Tant mieux, ça fera plus de liens, et donc plus d'histoire. C'est toujours un plus.

Par contre, je crois que je vais continuer le RP à la troisième personne. J'hésite encore...

Comme tu veux, c'est toi l'auteur.

Désolé pas encore eu le temps de lire la partie 2. Mais j'aime bien à la 3ème personne
après c'est toi qui voit.

C'est juste que je sais pas si ça fera pas bizarre d'un coup que ça passe de la première à la troisième... Mais je suis juste plus à l'aise avec la troisième

• à la 1ère personne je voulais dire.

Désolé du double post

Je me trouvai devant une porte immense, d’un métal magnifique, proche du platine avec écrit en gros dessus « Brick-à-Braque ». Une question me taraudait… Comment l’ouvrir ? J’essayai de pousser mais rien ne se passait, évidemment. Alors je me suis demandé : peut-être que les seuls admissibles ici sont ceux qui arriveraient à ouvrir cette porte ? Que nenni ! Un petit coup d’œil sur ma droite et je vis, encastré dans cette forteresse, une entrée beaucoup plus facile d’accès et surtout accueillante. Je ne tardai pas à m’y précipiter pour enfin découvrir l’intérieur. A peine le pied sur la moquette divine, la beauté des lieux me laissaient pantois. La salle d’accueil était immense, des comptoirs étaient présents en face de moi, prenant une large partie de la pièce. Sur ma droite se trouvait une autre porte immense tout aussi solide que la principale mais d’une taille modérée. Il n’y avait pas non plus de poignet ce qui laissait entendre qu’il fallait de la force pour l’ouvrir. A ma gauche, c’était autre chose, ça ressemblait à une salle d’attente. En effet, il y avait des chaises avec des magazines sur des petites tables. Un rideau semblait servir de porte, c’était assez contradictoire quand on regardait de l’autre côté. De chaque côté de la pièce, il y avait des escaliers permettant de monter aux étages supérieurs et un ascenseur qui n’était cependant disponible que du côté droit. On se croyait tout de même dans un palais avec ses pylônes, le rouge prenant le pas sur d’autres couleurs comme le gris métallisée ou le bois, entre autres ainsi que des décorations d’une beauté magistrale.

Après m’être remis de mes émotions, je m’avançai au premier comptoir où un réceptionniste me reçut, enfin, devait me recevoir. En effet, c’était un Clap-Trap avec un bel habit de majordome, du moins ça y ressemblait mais celui-ci semblait désactivé bizarrement. Je toquai légèrement son blindage comme pour le réveiller, ce qu’il fit. La lumière de son œil principal s’alluma et m’adressa la parole :

- Hey ! Ca va pas de réveiller les gens comme ça ?

Je restai stupéfait devant une telle mauvaise foi, n’était-ce pas son métier d’accueillir les visiteurs ? Remarque, il n’y avait personne à l’intérieur, j’étais seul. Il ne devait pas y avoir beaucoup de visiteurs tous les jours. Je lui répondis alors, poliment :

- Je m’appelle Gabriel et je cherche à devenir un mercenaire comme les légendaires Brick et Roland.

Le robot me regarda d’un œil et m’indiqua avec ses bras de fer les caisses à ma gauche. Je me déplaçai d’un cran et il me cria :

- Non tout au bout ! Nom d’une télé en noir et blanc, c’est qui cet énergumène ?

Je ne connaissais pas bien les Clap-Trap sauf celui se trouvant à Fyrestone. A chaque fois que quelqu’un s’approchait de lui pour lui parler, il ne bougeait plus. C’était un blagueur, je l’aimais bien. Malheureusement pour lui, à force de rester perché en haut à rien faire, il se rouilla. Il garda tout de même son sens de l’humour jusqu’à ce qu’il perde toute sa batterie et s’endorme à jamais. A ce que je vois, même les Clap-Trap peuvent prendre la grosse tête. Je me dirigeai alors à la dernière caisse, la plus proche du rideau pour ceux qui me suivent pas, et me retrouvai devant un autre Clap-Trap endormi. Je fis tapoter mes doigts sur le comptoir en attendant qu’il se réveille, ce qui n’arriva pas évidemment. Je retournai alors voir mon ami et lui demanda :

- Excusez-moi… Comment je réveille votre collègue ?

- Ben comme tout le monde, on l’appelle et s’il se réveille pas on le secoue. Tu vis où ? Dans une grotte ? Laisse-moi j’ai du travail !

Je le laissai tranquille avant qu’il essaie de m’assassiner. Je me retrouvai une nouvelle fois devant le Clap-Trap endormi et essayai de l’appeler. Comme par hasard, il ne répondit pas. Je le secouai un peu mais rien n’y faisait, même un petit coup sur son épaule ne le réveillait pas. Je perdai patience, et gueulai :

- TU TE REVEILLES CLAP-TRAP DE MES DEUX ?

Puis tout d’un coup, tous se réveillèrent en sursaut, regardant devant eux et répliquèrent en même temps, comme si c’était programmé :

- Bonjour cher(s) visiteur(s) !

Evidemment, qu’un seul allait être vraiment destiné à quelqu’un, c’est-à-dire moi. J’entendis les Clap-Trap râler à la fois d’avoir été réveillé pour rien mais surtout qu’ils n’avaient jamais personne à leur comptoir. Celui qui m’accueillait semblait beaucoup plus sympathique que le premier, enfin à première vue. Il était beaucoup plus poli :

- Excuse-moi jeune garçon boutonneux, on n’a pas beaucoup de visiteurs ici. Et encore je suis le mieux garni à ce niveau là. Tu es ici pour visiter ?

- Non, je suis ici pour passer mon examen de mercenaire, lui répondis-je.

J’eus alors le droit à un fou rire qui se répercutait au fur à mesure sur tous les Clap-Trap. J’avais l’impression d’être un acteur dans une pièce de théâtre. Le robot semblait essayer de sécher ses larmes d’huiles et répliqua :

- Non sérieusement, tu es là pour quoi ?

Je reconnus un soupçon de moquerie et le regarda sérieusement.

- Je suis là pour devenir plus fort ! J’ai mis un an à venir ici, de Fyrestone !

Il semblait changer de lumière comme s’il réfléchissait et me répondit alors :

- Bien sûr ! Et moi je suis un Clap-Trap !

Ma colère commençait à bouillir, je pris alors dans mon sac à dos un fusil à pompe et le pointa avec :

- Arrête de te foutre de moi où je t’explose.

Une alarme sonna alors, très bruyante, tellement que je lâchai l’arme et mis ma main devant les oreilles. Des hommes arrivèrent par la porte d’entrée mais aussi par la porte métallique et les escaliers. J’étais entouré de fusils d’assaut et de SMG, ne pouvant pas fuir ni me défendre. Dans quel pétrin m’étais-je fourré ? Etait-ce ma dernière heure à vivre ?

Excellent !
J'attends la suite !

Déjà ? Tu as vraiment lu Heroic ?

Oups, j'ai vu une faute stupide indépendante de ma volonté:

• mis MES mainS devant les oreilles

Oui, je lis très rapide moi. ^^

Ah voilà, je me disais bien que ça me rappelait mon livre préféré:

Harry Potter.

Tu peux préciser ta pensée, je comprends pas, tu parles de l'entrée ?

Du perso: Orphelin, qui va découvrir un univers dont au fond de lui il rêve (même si il ne le connait pas), le coté découverte...

Je précise que je parlais de Harry Potter 1... C'est l'impression que j'ai eu.

Moi je n'ai pas lu le livre juste vu les films.

En même temps, c'est pas Harry Potter qui a inventé le principe de l'orphelinat

Très bien rédigé, un grand bravo !

Venant de toi, c'est encourageant

Ait-jamais craché sur ton œuvre ?

Peux-tu réécrire ta phrase, j'ai rien compris

Normal, j'ai oublié un mot.

Ait-je jamais craché sur ton œuvre ?