Continue ta fic
Je verrai Coco, mais !
T´a interêt à continuer
Scarface !
La suite vite VITE VIIIIIITEEEEEEEEEEEEEEee
^^ lol
Ah ah ! Patience
La suite, c´est pour demain !
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Un grand bonjour à tous car j´ai mon BAC
Voici la suite ! Si il y a des problèmes, m´en faire part avec manukf@hotmail.fr
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HISTOIRE DEUX : 1980
AMERICAN DREAM
EPISODE III : Alliances et détournements !
Paco se dirige alors vers la caravane de Troy, quand un cubain l´interpelle.
Cubain : « Hé ! C´est toi Jovengo ? »
Paco : « Si, pourquoi ? »
Cubain : « Je suis Manolito Vasquezio et Umberto veut pas de moi dans son gang, sauf si tu me prends sous ton aile et que en plus de ramener les caisses, on dégotte des alliés pour lutter contre les cholos. Le boss en veut vingt. »
Paco : « Tiens tiens ! D´accord mais tu me ralenti pas gringalet ! »
Manolito : « Promis chef ! »
D´aspect, Manolito était petit et maigre, approximativement 1 m 65 pour 50 kilos. Les deux nouveaux acolytes continuent alors leur chemin. Une fois devant la caravane de Troy, Paco frappe à la porte et ordonne à Manolito de l´attendre à l´entrée. Puis Troy ouvre...
Troy : « Le cubain ! ! ! »
Paco : « Salut ! Je peux entrer ? »
Troy : « Ouais, allez ! »
Paco rentre et Troy referme la porte.
Paco : « J´ai une proposition pour toi. »
Troy : « Ola ! Minute ! Ou est mon bateau ? Et rappelle toi que tu devais bosser pour moi ! »
Paco : « Ton bateau est sûrement chez les flics, mais on va s´en occuper, et pour ce qui est du travail, c´est d´accord mais à condition que tu me rende de nombreux services. »
Troy : « T´es pas fou ! J´ai deux cent kilos de coke à faire passer d´ici à Liberty City et je sais pas comment faire, alors des services sans façon. »
Paco : « Alors écoute bien. Dans deux semaines un bateau va venir livrer des bagnoles ici, on l´intercepte avant l´aéroport, on décharge sur Washington Beach grâce à d´autres bateaux, puis tu prends le cargo et les conteneurs, je te fourni des véhicules que tu remplira de coke et que tu mettra dans le bateau, puis en route vers Liberty ! »
Troy : « Hé, c´est pas con ! Mais il faudra du peuple pour décharger et charger. »
Paco : « T´as pas de gang ? »
Troy : « Non ! Alors c´est foutu ! Quoi que ... »
Paco : « Quoi ? »
Troy : « Je demande à Marty, mon boss, de nous filer un coup de main. Il a assez d´hommes pour faire ça, mais il faudra le payer. »
A ce moment, Marty fait erruption dans la caravane de Troy.
Marty : « Bouge ton cul Troy ! Les cholos remettent ça ! »
Les trois hommes sortent.
Marty : « Hé les bleusailles ! Vous savez tirer ? »
Paco et Manolito : « Ouais ! »
Marty : « Alors prenez ces berretas et grimpez dans le bobcat ! »
Les cubains obéissent, puis la voiture démarre et s´en va ! Cinq minutes plus tard, les occupants descendent et voient les cholos attaquer un bâtiment qui est un business de Marty. Quatre hommes viennent s´additionner à la fusillade. Des coups de feu viennent de partout, et de plus en plus de cadavres jonchent le sol. Que ce soit les berretas qui percent de fins trous dans la peau, ou les fusils à pompe qui propulsent leurs cibles, le sang gicle et les cris de douleur retentissent. Les cholos finissent par battre en retraite...
Marty : « Bravo les bleus ! Vous êtes qui ? »
Paco : « Paco Jovengo et Manolito Vasquezio, nous sommes cubains ! »
Troy : « Ils ont un truc important à nous proposer, je vais t´en parler une fois de retour. »
Paco et Troy échangent leurs numéros de pager et leurs routes se séparent. Paco entraîne alors Manolito au centre commercial de Vice Point, ils rentrent, puis se dirigent vers un magasin de peinture.
Paco : « Regarde et apprends ! »
Paco : « Excusez moi monsieur le vendeur mais mon patron du chantier du Centre est furax, il n´a pas reçu ses deux cent kilos de peinture blanche. »
Vendeur : « Mais je ne vois rien sur mon planning ! »
Paco : « Le maire lui aussi est très énervé, la construction est en retard à cause de vous ! »
Vendeur : « Ho ne nous fâchons pas, je fais charger les vans à l´instant, voulez vous montez avec mes chauffeurs pour vous prouvez que je suis désolé ? Vous parlerez ainsi à votre patron. »
Paco : « Oui, c´est d´accord ! »
Vendeur : « Cela tombe bien, vous êtes deux et il y aura deux vans ! »
Paco : « Quand on arrive à Prawn Island, tu sort le flingue que t´as filé Marty et tu vires le chauffeur du van, je ferais la même chose, puis tu me suis ! »
Manolito : « Okay ! »
Dix minutes plus tard, les vans sont chargés, les chauffeurs, en compagnie des cubains, démarrent. A Prawn Island, les chauffeurs sont virés des vans, détournés par les cubains, qui les ramènes à Little Havana, chez Paco. Le pager sonne.
Pager :
Les.véhicules.arrivent.dans.douze.jours.exactement
.à.midi.pile.signé.BJ.
Paco : « Les pions se mettent en place ! »
Manolito : « Tu as les véhicules ? »
Paco : « Bientôt mais... BIP ... Attends ! »
Pager :
Marty.est.d´accord.mais.il.veut.de.l´argent.en.éch
ange.passe.nous.voir.signé.Troy.
Paco : « Enfin ! »
Manolito : « Elle sert à quoi cette peinture ? »
Paco : « J´ai commandé trente hermes grises, Umberto en veut des blanches, alors, une fois volées, on les repeint et on est au dessus de tout soupçons vu que les flics chercheront des hermes grises. »
Manolito : « Respect ! »
Paco : « Maintenant on retourne chez Troy et on négocie une alliance entre les cubains et les hommes de Marty. »
Manolito : « Comment tu veut faire ça ? »
Paco : « Tu vas voir ! Allez, on y va ! »
Puis les cubains retournent chez Troy et Marty.
... à suivre dans l´EPISODE IV : Heure de gloire...
trop bien >> Encore encore !! !!!!!
Merci mais il me faut du temps pour continuer, alors patience !
Allez Manu, allez !
vie manu
les gars !
Il va falloir attendre car j´ai un souçi technique au sein même de l´histoire !
Patientez encore 2 jours.
DEUX JOURES ! TU AS BIEN DIT : DEUX JOURS ! MAIS JE SUIS EN VACANCES DANS DEUX JOURS !
Génial ! Continue comme ça !
Astro ! Repasse après tes vacances (moi je part dans 3 jours )
! !
Wesh Encore 2 jours
A non 1
Salut Scarface !
Si tout va bien, je la publie ce soir, sinon demain matin.