Je regardais ce que j'avais encore qui était sur ma clé USB plutôt que dans mon ancien ordi et j'ai retrouvé ce vieux RP. Je l'avais rédigé pour un jeu en ligne et beaucoup de noms doivent vous être inconnus mais si vous avez envie de lire autre chose que Pollux, c'est par ici.
Je précise que c'était pour un concours RP dans un jeu en ligne où on avait de la magie et à une époque où je lisais activement les Harry Potter. (a)
Enoncé du concours : une fête est organisée dans un village. Celle-ci fait affluer de nombreux personnages, dont quelques personnalités (locales ou pas).
Mais bien que personne ne semble s'en soucier, votre personnage principal découvrira les vraies raisons de l'organisation de cette fête, qui n'est pas tant ce qu'elle semble être.
Autant en emporte le vin.
La foule était dense mais l’homme – dissimulé sous la capuche de sa longue cape – que je suivais depuis un bon moment était si grand qu’il n’avait aucun mal à se frayer un chemin. J’avançais en restant prudemment dans son sillage tout en jetant un coup d’œil rapide aux rares boutiques croisant mon chemin. La rue dans laquelle nous marchions à présent paraissait aussi ordinaire que les passants qui nous entouraient. Nul n’aurait pu soupçonner la présence d’une fête dans ces terres reculées. Y avait-il vraiment quelque chose d’intéressant dans les terres du CubersKlan ? Etait-ce vraiment l’anniversaire de leur fameux souverain, ce célèbre James que personne hormis les cubers n’avait jamais vu ? N’était-ce pas plutôt une farce énorme qu’ils avaient faite pour attirer les badauds naïfs et se payer leur tête ? Si je n’avais pas su que la Gazette du Donjon ne possédait pas le moindre sens de l’humour, j’aurai pu le penser.
Pourtant, l’article paru dans ce journal était loin de sauter aux yeux, relégué dans les dernières pages. La direction avait préféré mettre en avant une mystérieuse histoire de tours jumelles continuellement frappées par des sortes d’éclairs divins. Toute personne s’en approchant était inexplicablement happée vers un autre endroit des terres du Seakk. Cet étrange édifice méprisant la plus pure logique résistait à chacune des tentatives de sabotage d’une manière défiant l’entendement, bien qu’on puisse avancer le fait que les personnes mal intentionnées ne soient pas au courant des détails climatiques liés à ce lieu particulier. J’en aurais même soupçonné une campagne de désinformation locale pour expliquer le potentiel abyssal de certaines personnes dont le quotient intellectuel frisait celui d’un renard tentant de voler un cookie dans un champ rempli de pièges de chasse.
Quoiqu’il en soit, la perspective de trouver tant de monde me semblait surréaliste. Le CubersKlan s’était toujours voulu autarcique et la situation actuelle dérogeait à leurs « règles ». Visiblement, ils avaient employé les grands moyens malgré leurs stupides « principes » afin de célébrer cette fête. Cela constituait une belle preuve de leur dévotion envers leur souverain.
Les façades crasseuses des maisons environnantes n’étaient guère accueillantes. Certaines d’entre elles avaient des fenêtres cassées qui luisaient tristement à la lumière du soleil, la peinture des portes s’écaillait et des tas d’ordures couvraient par endroits les marches usées des perrons. D’ailleurs, l’odeur âcre d’ordures en décomposition m’incita à rejoindre le centre du village, qui, je l’espérais, avait meilleure allure.
Au milieu de la place des cubers, entouré par une « foule » en liesse scandant des slogans étranges, je vis sur une estrade un homme au visage placide et aux traits étirés par la fatigue ; nul doute qu’il s’agissait de Yoh. Ce dernier se payait le luxe d’être le centre d’attention. Ma foi, la raison pour laquelle il avait tant de succès malgré sa réputation de fainéant chroniquement fatigué m’échappait complètement. De même, il ne faisait rien d’exaltant si ce n’est mollement taper avec un marteau de fer une planche de chêne. Au moins, l’odeur de pourriture n’imprégnait plus les lieux.
A la réflexion, ce petit village campagnard me faisait furieusement penser à une kermesse dont les distractions étaient de nos jours dépassées. Ikee, aussi parfois surnommé « la vipère muette » – du fait que ses paroles étaient aussi rares qu’un Baraskouaire vaincu par une Evidence – s’ingéniait à agiter trois gobelets. Bien entendu, cet exercice lui servait à détourner l’attention des yeux braqués sur lui pour adroitement subtiliser les pièces d’or qui gagnaient ses mains. Sa roublardise n’avait d’égale que sa verve inexistante, ce qui inspirait à la fois mystère et crainte à ceux qui croisaient son regard.
Après tout, c’était peut être là la source des revenus des cubers avec un tel expert dans l’art de subtiliser les biens d’autrui sous leurs yeux. Je m’étais toujours demandé comment leur comptoir avait fait pour finir premier au classement des commerces publié dans la gazette hobbite, il y a quelques êmes.
Durant la kermesse, je ne vis pas d’autre personnalité. Nulle trace du mage Gorgoth, ni de Gaspart l’insatiable hobbit. Il fallait s’y attendre, organiser une fête dans un endroit perdu avec le minimum de publicité ne pouvait conduire à beaucoup de curieux. C’était déjà un miracle d’avoir eu foule à mon arrivée en suivant cet étrange homme.
Alors que mon regard cherchait péniblement une source de distraction pour me consoler d’avoir fait une si longue route, j’aperçus Mister_D, leur mystérieux mage, qui venait de se matérialiser après un bang sonore. D’un geste vif, il empoigna un morceau de bois – sans doute sa baguette magique – et fit un tour de poignet en murmurant des mots inaudibles. Un craquement sonore brisa comme un coup de feu le vacarme des bavardages et des fûts gigantesques apparurent devant lui. Tel un chef d’orchestre, suivant le mouvement de sa baguette, ils se posèrent délicatement sur le sol. Puis, il la dirigea sur sa gorge. Il parla alors par-dessus le tumulte qui emplissait le village et sa voix tonitruante annonça :
- Mesdames et messieurs, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue ! Bienvenue à cette grande fête traditionnelle dans la pure tradition des cubers. Certes, les attractions proposées ne sont pas des plus modernes, mais notre hospitalité est sans aucun doute la meilleure qu’il soit sur ces terres ! Ainsi, pour tous vous remercier de vous être joints à nous, voici sans plus attendre le pot de l’amitié !
Il s’ensuivit un silence rivalisant avec celui d’un enterrement.
- Le buffet et les boissons sont gratuits, ajouta-t-il, voyant le peu d’enthousiasme de la foule après son petit tour de magie.
Cette fois, le vacarme succéda au mutisme général. Cette phrase à elle seule eut pour effet de redonner le peu d’ambiance qu’il y avait avant sa prise de parole…
Yoh arriva en traînant une table sur deux pieds et l’installa devant les tonneaux. Mister_D redonna un coup de baguette magique et la table subit un sortilège d’agrandissement devenant suffisamment spacieuse pour que tout le monde puisse s’y installer. La voix amplifiée de Mister_D continuait de résonner, ordonnant à Yoh de s’exécuter plus vite sans quoi il risquerait d’être victime d’un sort d’insomnie qu’il aurait grande joie à lui administrer. Etrangement, Yoh s’afféra par la suite à une cadence effrénée après la promesse de son comparse. La table, ayant parcouru à peine un petit mètre en l’espace d’une minute, se trouva au centre de la place en quelques secondes.
Des chaises furent ramenées par Ikee qui lâcha avec beaucoup de mal ses gobelets – alors qu’il n’avait eu aucun mal à faire passer les pièces d’or gagnées des badauds directement dans ses poches – et les disposa autour de la gigantesque table. Les fûts furent ouverts et le vin coula à flot. Les convives s’installèrent devant leurs assiettes et je fis de même.
La soirée passa agréablement malgré la difficile montée de l’ambiance. L’air frais de la nuit s’engouffra dans mes cheveux tandis que je percevais une odeur douceâtre d’humidité, de poussière et de pourriture. Décidément, cette puanteur ne finirait jamais de m’irriter les narines !
A ma grande surprise, les autres convives ne remarquèrent pas ce fumet pestilentiel. Ils étaient tous plus ou moins éméchés. La perspective de se remplir la panse sans débourser une pièce avait étrangement réussi à repousser leur satiété de même que leur limite raisonnable en vin.
Alors que je me levais subitement pour aller soulager un besoin naturel, ce que je pris dans la pénombre pour un tas de chiffons émit un long grognement puis se redressa d'un coup.
- Y a quelqu’un qui m'a appelé ? grommela Yoh d'une voix ensommeillée. Chuis d'accord avec Dédé…
Il leva une main crasseuse comme pour participer à un vote, ses yeux cernés et injectés de sang lançant un regard vitreux. Puis, il s’aperçut qu’il venait de sortir en sursaut d’un rêve et referma ses yeux pour regagner les bras de Morphée, après s’être coupé une rondelle de saucisson, histoire de ne pas avoir été réveillé pour rien.
Alors que je me faufilais hors de la « fête », j’eus soudainement la fugitive impression de voir Ikee sortir de table lui aussi ; mais, j’étais trop pressé de vider ma vessie après avoir bu autant de vin. Une fois que j’eus perdu au moins deux kilos en me soulageant contre un arbre noueux, j’entrepris de regagner ma place le plus naturellement du monde.
Mais visiblement l’ambiance avait changé du tout au tout ; la rumeur des conversations avait cédé sa place à un silence étouffant et tous les regards des convives étaient braqués sur les cubers.
Le visage de Yoh – d’ordinaire si bienveillant – avait pris une expression menaçante et le regard d’Ikee semblait à lui seul dissuader quiconque de se lever. Mister_D décrivit avec sa baguette magique un large cercle au-dessus du sol puis un placard se matérialisa dans un craquement sonore comme plus tôt dans la journée. Tout à coup, un râle lugubre retentit, j’en fus pétrifié.
Leur mage continua de faire danser sa baguette avant même que quelqu’un n’ait l’idée de réagir. Un bouquet d'étincelles, jailli de son extrémité et vint frapper la poignée du placard qui s’ouvrit brusquement.
Une main luisante, putréfiée, sous une cape noire, s’en extirpa. La créature à laquelle appartenait la main ouvrit ce qui lui tenait lieu de bouche et poussa de nouveau une longue plainte stridente qui n’avait rien d’humain. Ce monstre était si grand que sa tête touchait presque le haut du placard, pourtant bien plus grand qu’un placard « traditionnel ».
Ce fut la panique générale et je m’empressais de prendre la poudre d’escampette. Je parcourus quelques dizaines de mètres lorsque je me souvins tout à coup avoir déjà vu cette chose ! Oui, l’homme à la cape que je suivais avant d’arriver au centre du village !
Je stoppai net ma course après cette réminiscence. Bien que terrifiante, cette créature n’était pas dangereuse, elle avait eut tantôt tout loisir de détruire tout ce qui était à sa portée et n’avait pourtant rien fait de ce la sorte. Je crus donc à une blague de cuber de mauvais goût. Toutefois, les autres invités avaient déjà déguerpi et fuyaient les cubers en s’engouffrant dans la forêt.
Sortie du placard, la créature s’avança vers Yoh qui avait contre toute attente réussi à se rendormir paisiblement. Contrairement à ce que je pensais il y a à peine quelques secondes, elle était loin d’être inoffensive. Je n’eus pas le temps de me demander pourquoi elle s’attaquait à Yoh plutôt qu’aux badauds – bien que je la suspectais après coup de s’en prendre aux proies les plus faciles et une marmotte est toujours plus simple à se mettre sous la dent qu’un homme en parfaite santé et aux réflexes « normaux » – qu’il sortit de sa léthargie et bailla subitement. Il s’étira vigoureusement en détendant ses bras sans faire attention au couteau qu’il tenait toujours dans sa main, et ce dernier s’envola pour se planter verticalement en vibrant avec force à l’endroit précis où aurait dû se trouver le front de la créature. La chance de Yoh n’avait d’égale que sa flemme, c’est le moins que l’on puisse dire !
Ce n’est que le cri que poussa la chose encapuchonnée déchira mes tympans, ce qui fit que Yoh se rendit compte qu’il avait échappé d’extrême justesse à son assaillant. Son regard se dirigea vers Mister_D mais celui-ci avait fauté et s’était lancé un sortilège de paralysie. D’ailleurs Ikee arborait son sourire vicieux en prenant plaisir à le voir ainsi. Voilà qui expliquait pourquoi personne n’avait été capable de retenir la créature : avec leur mage hors jeu et leur sadique trop absorbé à jouir du malheur des autres, il ne restait plus que Yoh pour être victime de leur propre jeu.
Alors que la menace avait disparu, le cuber tourna le dos au cadavre de la créature. En dépit de ses espérances (ainsi que de les miennes), la créature n’était pas morte, elle faisait semblant. C’est du moins l’évidence qui me frappa lorsque je la vis attraper un pied de Yoh et tenter de lui broyer les orteils avec ses mains putréfiées. La réaction du cuber dépassa les limites de mon imagination car il ne prit même pas la peine de tenter d’ôter son pied. Au contraire, il en profita pour saisir un pot de miel traînant non loin de son assiette. Il en prit dans sa main et le déposa sur la cape de la créature. A ma grande surprise, cette action totalement inconsciente réussit à provoquer le volte-fasse du monstre qui repartit de lui même dans le placard ! C’est là que la logique du cuber m’échappa : comment peut-on penser à… emmieller un monstre plutôt qu’à lui porter le coup de grâce avec un couteau qui n’avait visiblement fait que se planter dans un couvre-chef dissimulé sous la cagoule ?!?
La marmotte officielle du CubersKlan changea soudainement de comportement. Pour la première fois, une lueur de responsabilité illumina son regard vide. Yoh se dirigea vers la forêt et je ne pus m’empêcher de le suivre maintenant que tout danger était écarté.
J’avançais avec difficulté. A présent, des racines et des souches d’arbres à peine visibles dans l’obscurité se dressaient sous mes pas et des traces d’une substance visqueuse arborait le chemin puis je débouchai dans une clairière.
Malgré l’obscurité, je distinguais une énorme masse rouge serpenter au fond de la clairière. Inévitablement, elle se rapprochait comme si elle semblait s’attendre à trouver quelque chose voire même à ce que j’apporte quelque chose. Je pus la voir grossir au fur et à mesure de sa progression. De plus près, je pouvais distinguer des centaines de monstrueuses mandibules sur pattes défiler sous mes yeux ébahis. Cette horreur était en réalité une colonie de fourmis rouges et pas n’importe laquelle, il s’agissait de Kimeras * !
Alors que je prenais conscience de la menace qui pesait sur mon espérance de vie, je réalisai seulement que suivre un malade prêt à se défendre avec du miel plutôt qu’avec un couteau jusque dans une forêt inconnue et pour couronner le tout en pleine nuit devait être la chose la plus stupide que j’ai faite au cours de ma vie. D’ailleurs, lorsque je vis les autres invités de la kermesse dévorés vivants par les Kimeras, je pris mes jambes à mon cou, ma place n’était vraiment pas ici, parmi les cadavres méconnaissables sous une hideuse substance blanche cassée. **
Ce ne fut que lorsque je me retrouvai à la bordure du village que je compris la supercherie. La vue des Kimera associée à la vision de la créature de tantôt avait fini par réussir à me dessaouler. L’odeur des ordures dans le village était délibérée et servait uniquement à couvrir celle des cadavres et de la créature. Tout n’était que mise en scène comme le vin pour suffisamment nous abrutir. Ainsi, une partie des gens assez stupides pour se rendre dans les terres du CubersKlan finissait dévorée si elle se trouvait dans l’incapacité de se mouvoir après avoir trop forcé sur le vin tandis que l’autre, toujours capable de mouvement finissait invariablement sur le territoire des Kimeras à cause de la tombée de la nuit et de leurs sens altérés. De plus, le fait d’organiser tout ça sans faire trop de publicité et une fois par an n’avait pas de quoi attirer l’attention ce qui permettait un renouvellement des malheureux à tomber dans leur diabolique piège chaque année.
Alors que je faisais quelques pas de plus dans la direction opposée au village des cubers, j’entendis une explosion dans le ciel. Des jets de lumière d’or décrivaient des lettres et illuminaient la place que je pouvais toujours apercevoir, au lointain.
Je lus distinctement « Bon anniversaire James ! » et j’aurai juré que la créature dans le placard laissa s’échapper un grognement de satisfaction quand les lettres formèrent ces mots !
Eh bien, eh bien.
Je viens de voir ce topic. Là je n'ai pas le temps de la lire, mais c'est au programme
J'aime bien, bon je ne suis pas non plus un grand spécialiste, donc mon avis vaut ce qu'il vaut.
Tu décris bien et on visualise bien les scènes
Mais j'ai trouvé le coup du couteau un peu tiré par les cheveux (surtout en essayant de m'imaginer la scène )
Il y a des trips dedans (CubersKlan = guilde des cubers ) ceux qui avaient une GameCube). Yoh est IRL et IG un gros fainénant avec une chance hors du commun et chaque chose qu'il touche comme un couteau peut être détournée de son usage ou finir planté chez un ennemi. Genre, on le vise, il trébuche et bam, X touche Y.
L'autarcie, c'était aussi un trip propre à la guilde tout comme les tours invulnérables un bug du jeu avec des gens comme Lord of frags qui arrivaient toujours à mettre une raclée à toute heure (en actualisant à gogo) à ceux qui avaient le malheur d'essayer de voir si le bug avait été réparé. ^^
Lysi est mort durant sa lecture ? Personne ne me lapide comme Pollux l'a été ?
Rah je suis désolé Spy mais je n'ai jamais le temps. Et même quand je l'ai dans l'absolu, je fais d'autres trucs.
Demain je la lis, promis !
Je suis entrain de lire.
La léthargie générale est-elle la conséquence de ceux qui ont finalement entrepris la lecture du texte ?
J'ai lu et j'ai pas mal aimé.
Au niveau de la forme c'est plutôt impeccable. Les descriptions sont bien menées et les péripéties comptées de façon rythmée et relativement intelligente. J'ai tout de même détecté quelles plaisanteries pas très fines, mais elles se diluent assez bien. Globalement l'ambiance est particulièrement bien rendue et je pense que c'est la grande force de cette Fic (avec son aspect descriptif). J'aime le regarde un peu lointain et teinté du personnage principal.
Niveau fond je suis légèrement moins convaincu. L'histoire est originale et finalement assez intéressante mais elle ne le devient vraiment qu'à partir du moment où on a pris connaissance de la chute. On se demande un peu trop longtemps où tu veux en venir. Oui oui il faut du suspense blabla mais il n'empêche qu'on a l'impression de lire une très grande introduction. Le pseudo combat entre la créature à la cape et Yoh est très... Déstabilisant. Tout cela est assez étrange et semble "décalé".
Globalement les multiples références fictives enrichissent de façon agréable le texte et j'ai bien aimé ton histoire aussi pour ça.
Je lirai un jours mais pas maintenant
J'avais lu, mais pas eu le temps de faire un com, et la J'ai oublier la moitier de l'hisoitre, donc je vais relire demain midi, j'ai du temps ?
Mais, je me souviens que c'est très bien.
Le truc que vous n'avez pas relevé et qui demande une seconde lecture pour les yeux non avertis, c'est la présence de détails descriptifs (dès le début) qui sont des indices avec un champ lexical particulier ("décomposition"). En gros, on peut s'attendre à quelque chose de particulier ou se douter qu'il y a anguille sous roche. Pourquoi une fête dans un milieu autarcique ? Pourquoi changer les règles subitement ? Il y a toute une avalanche de questions à se poser pourvu qu'on s'intéresse bien à la structure du texte.
Après, je l'avoue, il faut avoir joué au jeu comme je l'ai dit pour comprendre certains trips ou connaitre certains persos. Si on devait faire un RP avec notre ami Ro... euh, un "original", je pense plus qu'on ne le mettrait pas en scène de la même manière qu'un autre habitué du forum.
Surement. Et ce serait intéressant. A tenter quand on aura tous les temps (vers noël par exemple).
Sinon, même si je n'ai pas forcément trouvé tous les indices de début de récit, j'ai cependant bien précisé que l'une des forces de ta fic était sa richesse en éléments descriptifs et en références. Ca va ensemble.
Enfin pardon ça devait être une réaction à mon commentaire sur l'aspect très introductif d'un bonne partie de ton récit. Dans ce cas là oui, j'aurais peut être pu être plus attentif pour saisir tous les indices.