Alt-Tab....
Oui sinon, la mission pourrait convenir à mon personnage, mais en tout cas après, car j'ai déjà bien avancé dans la mission qui m'est déjà confiée.

Je ne veux pas changer l'histoire s'il vous plait
Mais pour le type de magie sa va être vent!

En fait, je veux juste qu'Eudi change le type de missions qu'il me confie en prenant en compte le BG de mon personnage. Donc :

-Je ne m'associe pas avec des malfrats
-Je ne tue aucun innocent
-Je veux bien faire des missions d'infiltration mais comme dit plus haut, Himano fait partie de l'ordre et son rôle premier est de soigner
-Les bandits, les pirates, les méchants quoi : aucun problème.

"Sinon, tu trouves ça bien reproduit ? J'ai eu du mal... "

Je l'ai reconnu dès le visage. De plus, tu as réussi le plus difficile : respecter les proportions tête-corps. Donc oui, c'est bien reproduit ^^
PS : je ne l'aime pas dans le manga. Moi c'est Jehall mon chouchou (ou Gerard mais j'aime pas ce nom XD)

Hima : Tu m'as mal compris : Tu dois ENGAGER un marchand d'arme qui vend autre chose que du fer !

DSL du double-post, mais que pensez-vous de ce jeu ? J'arrive bien à gérer ?

Tiens, petite remarque :

Vous ne trouvez pas que notre groupe manque légèrement de lanceurs de haches ?

Et oui, je trouve aussi.

Euh... Tuer un troll... Je peux essayé...

Himano Merci! =)

Trafiquant d'armes et marchand d'armes, ce n'est pas la même chose

Hima moi je l'adore. En plus, enfin une mage constellationiste puissante...

Sinon :

Je complète ma réponse dans le post de Neo...

Angel : Et bien en fait, j"ai du au début le rendre incapable de penser de lui même, et le priver de ses forces.
A près je l'ai emmené dans les buissons, et la... j'ai du un peu le charmer, on va dire. Et je lui ai donné une bague sans valeur, en le... piégeant en quelque sorte.

Maintenant, il va être obligé de tenir sa langue, sinon, il sera torturé à mort.

....

Après ma mission.

Angel avait entendu parler par Hima et Alister d'un groupe de mercenaire se jugeant supérieur à eux, en tout point, et en les tournant en ridicule en public.

Cela était intolérable.

Angel, jugea donc que comme son visage n'était pas connu du peuple, elle irait trancher la gorge du chef.
Cela devrait les calmer.

Pour commencer, elle se prépara des heures durantes, et elle opta pour une tenue ou ses cheveux étaient relevé par un diadème, accompagné de talons émeraudes et d'une longue robe verte.

Elle attendit la nuit pour sortir du fort, et elle se rendit au village, ou ces mercenaires avaient établi leurs base.

Ensuite elle suivit, dans l'ombre, le chef, jusqu'à la taverne.
Elle allait entré pour séduire le jeune homme, mais elle remarque par le fenêtre, un des ministres de Biran.
Que faisait-il donc la ? Et lui était une des seules personnes à connaître son visage.

Elle frémit, et se replia dans l'ombre de la taverne.
Elle attendit 1 heure, pendant laquelle elle réfléchit à toutes sortes de situations qui pourrait lui arriver avec ce satané ministre.

A ce moment la, la porte s'ouvrit, et le ministre sortit accompagné du chef des mercenaires.

Elle entendit alors leur conversation.

Le ministre : Oui, merci de nous faire parvenir toute information que vous pourrez briguer sur ce groupe de mercenaire.
Angel a disparu lors d'une mission ou elle devait assassiner leurs chef.
Le chef : Ne vous inquiétez pas. J'ai déjà provoqué ce groupe et j'attends qu'ils viennent m'attaquer.
Je verrai à ce moment la si il y a parmi eux une femme correspondant au signalement.
Le ministre : Et Biran vous en remercie. Bien je vais prendre congé.

Le ministre s'éloigne alors.
Angel réfléchit.
A part le roi, seul 2 de ses ministres étaient au courant de son existence. Ses parents étaient morts dés son plus jeune âge, et n'avait pas d'autre famille.
Il fallait donc tous les éliminer.
Ou les lancer sur une fausse piste.
Oui c'est ça qu'il fallait faire.

Elle suivit le ministre, qui marchait devant.
Il s'arrêta devant une auberge et la... il se retourna et hurla "Flamme !!!!". Une déflagration failli toucher Angel. Cette dernière fut contrainte de quitter sa cachette.
Malgré ses vêtements, le ministre murmura : "Angel..."

Cette dernière répondit :

-Oui... j'ai réussi à m'enfuir. Ils m'ont capturé et emprisonnée, mais je les ai dupés."
-Cela ne m'étonne pas de toi.
-Rentrons au château monsieur le ministre.
-Oui. Je demande à l'auberge une diligence de suite.
-Attendez !

Le ministre se retourne.

-Oui ?

Angel sortit alors un sachet de poudre, le même qu'elle a utilisé contre Murdock.
Mais avant que le ministre ait le temps de réagir, Angel lui en avait déjà projeter sur le visage.
Il inhala une grande bouffée de poudre sans le vouloir, et ses muscles se relachèrent, comme pour Murdock.`

Angel se pencha à son oreille et lui murmura : "Angel est morte, tué par des bandits, de retour de mission.
Ses affaires ont été volées par des voleurs qui ont réussi à voler beaucoup d'objets de valeur..."

Puis elle disparut dans la nuit.
Mais elle devait encore éliminé chaque membres du groupe de mercenaires adverses, eux aussi au courant.
Elle ferait alors d'une pierre, deux coups : elle accomplirai sa mission, et se débarasserai des recherches sur son compte.

Elle fit donc demi-tour et eu du mal à repérer le chef qui titubait quasiment ivre-mort dans une ruelle.
Elle trouvait son comportement misérable, et se dit qu'elle avait de la chance d'avoir Caesar comme chef.
Elle s'approcha de lui à pas de loup, et pour faire bonne mesure, lui trancha la gorge.

Ensuite, elle revint à la taverne et repéra, 2 hommes, en train de se saouler frénétiquement, arborant le même écusson que le chef, maintenant mort.

Elle entra donc dans la taverne et passa dans l'arrière cuisine.
Seul un homme s'y trouvai et elle lui dit :

-Bonjour comment vas-tu ?
-Euh...bien... mais qui es tu ?
-Bien la nouvelle serveuse !
-Ah bon...

Angel pensa que ça n'avait pas était très dur, l'homme qu'elle avait devant elle, étant un homme las de la vie, il n'avait pas été très dur à convaincre car il était totalement "à l'ouest."

Elle prit donc 2 bouteilles, et sans que le cuisinier la voit, elle y versa le reste de la poudre.
Lorsqu'elle servit les bouteilles aux deux mercenaires, ils les attrapèrent de suite et les vida d'un trait.
Angel leurs intima alors : "suivez moi..."

En transe, ils se levèrent et suivirent Angel.
Elle les emmena, dans une petite ruelle, très peu fréquentée, à quelques rues de la taverne et leurs demanda :
-"Combien êtes vous dans votre groupe de mercenaires ?"
Ils répondirent à l'unisson :
-"Pour l'instant que quatre."
-"Et ou sont les autres membres ?"
-"Le chef et quelque part dans le village, et Iria est à notre base, au sous-sol de la taverne."
-"Bien..."

Elle sortit une dague et les élimina de sans froid.

Angel retourna

En sortant de sa transe le ministre était persuadé qu'Angel était morte.
Il fit donc son rapporte au roi, en lui annonçant la "triste nouvelle".
Chagriné, le roi arrêta les recherches.

Alt Tab... Je suis un peu distrait.

• Angel retourna pour la troisième fois à la taverne, mais elle ne trouva pas d'entrée pour le sous-sol..."

Elle alla donc voir le tenancier et lui dit :
-"Je dois aller au sous-sol pour donner cette bague à Iria, ce sont.... les 2 autre mercenaires qui me l'ont demandés."
-"D'accord, passe par l'escalier caché derrière l'armoire."
-"Merci"

Angel se dirigea vers l'armoire et commença à la pousser pour passer quand soudain, elle évita de justesse un violent coup de maillet.

Elle se retourna et vit le cuisinier, armé d'un maillet, qui lui hurla :
-"Comment sais-tu que leurs cachette se trouve au sous-sol !!?"
-"Et bien ils me l'ont dit..."
-"Impossible, ils avaient fais un serment avec le chef, promettant de ne jamais le révéler !"
-"Bien, tu en sais trop on dirait."

Angel sortit son arme et rapide comme l'éclair, elle esquiva un coup de marteau et élimina le cuisinier.

Elle retourna près de l'armoire et recommença à la pousser.
Par chance, l'escalier était bien derrière, le cuisinier avait du comprendre un peu tard qu'il en avait révéler un peu trop.

Angel s'enfonça alors dans les sous-sols de la taverne.

Elle y trouva une jeune mage qui l'attendait au seuil d'ne des 3 pièces qui juxtaient la salle sur laquelle débouchait l'escalier.
Avant qu'Angel ait au le temps de réagir elle murmura : "Flamme, brulez cette tueuse..."
Et Angel fut touchée à la jambe gauche par une boule de feu. Heureusement la blessure n'était pas très grave, mais elle était très douleureuse.
La mage baissa sa garde et murmura : "Je dois tuer les intrus."

Mais Angel se saisit impercetiblement de son épée fer, et avant qu'Iria puisse réagir la lança. Elle lui transperça l'abdomen.
La mage qui lui faisait face était (béni soit le ciel) puissante mais lente.
Iria s'effondra alors morte, sur le sol.

Angel se releva tant bien que mal, retourna chercher son épée, et vola au passage des objets de valeur comme 2 bague en or, un tome tonerre (elle pensait le donner à Alister ou Himano) et un collier serti d'émeraude.

Elle sortit ensuite de l'auberge par la fenêtre et appela une diligence pour rentrer au château, en espérant que Himano pourrait arranger sa jambe gauche, légèrement brulée, mais très douleureuse.

Je complète ma réponse aussi:

Xena : Oui, pas de problème ! Grace à vos conseils, j’ai pu l’utiliser correctement. Au début, j’ai été pas mal angoissée,surtout que je ne savais pas que je jouissez d'une protection magique,mais j'ai trouvé ça sympa d'utiliser une baliste ça approfondit mes connaissances.

Bon je ferais ma mission après,ou demain je dois aller manger.

En attendant je lis le récit de Fyraa. ^^

Mon texte est trop long ; je suis donc obligé de le séparer en 2 posts :

La mission qui incombait à Néo était de retrouver la trace des bandits qui avaient, il y a 20 ans, enlevé son frère cadet, Alister, afin de s’assurer que ce dernier était bien mort, et ne s’était pas allié aux bandits. Cette mission était, pour le paladin, particulièrement amère, car elle le forçait à retourner sur les pas d’une ancienne blessure, à la rouvrir volontairement.

Néo se rendit donc, seul, au lieu où s’était déroulé ce drame : Tolgaer, une région rurale du nord d’Altea.

Dans son village natal, il entreprit d’abord de se rendre à l’auberge pour reprendre des forces. Le dîner et la nuit réunis lui coutèrent 100 écus. Comme le paladin n’avait pas reçu de fonds de missions, il puisa dans sa bourse personnelle.

« Après tout, pensa-t-il, ce sont des bandits. S’ils existent toujours, je pense que je pourrais leur dérober un quelconque trésor qui compensera l’argent de l’auberge. »

Après une nuit longue et réparatrice, Néo s’installa dans un recoin de l’auberge, et guetta ; il n’avait aucune piste pour l’aider, et pensait que la seule façon de retrouver des bandits qui avaient sévis il y a si longtemps était d’obtenir des renseignements d’un quelconque malfrat qui viendrait passer du bon temps à l’auberge.

« Quel était le nom de ce groupe, déjà ? Hum… cela fait si longtemps… j’espère ne pas l’avoir oublié. Hum… oui, ça y est ! Je m’en souviens : L’ œil du Serpent ! Quel nom ringard… »

Néo attendit toute la journée, mais, heureusement pour lui, un homme assez louche arriva au soir et commanda de l’alcool.

« Bien, c’est ma chance ! Lorsqu’il quittera l’auberge, je le suivrai ! »

L’auberge fermait son bar à 22 heures. A 22 heures moins 5, Néo sortit dans la rue, alors que le brigand continuait à se saouler. Puis 22 heures sonnèrent…

Aubergiste : Allé, le bar ferme ! Dehors, le poivrot !
Brigand : ‘core une p’tite goutte, patron ! Hips !
Aubergiste : Si vous ne voulez pas louer une chambre de notre établissement pour la nuit, nous vous prions de sortir !
Brigand : Allons, allons, soyez sympa, la nuit fait que commencer !
Aubergiste : Bon… vous l’aurez voulu, je vais chercher mon arme anti-poivrot !

L’aubergiste alla dans la réserve, puis en ressortit rapidement avec son… « arme ».

Et c’est ainsi que l’ivrogne fut chassé à grands coups de balais.

Brigand, une fois dehors : Woué, ça va pas, les ivrognes, faut pas les laisser seuls dans la rue, faut les garder dans les bars et continuer à leur donner à boire !

Comme il n’obtint pas de réponse, il finit par se retourner avec l’intention de quitter les lieux, et se retrouva alors né-à-né avec le voyageur.

Néo : Bien le bonsoir.

Brigand : Eh, on s’connait pas, m’sieur ! Alors, laissez-moi tranquille !

Néo, faisant un pas en sa direction : Voyez-vous, j’aurais besoin de… renseignements.

Brigand : Hips ! Tout ce que tu veux, mec ! Hips ! Mais tu payes quoi en échange ?

Néo sortit alors son épée et la pointa sur la gorge de l’ivrogne.

Néo : En échange ? Je te laisserai la vie sauve !

Brigand : Eh ! T’es pas sympa, toi !

Néo : Réponds juste à ma question, elle n’est vraiment pas compliquée, même pour un idiot comme toi : as-tu entendu parlé d’un groupe de bandits appelé L’ œil du Serpent ?

Brigand : Hips ? Jamais entendu c’nom-là !

Néo : C’est un groupe de bandits qui sévissait dans la région il y a une vingtaine d’années. Cela te dit-il quelque chose ?

Brigand : Il y a 20 ans ? Eh, j’étais pas dans le coin, y a si longtemps ! J’peux pas connaitre, moi ! Demandez au Borgne, lui il connait peut-être !

Néo : Le Borgne, c’est bien ça ? Qui est-il ?

Brigand : C’est… Hips ! C’est un peu le doyen des bandits… Moi j’sais pas d’quoi vous parlez, lui il sait peut-être !

Néo : Et où puis-je le trouver ?

Le brigand révéla alors une adresse au paladin. Néo abaissa son arme.

Néo : Bien, je te remercie pour ces informations. Maintenant, file !

Brigand, se mettant à courir maladroitement : Hips !

Néo, rengainant son arme : Hum… « In Vino Veritas », comme on dit. Je dois croire ce que ce type m’a dit. Je vais me rendre à cette adresse sans plus tarder.

Il se rendit donc dans le repaire du « Borgne ». Il arriva ainsi devant une maison dont les lumières étaient encore allumées, et d’où le bruit des bandits s’entendaient de la rue.

« Ces bandits sont fêtards, on dirait. Très bien, je vais pouvoir y aller tout de suite. »

Néo frappa à la porte.

Bandit : Hein ? Qu’est-ce que c’est ?

Néo : Ouvrez-moi, s’il vous plait !

Bandit : Eh, Le Borgne, tu l’connais ?

??? : Je n’ai jamais entendu cette voix. Ne le laisse pas entrer !

Bandit : Eh, toi ! J’sais pas c’que tu nous veux, mais dégage !

Néo : Bon, vous l’aurez voulu…

Le paladin recula alors, et chargea la porte si violemment qu’elle vola en morceaux.

Bandit : Hein !!! C’est pas possible !

??? : Comment…

Néo : Bonsoir, messieurs ! Je viens pour un renseignement !

??? : Tu sais à qui t’as affaire, au moins ? Les gars, mettez-le en charpie !

Alors, six bandits se jetèrent sur Néo. Ce dernier sortit son épée et les tua sans difficulté.

??? : Quoi !?

Néo : Je crois que vous n’avez pas bien comprit, je suis venu pour vous poser une question, pas pour vous décimer ! Mais, si vous vous jetez sur moi, comme ça, je vous tuerais sans problème, et ni vous ni moi n’obtiendrons ce que l’on veut !

??? : Grmbl… Qui es-tu donc ?

Néo : Tu n’as pas à le savoir ! Réponds juste à ma question… Le Borgne, c’est bien ça ?

??? : Oui, c’est moi !

L’homme que Néo avait en face de lui était en effet borgne, et assez âgé ; en plus de cela, il semblait avoir de très gros problèmes de poids…

Néo : Je voudrais un renseignement, concernant un groupe de bandits qui a sévi, dans la région, il y a environ 20 ans ! Es-tu capable de répondre à cette requête ?

Le Borgne : … A voir.

Néo : Bon. Le nom de ce groupe est « L’œil du Serpent » ! Cela te dit quelque chose ?

Le Borgne : Quoi ?

Néo : Tu connais ce groupe ?

Le Borgne : Pour un peu que je l’connais, c’est moi qui l’ai fondé !

Néo : Quoi ! Alors, tu peux me répondre ! Mon frère, Alister, celui que vous avez enlevé il y a 20 ans ! Où est-il ? Parle !

Le Borgne : Du calme, du calme ! Ce groupe… ne m’appartient plus… C’est un de mes sbires qui m’a mis à l’écart, et qui en a pris les rennes, soi-disant parce que j’étais devenu impotent ! Le fils de…

Néo : Quand l’avez-vous perdu ?

Le Borgne : Il y a… 20 ans, justement, quelques jours après l’enlèvement de ton frère… Je l’avais fait enlever pour réclamer une rançon, mais ce chacal n’était pas d’accord ! Il voulait faire de ce gosse un bandit ! C’est à ce moment qu’il m’a chassé, comme un malpropre !

Néo : Voila pourquoi… il n’y a jamais eu de demandes de rançon…

Le Borgne : Ouep !

Néo : Et qu’est devenu ce groupe, après ça ?

Le Borgne : Eh bah, il est allé au village voisin. Mais cet idiot était incapable de commander correctement, et le groupe s’est disloqué. Bien fait pour sa pomme !

Néo : Et Alister, que lui est-il arrivé ?

Le Borgne : Ah ça, je sais pas trop. Vous savez, j’ai des contacts qui espionnaient un peu pour moi, mais ce sont des bandits, pas des espions très doués, voyez ? M’enfin, je sais qu’après que L’œil du Serpent soit mort, ce scélérat était fou de colère, et il a emmené Alister, avec l’intention de le former tout seul. Je n’en sais pas plus, mais, si vous voulez mon avis, il a dû finir par tuer ce môme, vous comprenez, ce type, c’était quand même le dernier des idiots…

Néo : Hum… je vois… Et cet idiot, il s’appelait comment ?

Le Borgne : Il s’appelait Zarkan. Voyez, un nom aussi stupide que lui-même !

Néo : Bien, je vous remercie pour ces renseignements. Je vous laisse…

Le Borgne : Attendez !

Néo : Hum ?

Le Borgne : J’peux vous d’mander un service ? Si jamais vous le voyez en vie, vous pourriez lui passer un mot de ma part ?

Néo : Si vous voulez. Que voulez-vous que je lui dise ?

Le Borgne : Que Le Borgne est toujours en vie ! Et dites-lui aussi de ma part qu’il est le dernier des abrutis !

Néo : Je… m’en souviendrais !

Et Néo repartit.

Il se rendit, le lendemain, au village voisin. Là, il constata que le nom de Zarkan n’était pas inconnu ; en effet, les villageois connaissaient et craignaient ce bandit, chef du clan de L’œil de Faucon, qui venait régulièrement piller le village.

« Bon, alors il est bien encore en vie, pensa Néo. Et vu le nom de son nouveau groupe, il n’est pas très original… »

Néo apprit que Zarkan et sa bande avait placé leur repaire dans la montagne du Nord. Il apprit également que ce groupe était très peu nombreux, mais que, s’il était craint à ce point, c’est que l’un de ses membres, un guerrier du nom d’Oyarum, était terriblement fort, selon les rumeurs, plus fort même que le chef Zarkan lui-même.

« Oyarum… serait-il possible… »

Néo gravit donc la montagne, et finit par découvrir le repaire des bandits.

Début de la musique : http://www.youtube.com/watch?v=n9H-PwGNa9A&feature=related

Bandit : Eh ? Mais qui es-tu ? Et comment nous as-tu trouvé ?

Néo : Mon nom n’a pas d’importance. Je suis venu pour parler à votre chef, Zarkan !

Bandit : Eh, chef !

Un homme du même âge que Néo sortit alors du repaire. Il était plus grand et plus musclé que les autres bandits ; malgré le froid, il était torse nu, et portait, autour du coup, un pendentif serti d’une petite pierre écarlate. Il brandit sa hache :

Zarkan : J’ignore ce que tu me veux, mais, puisque tu es parvenu jusqu’ici, tu dois mourir !

Néo : Alors en garde !

Et le combat s’engagea. Ces bandits étaient effectivement peu nombreux, ils n’étaient qu’une dizaine, mais ils étaient plutôt forts.

Néo eut assez de mal à les battre, il dut user de son second déplacement plusieurs fois pour esquiver leurs assauts. Finalement, au bout d’un quart d’heure, il vint à bout des bandits, mais il était alors blessé à plusieurs endroits. En face de lui, Zarkan était seul, mais toujours indemne.

Zarkan : Qu…

Néo : Je suis venu… te parler !

Zarkan : Imp… impossible ! Tu les as vaincus ! Mais, qui es-tu ?

Néo : Zarkan, tu es bien celui qui a trahi Le Borgne, il y a 20 ans de cela ?

Zarkan : Et alors ?

Néo : Ce jour-là, tu as enlevé Alister ! Je veux savoir ce que tu as fait de lui !

Zarkan : Tu n’as pas à le savoir, étranger ! Ceux qui menacent le grand Zarkan doivent mourir ! Oyarum ! Viens m’aider !

Un jeune homme sortit à son tour du repaire. Il était lui aussi torse nu, mais était encore plus grand et musclé que son chef. Il était si impressionnant que Néo recula d’un pas en le voyant.

Oyarum : Oui, chef ?

Zarkan : Je t’ai juste appelé par sécurité. Je vais affronter cet impertinent en duel, et si jamais il prenait l’avantage, tu viendrais m’aider, d’accord ?

Oyarum : Bien, chef.

Néo : Oyarum ? Est-ce que, tu serais… Alister ?

Oyarum : Nan, mon nom, c’est Oyarum, et j’en ai pas d’autre !

Zarkan : Hum… fumier, tu dois mourir !

Il s’élançât sur Néo. Bien qu’il fût équipé de son épée, Zarkan le toucha avec sa hache, aggravant ses blessures. Néo contre-attaqua avec un coup critique ; Zarkan s’effondra en sang.

Fin de la musique.

Zarkan, agonisant : Main… maintenant… aide-moi !

Le guerrier se précipita sur Néo et le trancha de toutes ses forces avec sa hache. En dépit de sa taille, il était vraiment très rapide. Sur le coup, Néo s’effondra à son tour.

Oyarum, s’apprêtant à assener à Néo le coup de grâce : T’as fait très mal à mon chef ! Tu dois payer !

Néo, fermant les yeux : Je… je suis ton frère, Néo ! Néo De Tolgaer !

A ces mots, le guerrier s’arrêta. Alister et lui ne faisaient donc qu’un, et les paroles de Néo avaient ravivé en lui le souvenir de son enfance. Pourtant, Néo ne savait pas si cela était vrai au moment où il l’avait crié ; il l’avait crié par réflexe, car il était sur le point de mourir. S’il s’était avéré que ce guerrier n’avait pas été Alister, il l’aurait achevé, et Néo serait mort.

Oyarum : Néo…

Zarkan : Non, Oyarum ! Ne l’écoute pas, achèves-le !

Néo était toujours exsangue, mais la douleur commençait déjà à s’estomper, grâce à sa technique Guérison. Il se redressa devant Zarkan, toujours au sol.

Néo : Maintenant, j’exige… la vérité…

Début de la musique : http://www.youtube.com/watch?v=sp8AhqX0-6k&feature=related

Il pointa sa lance sur la gorge du bandit.

Néo : Après avoir enlevé Alister et trahi Le Borgne, qu’es-tu devenu ? Réponds ou tu meurs !

Zarkan : Bon, bon, je te raconte ! L’œil du Serpent s’est dissous, alors j’ai pris cet enfant sous mon aile et je l’ai élevé pour en faire un redoutable guerrier. Je lui ai donné le nom de Oyarum. Tu comprends, je ne pouvais pas garder Alister, c’était un nom trop bourgeois !

Alister : Alors, c’était vrai ? Tu n’es pas mon père ? Et ces souvenirs que j’avais de mon passé… tu m’as toujours dit que c’était un rêve… C’étaient mes vrais souvenirs, alors ?

Zarkan : Hum… oui, tout cela, c’était vrai !

Alister, brandissant sa hache : Alors, pendant toutes ces années, tu m’as menti ? Tu…

Néo, arrêtant son geste : Attends ! Ne le tue pas tout de suite ! Il a encore des choses à dire.

Zarkan : Erf… c’est vrai qu’au début, je n’étais pas un bon leader… C’est pour ça que les bandits de L’œil du Serpent m’ont quitté. Mais, grâce à Oya… euh, Alister, qui est devenu très fort, j’ai pu me faire un nom, et quelques bandits m’ont rejoins. C’est ainsi que L’œil du Faucon est né !

Néo : L’œil du Faucon, hein ? Tu es quand même resté fidèle à ton ancien chef, alors ?

Zarkan : Non, c’est juste que c’est un nom plus classe que « L’œil du Serpent » ! De toute façon, ne me parlez plus du Borgne, ce gros lard a du mourir il y a bien longtemps !

Néo : En fait, je l’ai vu ! Il m’a même demandé de vous dire qu’il était encore en vie !

Zarkan : Quoi ? C’est pas vrai !

Néo : Si, et il m’a également demandé de vous dire un autre truc : que vous êtes…

Néo lâcha alors le bras de son frère. Sa hache s’abattit alors en direction du visage de Zarkan.

Néo : … le dernier des abrutis ! ^^

Juste à la fin de ce mot, le crane de Zarkan fut écrasé par la hache d’Alister.

Fin de la musique.

Néo : … Alister ?

Alister : … C’est… c’est mon vrai nom, alors ? Alister ?

Néo : Oui… Que vas-tu faire, maintenant ?

Alister : Eh bien…

Néo : Alister, voudrais-tu rejoindre mon groupe de mercenaires ?

Alister : Un groupe de mercenaires ?

Néo : Oui, c’est une longue histoire… […]

(Ellipse : vous connaissez déjà l’histoire de Néo)

Alister : Eh bah dis donc ! Toi non plus t’as pas eu une vie facile !

Néo : Alors, veux-tu nous prêter main-forte ?

Alister : C’est gentil, mais non ; dans l’immédiat, je vais plutôt aller habiter dans le village que mon groupe à malmener pendant toutes ces années. Je sais que je n’y serai pas accueilli en héros, mais, pour me racheter, je vais travailler dur ! Je travaillerai dur pour réparer les dégâts que mon groupe a causés…

Néo : Je comprends.

Alister : En tout cas, je te remercie ! Sans toi, je serais encore sous la botte de cet être infâme. Oh, ce n’est pas grand-chose, mais j’aimerais que tu acceptes ceci ! C’était le premier bijou que mon chef a volé lorsqu’il était enfant, il le gardait en souvenir, mais, maintenant, il n’en aura plus besoin…

Alister arracha la pierre du pendentif de Zarkan.

Néo : Mais, c’est… un rubis !

Alister : Prends-le ! De toute façon, cet homme était un raté ! Dire que je ne m’en rends compte que maintenant !

Néo : Eh bien… merci !

Alister : C’est moi qui te remercie !

Néo : …

Alister : … Je pense qu’on s’est tout dit, non ?

Néo : Je pense aussi.

Alister : Bon, eh bien, je te souhaite bonne chance au sein de tes mercenaires ! Ne meurt pas, surtout !

Néo : Bonne chance à toi aussi, mon frère ! Et ne t’épuise pas à la tâche !

Alister : Eh eh ! Ne t’en fais pas ! Adieu, Néo !

Néo : Adieu, Alister !

Et leurs chemins se séparèrent.

Mission achevée !

Conclusion envoyée à Caesar :

« Le groupe de bandits qui a enlevé mon frère n’est plus ; son chef est mort. Mon frère n’est pas un bandit et ne représente donc de menace ni pour notre groupe, ni pour le peuple. »

400 écus obtenus !

Fonds de Néo : 400 – 100 + 400 = 700 écus.

Objets obtenus à l’issue de la mission :

Rubis

"Xena : Votre succès a fait parler de vous. En attendant, une bonne chasse pourra nourrir le groupe. "

Attention:Les évènements se déroulent avant nos missions respectives à tous!

Xena:Bien,vous pouvez comptez sur moi,j'ai longtemps vécut de la chasse! Dit elle fièrement.

C'est sur ces mots que Xena pris son Arc et se dirigea vers la forêt.C'était une nuit de pleine lune,on voyez clairement les étoiles,Xena regretta de ne pouvoir se reposer pour admirez le ciel mais ses camarades avais faim elle allez devoir faire vite,surtout pour remettre d'aplomb Alister.

Xena: En tout cas je ne leurs apporterais pas de lapin je déteste ça...Mhhh?

Xena se tourna vers un buisson qui semblais frémir,elle s’approchas en douceur et vis 5 Daines(Femelle du daim).

Xena:Ce sont certainement des femelles car les mâles sont solitaires et ce n'est pas la saison des reproductions,excuser moi mais nous devons nous aussi nous nourrir...

Elle sortis son arc et visa pile la tête de la première qui mourut sans le moindre bruit,puis elle répéta l'opération 2 fois avant que les autres daines se réveillent et ne fuis.

Xena:Bon,3 devrait suffirent amplement je suppose.

Elle Porta les daines une à une en les posant tout les 200 mètres pour ne pas les perdre de vus.Xena arrivas finalement au camp.

Caesar:Beau travail Xena.

Xena:Merci,je suppose qu'Hima va cuisiner?

Himano arrivas alors.

Himano:Bien sur je suis la cuisinière du groupe après tout,mais un petit coup de main de ta part serais le bienvenue bien ent...

Néo:Hum je ne veux pas déranger mais nous n'avons pas d'eau quelqu'un veux bien se dévouez?

Xena:Moi!J'ai vus une rivière dans la foret l'eau me semble bonne,je vais vous cherchez ça de suite,donnez moi vos gourdes.

Xena repartis alors dans la forêt cherchez de l'eau,arriver à la moitié du chemin Xena s'arrêtas et montas dans l'arbre le plus proche.

Voix:Tu es sur de ton coup Solem?

Solem:Bien sur Palm ,on va s'infiltrer dans leur camp et on va enlevé une des personnes de leur pathétique groupe de mercenaire du Dimanche,et on exécute la dites personne en question en publique dans 3 jours,si on ne reviens pas avec quelqu'un le chef nous couperas la tête,on dois donnez l'exemple à la population.

Palm:Et comment on s'y prend?

Solem:Bah!On met le feu au camp et on attrape une fille de leurs groupe,de plus ça iras très vite avec ta vision nocturne et mon bâton de teleport.

En effet Palm avais tout d'un voleur et Solem d'un Sage,même si en voyant cette tête d'imbécile Xena se demande comment il peut utiliser les bâton,et encore moins la magie...

Xena se prépara à tirée quand soudain elle senti une atroce douleur dans la nuque et tomba de l'arbre,sonnée...

Solem:Tiens,tu en as mis du temps Karno,la chance nous souris on dirais vous autre voleurs êtes si dicrets,on emmène la fille,on lui trancheras la tête dans 3 jours sur la place publique,ils l’aurons bien cherchez.

Karno:Elle n'auras plus besoin de son arc,je vais le revendre ça me feras un peu d'argent.

Palm:Certes,moi je vais prendre ces gourdes.

Solem:Bon je me téléporte avec la fille,bonne soirée.

Le lendemain au camp.

Himano:Xena n'est toujours pas rentrée?

Caesar:Non,enfin ne nous fessons pas de soucis elle as dût s'endormir dans la forêt, après tout elle m'as dit que la forêt est comme sa maison,elle rentreras certainement dans la journée en attendant accomplissons nos tâches respectives.

Lany:En même temps les daines devais être lourds je ne serais pas surprise.

Neo:...

Gain 100xp(hé oui les Daines bien qu’endormis on apportés un peu d'expérience)

Arc perdu,Ecus perdu et Xena inactive du fait de sa captivité.

Et bien,voilà le boulet du groupe si j'ose dire.

Et alors? Est-ce que j'ai rejoins les Mercenaires de Caesar?

J'ai dit que tu devais changer ton histoire. Callil est MARIEE à LARGO. ET PELLEAS A MIEUX à FAIRE QUE DE SE MARIER AVEC ELLLE, vu?

Bon :
Caesar alla voir Himano :
Caesar : Hima, je pars éliminer un gêneur. Ca risque de prendre du temps. Je te nomme chef provisoire.

Et avant une réaction, Caesar était parti.

C'est ma mission ? Tu me nommes chef des Mercenaires, tu n'as pas peur ?

Je vais bien m'amuser à taper ce RP XD

T'as pris du grade Hima.

C'est TEMPORAIRE.
Sanwii : Bah tu vois quand tu veux !

Un dit cyclope terrorise les habitants d'un village. Tuez-le avant qu'il n'arrive malheur.
Gain 500 écus/300XP

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Un cyclope... pensais-je. Étrange, je croyais que ces choses n'existaient même plus. Ou plutôt qu'il étaient tellement peu, qu'ils ne risqueraient pas de se montrés.
Je replia la carte posé sur la table de la salle commune du quartier général, pris ma lance et sorti. En passant l’embrasure de la porte, je dis:

Lany : Ce soir on mange du cyclope! Préparez la table!

Je traversa le village d'un bon pas, je ne me doutais absolument pas que ce fameux cyclope.

Le village était en vue, la tête chauve et crasseuse du cyclope dépassait des toits de chaumes, j'entendait des cris.
Une chaumière s'enflamma, les cris redoublèrent.
Je me mis à courir pour arrivé plus vite au village.

Je fut confronté à un problème dès mon arrivé au village, le cyclope n'en avait absolument rien à faire de moi.
J'ordonna aux villageois, armés de fourches et de morceau de bois de partir et de s'éloigner du village.

Une fois les habitants partis, le grand monstre putride se tourna vers moi et abattu sa massue sur une maison à vingt mettre du bout de ma lance.

Lany : Je ne dirais rien sur la nullité de cette action, ça doit faire parti de ta stratégie.

Je brandi ma lance et couru vers le cyclope, mais celui-ci, au lieu de me foncé dessus parti en courant.
Il émit un bruit... étrange. Comme si il riait.
Je me remit à lui courir après, mais cette fois ci, il na bougea pas. Il tendit ses énormes bras poilus dans ma direction, cette fois-ci c'est moi qui recula.
Je n'avais plus le choix, il fallait que je l'attaque à distance. C'est dans ces moments là que je me dit que j'aurais dû acheter un javelot.
Je pris du recule en courant le plus vite possible à l'autre bout du village, mais le cyclope me suivait, en détruisant quelques maisons au passage, certes.
Pendant qu'il avait le dos tourné, je lança ma lance vers son coeur.
Elle se planta au bon endroit, un sourire satisfait apparu sur mon visage, mais celui-ci disparu vite par un masque d'incompréhension.
Le cyclope se saisit de ma lance et me la lance.

Cyclope : Encore!
Lany : Tu parles!

La créature se précipita vers moi avec un sourire béat sur le visage en tapant des mains.
Je n'avait pas beaucoup de temps avant qu'il ne me fonce dessus.
En apercevant une énorme pierre, j'eu une idée.
Je m'approcha de morceau de roche et le fit roulé vers un grande planche de bois que je posa sur un autre morceau de bois, mais cette fois-ci plus petit. Je mis la pierre sur un côté et je sauta sur l'autre. La pierre vola vers le cyclope en pleine tête, il s’étendit de tout son long dans la poussière. J récupéra ma lance et parti d'un pas furieux.

De retours au quartier général, je claqua la porte et cria:

Lany : Jamais plus, vous me demanderez de tué un cyclope!

Je m'approcha de la table où néo était attablé et posa la tête du cyclope sous le nez.

Lany : Je vous préviens, ce n'est pas moi qui cuisine!

Fin de la mission.

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