrivait au niveau du genou, je n'eu donc aucun
mal à l'escalader. Aussitôt passé de l'autre côté, je me rendis compte que la source de lumière que j'avais vu n'était en fait qu'une simple lampe, dont l'ampoule commençait à
faiblir, j'eu un soupir de découragement. Je baissa ensuite la tête, pour découvrir avec étonnement la pièce dans laquelle je me trouvait, un long couloir, tapissé également de noir, orné de quelques lampes, dont les ampoules avaient l'air de toutes faiblir, et n'ayant comme sortie possible l'unique porte qui se trouvait au fond du couloir, un porte
blanche. Je me retourna pour aider Hélena à monter, puis, en voyant l'étrange pièce dans laquelle nous étions, se remit à sangloter doucement. J'essaya de la réconforter, de lui
dire que tout aller bien se passer, que nous allions nous en sortir. Elle me repondit pas un long hochement de tête désespéré. Je me mit à avancer, en demandant à la jeune femme
de me suivre, elle acquiesa, puis me suivit. Nous marchions donc dans le couloir, vers cette porte blanche, et au fur et à mesure que nous avancions, je vit des inscriptions
noirs apparaître sur la porte, je n'arrivais pas encore a distinguer ce qui était écrit, mais je continua d'avancer. Je regardais Héléna, elle semblait aussi avoir vu ses mysterieuses inscriptions. Après deux minutes de marches, qui parurent interminables dans ce couloir, nous arrivèrent devant la porte. c'était une porte qui semblait basique,
mais ne possédait pas de poignée, ce que je trouva étrange.Je revela la tête, pour lire ce qui était inscrit sur la porte, je vis enfin ce qui était écris dessus, les inscriptions me firent frissoner : << Vous avez vingt minutes pour tenter de passer de l'autre côté de cette porte, si vous n'y parvenez pas, vous mourrerez dans d'atroces souffrances >>.
A la vue de ce message, Héléna se mit a sangloter de plus belle, et moi, commença serieusement à m'inquieter. Mes jambes commencèrent à trembler, mes dents claquerent, un
claquement que rien ne semblait pouvoir arrêter. Je regardait autour de moi, et aperçut un chronomètre qui venait de se déclencher au dessus de la porte. Il indiquait maintenant
dix huit huit minutes. Je commenca à m'affoler, à chercher une solution. Je pensa d'abord a donner un violent de coup de pied dans la porte, si ca se trouve, la porte n'était pas si solide qu'elle en avait l'air. Je recula d'un pas, puis donna un violent coup de pied a la porte, qui ne bouga pas, c'était comme si je n'avais rien fait. Je refléchis donc à une autre solution, et pensa directement aux outils, que j'avais laissé dans la première pièce. Je prévena Hélena, puis courut en direction de la fenêtre que j'avais cassé dix minutes auparavant, pour récuperer le marteau ainsi que la scie. Je vit les murs défiler, et j'eu l'impression de courir comme j'avais j'avais couru. J'arriva enfin devant la fênetre brisé, puis passa à travers, pour rentrer dans la cellule " AF-54 ". Je retrouva le marteau et la scie, que je pris dans mes mains, puis pensa a la prise éléctrique que j'avais démonté, je posa les outils, puis alla jeter un coup d'oeil par le trou de la prise éléctrique, mais je ne trouva rien qui puisse m'aider. Je repris les outils, repassa par la fênetre, puis couru en direction de la porte. Le compteur affichait maintenant cinq minutes. Je posa la scie à métau, doutant qu'elle me serve à quelque chose, puis prit le marteau. Je frappa un gros coup sur la porte, un petit impact se créea, mais sa ne suffisai pas pour casser la porte. Le compteur indiquai maintenant deux minutes, la sueur coulait à grosses gouttes de mon front, je tremblai de plus belle, mon coeur battait presque à en rompre. Je cherchai à tout prix un moyen d'offrir cette foutu porte, et les inscriptions me hantait, ces mots repassaient dans ma tête, << vous mourrez dans d'atroces souffrances >>. Il restait maintenant plus que dix secondes, je me suis dit, ça y est, c'est la fin. et je regardais une dernière fois Hélena, elle avait les joues rouges, et des larmes coulaient abondament de ses joues. Cinq, quatre ,trois, deux un... Bip, bip, bip, le chronomètre affichait désormais l'horrible inscription : " 00:00:00 ". Les " bip " retentissaient dans ma tête, de plus en plus intensement, je ne voyais plus que du rouge désormais, je sentais mon coeur qui allait exploser, quand tout à coup... J'ouvrit les yeux, mon coeur avait repris sont rythme normal, la sueur ne coulait plus de mon front, mais les " bip " retentissaient toujours, je regardais d'où ils venaient, ils venaient de mon reveil, et j'étais dans mon lit...

Classement général

1 - Adge 50 pts
2 - Lydie-x3 30 pts
3 - Kludd 20 pts
4 - Great-Wolfing 10 pts
5 - CalvinNHobbes 5 pts

Voilà, à la prochaine pour une nouvelle interro de français

Ciao

Bonne chance

Sympa, bien que prévisible.

GG Adge + jerry TheJungle qui a rien compris

Il est toujours temps de participer pour le prochain ? J'ai oublié d'envoyer pour le premier.

GG Adge *

Wouhou avant-dernier

Bravo aux autres participants.

Bravo pour ton classement, toutes tes lectures, et j'espère que yaura d'autre concours !

C'est le plus gros pavé qui gagne en gros ou quoi ?

Je vais organiser le prochaine ça vous aurez pas d'excuses

first page

Je vais faire le prochain ce WE, comme ça pas d'excuses

Désolé, Bug.

Bravo aux 3 premiers, et plus particulièrement à Adge.

Bravo

Celui de Kludd gère.

GG Adge.

Dans la prochaine je participera peut-être.

GG à Adge !

GG à Adge, je m'impliquerai peut-être dans le prochain si le thème me plaît.

Gg a vous !!