Quand j'ai dit "n'uppez plus ce topic tant que la suite ne sera pas arrivée, ça gênera encore plus les autres", je ne plaisantais pas là non plus. C'est gentil de votre part d'attacher de l'importance à ma fic, mais attachez aussi de l'importance à ce que je dis des fois. En temps normal ça m'aurait plu de voir mon topic uppé, mais là ça ne fait qu'accentuer ma mauvaise volonté.
Merci.
Crazy as-tu écrit un suite
T'es là Manette ?
Je comprends ta réaction Crazy, mais je n'ai pas envie de payer pour la bêtise d'autres, désolé
Bonne chance dans la suite de ta fiction, je me fais pas de souci là dessus, tu es un experte dans le domaine Et d'autres commentent mieux que moi, donc tu ne perds rien
A bientôt Crazy, j'espère que tu liras la mienne quand je m'y mettrais
Ah oups je m'excuse je l'avais oublier ce post
J'espère que tu me perdonera Crazy
Mouchoir mes chers enfants. Ça fait un bail, n'est-ce pas ?
J'avais dit "suite dans trois-quatre mois" après ce qui s'est passé... Les trois-quatre mois sont passés, puisqu'il n'y a pas eu de suite depuis juillet.
Je suis désolée d'avoir provoqué le départ de certains lecteurs, et je dois avouer que j'ai trouvé ça très dommage puisque je prévoyais de suiter bientôt... Je garde l'espoir de les revoir un de ces quatre. D'ailleurs Wyv, si tu te remets au boulot, sache que je serai là pour voir ce que tu auras fait !
Malgré tout ça, je regrette pas cette longue attente que je vous ai... infligée (disons les choses franchement, après tout je suis sadique surtout quand on m'agace ). Pourquoi je ne regrette pas ? Parce que dans les mauvaises choses, il y a parfois du bon. Je n'ai jamais été autant motivée à écrire et à m'appliquer, je crois. Ou bien je le suis dans mes périodes d'idées folles seulement... Mais là, c'était fort, indescriptible
Donc, merci à vous d'avoir attendu patiemment, lecteurs ; bienvenue aux nouveaux lecteurs, et merci à Ass'... non pas d'avoir volé le 777ème post, mais surtout de m'avoir poussée à punir... Même si c'était mesquin de ma part et un peu de la sienne, je l'avoue. (Il reviendra je vous dis, stop vous inquiéter. Au cas où. )
Avant cette suite qui va peut-être vous ennuyer (vos réactions m'angoissent ), laissez-moi vous poster...
°Les petites astuces de Crazy.°
Astuce n°… Bon j’arrête de les compter, de toute façon vous saurez ce que c’est et j’en ferai plus aussi souvent
Les verbes au passé simple.
Parce que ‘faut qu’on cause ! Quand on voit des « il revena » du verbe revenir, « elle ria » du verbe rire, surtout dans des récits… C’est juste aberrant, ça casse tout… surtout qu’il y a des moyens très simples de ne pas se tromper de conjugaison.
N’avez-vous pas remarqué que les lettres dans les terminaisons variaient surtout selon les groupes de verbes ? Voilà ce que ça donne :
Verbes du 1er groupe (terminaison en –er) -> terminaison avec « a », exemple : « elle marcha »
Verbes du 2ème groupe (terminaison en –ir avec –iss) -> terminaison avec « i », exemple : « il finit »
Verbes du 3ème groupe (terminaison en –ir sans –iss ; -re ; -oir…) -> terminaison avec « i » et « u », exemple : on rit (et pas « on ria », ça n’existe pas le verbe « rier »), on vendit, on voulut, on put.
Je n’ai pas parlé des verbes irréguliers, en général on connaît leur conjugaison.
Compris les enfants ? Alors fini pour aujourd’hui
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Sommaire :
Chap1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-1-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1518500
Chap2 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-2-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1520273
Chap3 part1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-2-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1522068
Chap3 part2 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-3-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1525283
Chap4 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-3-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1531562
Chap5 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-5-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1537668
Chap6 (en deux messages): https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-6-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1540314
Chap7 part1: https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-7-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1545818
Chap7 part2 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-8-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1549339
Chap8 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-11-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1554535
Chap9 part1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-13-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1557966
Chap9 part2 (en deux messages): https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-15-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1580785
Chap10 (en deux messages): https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-18-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1593316
Chap11 (en deux messages): https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-22-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1608811
Chap12 (en deux messages): https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-26-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1620420
Chap13 part1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-28-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1626892
Chap13 part2 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-30-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1628836
Chap14 part1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-33-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1640477
Chap14 part2 (en 2 messages) : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-35-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1645128
Chap15 (en 2 messages) : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1518500-36-0-1-0-fic-virus-mdr-03.htm#message_1664498
Ouh là, à partir de maintenant les chapitres de 1 à 15 seront regroupés dans ce message dont je mettrai le lien, au lieu de tout copier.
Résumé bref : Le groupe Peach + Cartoon + Wolf + Yoshi est parti d'Hyrule à bord d'un vaisseau propulsé par la force herculéenne de Ganon et l'aide de Sheik, dans le but de récolter les ingrédients de la recette du remède et gagner du temps. Sheik, en cachette, a créé une illusion à l'intention de N°1 et N°2 afin de les prendre à leur propre piège (du coup, ils croyaient que Link avait embrouillé le groupe de Peach + Ike + Samus + Marth + Bowser + Pikachu alors que Peach est en réalité séparée des autres et que Link n'était qu'un clone de Sheik ! ) Pendant ce temps, Créa-Main aide le groupe des malades à venir à Corneria, mais au moment de leur arrivée une dispute éclate entre Samus et les autres membres du groupe... Pas de panique, quelqu'un vient réparer les dégâts... Mais qu'est-ce donc, ce truc qui arrive à toute vitesse ? AHAHA
Allez, fini mon blablatage, enjoy maintenant
Merci du Sommaire , ça évitera les délires et les troll qui y'a entre les chapitres.
Autour d’Ike, il n’y avait que des couleurs chaudes. Du moins, des teintes qui se confondaient, associées à une chaleur inconnue et très prononcée sur ses lèvres. C’était une sensation bien dérangeante. Et puis, ce mal de crâne dû au choc contre le sol… Insoutenable. Mais cela ne dura pas longtemps.
Lorsque le jeune homme reprit ses esprits, toujours couché, il put constater qu’un faucon se trouvait sur lui… Non, un homme au casque rouge, sur lequel figurait un aigle ou un faucon doré, était sur lui. Ses yeux, d’un blanc énigmatique, dissimulaient leur véritable aspect derrière une visière sombre. L’individu, de carrure musclée et d’apparence trentenaire, portait une combinaison bleue, d’épaisses épaulettes à dominante pâle, et une écharpe jaune. En effet, Ike ne pouvait voir que le haut du corps, à cause de leur position à tous les deux. Or ce n’étaient pas les détails les plus choquants. Et ce moment était si embarrassant, qu’Ike aurait préféré que le sprinter à l’aura écarlate n’ait pas raté son coup et l’ait frappé en pleine figure.
Parce que finalement, le poing avait simplement frôlé la joue gauche du visage d’Ike. C’étaient alors leurs bouches qui ne s’étaient pas ratées.
- MMMMHHH !! fit Ike en gesticulant, le teint cramoisi.
L’agresseur ne réagit que trois secondes après l’agitation de sa victime. Quant à celle-ci, elle releva son torse, recula précipitamment et se cogna finalement le dos de la tête contre Créa-Main. Les yeux exorbités et les joues toujours aussi rouges de honte, Ike fixait nerveusement l’homme qui avait eu la bêtise de l’embrasser devant tout le monde. Ce guignol, avec ses manches orangées, sa ceinture de cowboy munie d’un revolver et ses gants et bottes jaunes, habits qui ne collaient même pas avec son faux air de vierge effarouchée… Pour qui se prenait-il ? En tout cas, il paraissait bien trop ridicule pour être vrai. Peut-être que c’était le choc à la tête qui faisait cet effet… Peut-être que le baiser volé n’était lui-même pas réel… Pas possible, sinon cet arriviste, les mains sur ses joues roses, ne serait pas en train de minauder, malgré sa voix bien virile :
- Oh, tu ne m’as pas repoussé tout de suite quand nous nous sommes embrassés… Coquin, rrr.
Ike resta bouche bée face à cette « griffe » tendue et ce ronronnement taquin. Autour de lui et de cet être ô combien étrange, les autres ne surent quoi répondre et n’eurent aucune réaction… Jusqu’à ce que les explosions de rire eurent raison du silence. Que cela vienne de Marth et de Samus, qui n’avaient guère cette habitude, ou de Bowser et Pikachu, qui avaient le rire facile. Même Créa-Main se laissait emporter par l’hilarité générale, malgré le blues. Ce qui n’était pas du goût du jeune guerrier, tellement sidéré qu’il lança un cri de rage…
- AAAAARGH !! Non…
Réalisant peu à peu ce qui venait de se passer, il se prit la tête dans les mains en se lamentant encore. Pendant ce temps, Samus sauta au cou de l’ami qu’elle avait reconnu :
- Oh, c’est si bon de te revoir… Falcon…
- ‘Tchu ! approuva Pikachu en dansant près d’eux.
- Hé hé, oui, le Captain sera toujours là pour te servir, Samie, répondit-il avec un sourire éclatant. Ah, ravi de tous vous voir !
- Le plaisir est partagé, Captain, déclara Marth en hochant la tête.
- Ouais, partagé à condition que t’aies vraiment dit « Falcon Punch » et pas « Con Punch », tss, se plaignit Bowser, toujours vexé.
Captain Falcon semblait ignorer de quoi le Koopa voulait parler. Mais le fait que celui-ci connaisse le nom de son coup de poing spécial n’était pas étonnant. La tortue, le faucon humain, le prince, le Pokémon et la chasseuse de primes, sans oublier le gant géant, avaient un passé commun. Et certains avaient plus d’affinités entre eux que d’autres. Mais ce qui était sûr dans ce groupe, c’est que tout le monde aimait Captain Falcon. Tout le monde, sauf Ike, bien qu’il vînt à peine de le rencontrer. Ce que Falcon pouvait bien penser l’importait donc peu.
Or, d’autres choses parurent plus importantes sur le moment. Par exemple, celles que Marth, Samus et Bowser avaient à se dire, là tout de suite.
- Hum, Samus… Pikachu nous a ouvert les yeux tout à l’heure… Nous avons eu tort de nous en prendre à toi, admit le jeune homme. Pardonne-moi d’avoir cru que le sort de Peach ne t’importait pas, et d’avoir soutenu Ike et ses propos plutôt déplacés…
- Oui, on s’est comportés comme des minables, en plus on sait que t’es pas du genre à mentir, reconnut la bête. Ça méritait bien un Con Punch (Falcon le regarda d’un air plus perplexe)… Et puis j’pense pas que Peach aurait voulu qu’on s’embrouille tous, alors qu’on a le même problème… J’suis désolé.
Ike releva la tête, afin de les fusiller du regard, un par un. Quand on retournait sa veste en faveur d’une furie qui n’en valait pas la peine, il n’y avait pas de quoi être fier. Même si la furie en question avait retrouvé le sourire.
- Merci beaucoup, dit-elle, je vous pardonne… D’ailleurs, je dois aussi vous présenter des excuses, pour mon attitude froide et distante envers vous tous. Je ne vous déteste pas, croyez-le.
- Peace and love, mes frères et mes sœurs
Adieu nuages de blues et d’rancœur ! chantonna Créa-Main sur un doux air de guitare.
- Et toi, Ike, tu ne dis rien ? interrogea Captain Falcon, intrigué par son silence. Tu sais que tu n’as agi que caprice et non par compassion pour Peach ?
Ainsi donc, il savait qu’il était arrivé quelque chose à Peach… En écoutant les autres, certes, mais cela prouvait que Falcon n’était pas un clown totalement idiot, comme Ike avait pu le croire. Cependant, il avait le don de l’irriter avec sa morale à la noix. Le principal concerné par ces paroles serra les dents, sans pour autant se relever.
- J’ai fait que dire la vérité, répliqua-t-il d’un ton dédaigneux. Y a que la vérité qui blesse…
- Pff, tu fais pleurer les femmes et tu oses garder ta prétention à deux balles… Quel gâchis pour un mec sexy.
- Merci du compliment, mec… Par contre tu devrais retirer le mot « prétention » de ta phrase… On se connaît pas, alors je t’interdis de me juger, vu ?
Falcon fit la moue. Le mercenaire lui lança un regard hostile, avant de l’orienter vers sa meilleure ennemie. Celle-ci avait encore les yeux rouges, mais cela n l’empêcha pas de le toiser à son tour. Pikachu les examina l’un après l’autre, comme si ses yeux ne savaient pas vers qui se tourner. Marth s’assit par terre, déjà fatigué. Créa-Main, lui fredonnait sans bouger, tandis que Bowser rassemblait les médicaments en désordre sur le boss.
Quelle atmosphère pesante… Tellement pesante qu’elle surprit fortement le Captain. Afin de contre-attaquer cette ambiance, il frappa dans le vide et s’écria :
- Hé, c’est quoi cet air blasé, tout le monde ? Vous arrivez dans une ville dynamique et vous n’empruntez même pas un peu de ce dynamisme ?! Vous n’allez pas vous ramollir, tout de même !
- C’est justement parce qu’une chose est en train de nous ramollir que nous sommes là, précisa Marth d’un ton désolé. Nous sommes censés chercher un guide ici…
- Pi pika, ‘tchu ? s’enquit Pikachu, les yeux brillant d’espoir.
- Moi, un guide ? Si je devais l’être, ce serait dans le but de vous conduire au bonheur, et non pas de vous laisser dans cet état, à vous prendre la tête !
- Mais Captain, on a de sérieux soucis…, commença Bowser d’un air préoccupé.
- Et c’est pour les oublier que vous êtes venus ici, pas pour en faire une affaire d’Etat, énonça Falcon. Je serai votre guide, et vous verrez que tant que vous êtes ici, à Corneria, avec moi, vous n’aurez ni le temps de vous inquiéter, ni le temps de vous ennuyer…
Ike et Samus voulurent contester l’initiative à leur tour, mais le Captain les coupa tout de suite en les entraînant par la main :
- Ah, ah. Ne dites plus rien. Laissez-vous juste emporter par la spirale de l’amusement et de l’allégresse, et… suivez le guide !
Il partait déjà, suivi des autres qui peinaient encore à se faire comprendre de leur compagnon de toujours. Bowser était le dernier d’entre eux, car Créa-Main faisait apparaître un grand sac marron pour les médicaments. Il renouvela les armes et les protections médicales, par la même occasion. Puis, ne sachant quoi faire, il cria à Falcon :
- Et moi alors, qu’est-ce que je deviens ?
- Merci de les avoir amenés ici, la main ! Vous pouvez disposer et faire ce qui vous plaît ! Je m’occupe de tout !!
Ainsi jeunesse fila-t-elle, abandonnant le gant sans âge qui resta planté là. Il s’éleva un instant dans les airs, laissant tomber ses doigts comme s’il soupirait. Et finalement… il relativisa. Être délaissé par des malades était moins grave qu’être brutalement séparé de Dé-Mainiaque. Cette dernière importait bien plus… Sinon, il n’aurait pas le blues.
De ses doigts, il joua alors un air de jazz sur un piano imaginaire, et chanta sur un rythme effréné :
- Une fois de plus abandonné
Moi le grand gant blanc damné
Parce que j’ai le cafard !
(Il marqua une pause dans sa chanson.)… Bon, traçons à nouveau notre route avec philosophie, attends-moi Dé-Mainiaque. (il la reprit plus doucement : )
Hmm j’ai l’cafard, ouais, j’ai l’cafard…
Créa-Main ignorait dans quel système ou dans quelle galaxie sa jumelle pouvait bien se trouver. Mais en partant, il eut tout de même une pensée pour les smasheurs et les prochains évènements à venir…
…C’était aussi le cas de Dr Mario, qui sortait des toilettes de l’hôpital, un journal entre ses mains presque sèches. Le jour recommençait son combat quotidien contre les ténèbres, et faisait lentement son apparition. Tandis que le médecin lisait « Les Echos de Nintendo », il marchait d’un pas confiant vers le laboratoire, sourire aux lèvres au-dessus du masque qu’il avait retiré. Son comportement sembla atteindre son paroxysme, lorsqu’il arriva devant la porte de la salle, près de R.O.B, et qu’il se mit à rire nerveusement.
- Pourquoi riez-vous, docteur ? demanda le robot d’une voix blanche.
Le médecin garda les yeux rivés sur son bulletin, en reprenant son calme mais en laissant sur son visage un sourire de satisfaction.
- Tu n’es pas parvenu à détecter nos chers malades, avec les quatre échantillons de sang que je t’ai mis dans le corps et les nouvelles fonctions que je t’ai ajoutées ? interrogea-t-il sans prêter plus d’attention à la question de R.O.B.
- Non…
- Et tu m’as l’air en très bon état… C’est donc qu’ils ne sont plus sur Terre.
Son rictus fit reculer son serviteur de fer. Dr Mario réfléchit quelques secondes, puis poursuivit en parcourant son journal :
- Ces deux autres andouilles toujours en noir parlaient de Corneria. Oui, nos fugitifs ont dû réussi à s’y rendre, s’ils ne sont pas morts entre temps… Et s’ils sont effectivement à cet endroit, alors… je n’ose même pas imaginer les perturbations auxquelles ils seront confrontés… Ni quel effet cela pourrait entraîner sur le virus… Intéressant…
Il s’esclaffa férocement cette fois, en prenant soin de remettre son masque de protection sur le bas de son visage avant de retourner à ses tâches. Il lâcha à terre le journal, qui s’ouvrit sur un article qui répondait à la question posée par R.O.B…
… « CORNERIA CITY : LA POLICE DE LA TERREUR ».
Evidemment, cette affaire était le cadet des soucis des brawleurs touchés par MDR-03. Captain Falcon leur avait bien fait comprendre qu’il était inutile de lui résister, quels qu’en soient les moyens. Certes, s’éclater en ville le temps d’une journée paraissait inconcevable, quand on venait de perdre une amie et qu’on était atteint d’un virus mortel. Et pourtant, le plaisir et l’émerveillement ne se firent pas attendre…
Cela débuta par de la surprise, lorsque Captain Falcon amena le petit groupe sur une pelouse décorée par une imposante fontaine. Un seul côté de ce terrain n’était pas fermé par des trottoirs blancs ou par des tours, et permettait donc de voir ce qui se passait non loin de la ville. Pour scruter ce spectacle, les brawleurs s’allongèrent tranquillement sur l’herbe. Alors, l’étonnement laissa place à l’admiration.
Car au-dessus des quelques collines qui ceinturaient la ville, des véhicules aériens se lançaient une multitude de missiles laser. Il y en avait une dizaine ! C’était comme regarder une projection en plain air… Il ne manquait plus que le pop-corn. Mais cette petite bataille n’était pas le détail le plus étrange. Les Cornériens – à première vue, des canidés de toutes sortes, habillés comme des humains – qui se promenaient près de la fontaine et du gazon n’avaient pas l’air d’avoir remarqué grand-chose.
- Vous avez l’habitude de voir ça ?! s’enquit Bowser, impressionné.
- Depuis l’évasion remarquable de deux prisonniers, ce qui veut dire depuis quelques jours, on a l’habitude d’assister à des tentatives de fuites plus nombreuses ou d’assaut des forces ennemies, répondit Falcon en riant. Quoique, ça fait quand même un bail que les forces ennemies essaient de s’en prendre à Corneria, en y réfléchissant. Souvenez-vous, c’est à cause de ça que la ville a été interdite de participation à chaque Smash Bros, et toujours à la dernière minute en plus.
Ike continuait de contempler le combat, sans avoir prêté grande attention aux explications de Falcon. De leur côté, Marth, Samus, Pikachu et Bowser réfléchissaient aux propos de leur ami. Voilà pourquoi ils connaissaient vaguement Corneria, sans le souvenir de l’avoir un jour visitée. Se battre dans cette cité aurait été bien sympathique. Tiens, mais quelqu’un avait déjà protesté à propos de Corneria… Qui était-ce ? Une chose était sûre : il s’agissait d’un smasheur pas si étranger à cet endroit…
- Hé, les enfants, les interpella le Captain. Vous êtes sales, vous savez ?
Il se releva aussi rapidement que s’il avait fait des flexions, ce qui fit sursauter tout le monde. Là, il se mit à courir comme un fou autour de ses camarades, à tel point qu’on ne remarquait même pas les moments où il s’interrompait dans sa course pour partir dans l’autre sens. Quand il s’arrêta enfin après quelques secondes, il leur adressa un sourire enthousiaste et, en sautillant un peu comme une sauterelle, s’exclama :
- Hé hé, allez, c’est l’occasion de se refaire une beauté et de faire les magasins ! Yahoo !
Bien sûr, il s’éloigna le premier. Les autres se redressèrent, yeux écarquillés, et avancèrent bouche bée. Bowser, derrière la bande, se permit de critiquer comme à l’accoutumée, de sa voix grognon :
- Il est dopé ce mec ou quoi ?! Non mais regardez-le courir comme un lièvre ! Il va finir par tous nous tuer, moi j’vous le dis…
Le Captain ne leur laissa pas le temps de s’ennuyer, comme il l’avait assuré auparavant. Bowser en oublia vite les inquiétudes à son égard, et Ike, sa rancœur.
Tous ensemble, ils arpentèrent les rues blanches de Corneria pour aller d’abord dans un salon spa, où Falcon avait réservé une salle avec deux grosses baignoires. Naturellement, il refusa de leur dévoiler les moyens dont il avait usés pour y parvenir. Après deux ou trois heures de gommage de peau et de bataille d’eau plutôt sale, la bande fuit les lieux en peignoir, avec leurs armes respectives et le sac, afin de récupérer leurs vêtements secs et propres à la laverie d’à côté. Il n’y avait que le casque de Captain Falcon qui gardait une apparence mal soignée, puisque son propriétaire n’avait pas voulu l’enlever pour le bain…
Ce n’était néanmoins pas cela que les passants curieux observaient. Il faut avouer que se promener en tenue de combat avec un gros sac plein d’armes sur le dos et des masques au visage, c’était le meilleur moyen de se faire remarquer…
Un seul remède à cela, d’après le sprinter excité :
- Que serait une journée comme celle-là sans shopping ?
- Pika…
- Tu l’as dit, soupira Bowser.
Le Pokémon et le Koopa ignoraient ce qu’était un après-midi shopping, et n’avaient pas la moindre envie de tester cela. Mais avaient-ils vraiment le choix ?
Ils se laissèrent alors tous, une fois de plus, guider par la bonne humeur de Falcon, qui les conduisit dans des grands magasins de prêt-à-porter et d’accessoires. Comme les malades étaient peu motivés par l’essayage, Falcon déshabilla lui-même les trois autres êtres humains du groupe dans les cabines, sans prendre ombrage de leur sexe ou de leur pudeur.
Une quinzaine d’essayages plus tard dans le cinquième magasin, chacun trouva son bonheur, et la patience - ou impatience, au choix – du Captain fut récompensée.
Ike était à présent vêtu d’une chemise bleue à rayures verticales et à manches trois-quarts, avec un jean noir serré et des chaussures en cuir sombre à semelles épaisses. Il restait soucieux de sa sécurité, d’où l’aspect de ces dernières. Marth était ressorti de la boutique avec une veste grise, un tee-shirt blanc à col rond et à manches longues, et un pantalon similaire à celui d’Ike. Il avait quasiment fait le même choix en ce qui concerne également les pieds, la seule différence étant que ses chaussures à lui étaient un peu moins robustes que celles du mercenaire. Les deux épéistes ayant tenu à rester un minimum armés, ils avaient gardé leurs mitaines et s’étaient équipés d’une ceinture de cuir, afin de porter leurs épées sur leur dos. Samus, elle, paraissait moins intimidante, malgré le pistolet qu’elle portait dans le fourreau de sa ceinture. Elle avait troqué sa combinaison bleue contre un chemisier noir à manches courtes et une jupe à frous-frous couleur café au lait, qui s’arrêtait au genou. Captain Falcon l’avait obligée à mettre des talons, du coup les pieds de la jeune femme furent habillés d’escarpins noirs à nœuds papillons blancs. Contrairement aux autres, elle avait changé de coiffure et avait tiré deux mèches de cheveux en arrière avec une pince, laissant le reste de sa chevelure blonde lâché.
- J’ai l’air ridicule comme ça, et en plus je n’ai pas l’habitude de marcher avec des talons, se plaignit Samus, embarrassée.
- Et moi, ça me fait tout drôle de sortir ainsi vêtu, commenta Marth. Ce genre de vêtements n’existe pas chez moi. Je me sens plus citoyen lambda que prince, là. Est-ce une bonne réaction ?
- C’est pas à moi qu’il faut le demander, moi je suis un guerrier, pas un prince, lui rappela Ike en faisant la moue. Je me trouve pas si mal de mon côté, mais sans mon plastron, ma cape et mes semelles de métal, j’avoue que j’ai l’impression d’être tout nu et vulnérable…
- Mais de rien ! ironisa Falcon en roulant des yeux.
- Vous exagérez, moi j’pense que le Captain a eu raison de nous payer tout ça finalement ! affirma Bowser en montrant le nouveau gros sac de randonnée kaki que leur ami avait acheté, afin d’y mettre les munitions et les anciens habits.
La tortue et la souris jaune avaient eux aussi bénéficié de cadeaux : l’une portait un foulard noir au cou, et l’autre un petit chapeau brun sur la tête. En revanche, le Captain n’avait rien pris pour lui. Il devait vraiment avoir de l’argent à dépenser. Pikachu n’utilisait pas l’argent, mais il savait, par observation, que quand on s’en servait autant pour les autres, on était soit généreux, soit fou. Falcon était sans aucun doute les deux. Et c’était le coup de fouet dont le groupe avait besoin, après tous les malheurs que celui-ci avait traversés. Quand le Pokémon y pensa, il éprouva une profonde reconnaissance envers cet homme qui jouait les papas gâteaux.
- ‘Tchu, pika… Merc… pi pikachu !
Captain Falcon arbora un grand sourire en regardant Pikachu, puis le prit dans ses bras en le tapotant un peu et en répondant :
- Ah, ça me fait plaisir… Et c’est pas près de finir ! Depuis que vous êtes là, j’sais pas ce que j’ai, je pète la forme ! ‘Faut absolument qu’on finisse cette journée en beauté ! On va visiter un peu la ville et boire un verre ensuite, ça vous dit ?
Samus, Marth et Ike affichèrent un rictus : une fois de plus, la suggestion tenait de l’ironie, puisqu’ils ne pouvaient pas la refuser. Ce rictus se transforma ensuite en sourire espiègle et optimiste : il fallait avouer que cette journée n’était pas comme les autres. Pikachu semblait tout aussi enthousiaste… Pourtant, pour Bowser, quelque chose clochait. Etait-il le seul à avoir remarqué que le Pokémon venait de faire une chose inimaginable pour une créature telle que lui ? N’y avait-il que lui, qui avait vu que l’air de Pikachu n’était pas seulement réjoui, mais aussi cachottier et confus ?
De toute façon, il laissa vite ce détail de côté lorsque Captain Falcon leur expliqua un peu le mode de vie de Corneria tout en les faisant marcher en ville. Celle-ci portait le même nom que sa planète, quatrième sur l’orbite de Lylat. Corneria City était la ville de la diversité : on y trouvait toutes sortes de races. Elle se développait parfaitement. Ainsi, à la place d’affiches, on avait des hologrammes circulaires sur des hautes tours. Les robots et les cyborgs faisaient partie du quotidien des Cornériens, mais tout comme eux, certains parmi eux pouvaient se comporter en vraies racailles. Le Captain raconta aussi que depuis qu’il était arrivé ici, il n’avait guère croisé d’humain, et qu’il serait donc frustrant pour un tel être de vivre ici… Sauf si on était zoophile. Oui, parce que tous les êtres humains cherchent une âme sœur, et en trouver une dans cet endroit était désespéré. Comme Falcon commençait à dire des choses peu intéressantes pour les autres, les questions fusèrent. Comment fonctionnaient les hologrammes ? Comment la défense s’organisait-elle ? Corneria attirait-elle du monde ? À part les langues terrestres, quelles autres langues y parlait-on ? Pouvait-on rester dans les airs indéfiniment ? P’ka pi ‘tchu pika pikachu ? Etc…
Arrivés dans un bar, le guide touristique, assoiffé, se rua vers le comptoir et commanda six diabolos divers. Tandis qu’il commençait à siroter son soda à la grenadine, il jeta un dernier coup d’œil sur le barman, puis une fois assis à table, il souffla à Samus :
- Il te dévore des yeux chérie, tu lui as tapé dans l’œil…
- Pff, s’il pouvait se faire dévorer les yeux lui, ça m’arrangerait, lâcha l’intéressée d’un ton ironique et agacé.
Captain Falcon se mit à rire, et bientôt l’hilarité gagna Samus, puis Bowser qui l’avait entendue parler, puis Pikachu, et enfin, Marth, à cause de la bêtise de la situation. Seul Ike ne parvenait pas à rire, tant il était dégoûté à l’idée que ce fût son ennemie jurée qui avait provoqué cette bonne humeur. Il ne savait même pas qu’elle était capable de faire rire, bon sang ! C’était dire à quel point elle n’avait pas l’air normale. Même un cyborg du type « truand de la galère » aurait pu passer pour quelqu’un de banal…
Une tape brusque sur les fesses ramena le jeune homme à la réalité. Lorsqu’il se tourna pour voir le coupable, son regard plein de reproches rencontra celui de Falcon, euphorique. Ce dernier remua un peu son postérieur, entraîné par l’ambiance complètement … de ce bar branché.
- Allez, venez on danse !
- T’es jamais fatigué, toi ? Tu t’arrêtes jamais de bouger hein, plaisanta Ike, qui se rendit soudain compte qu’il venait d’être gentil avec lui.
- Ah, t’as retrouvé le sourire, lui fit remarquer Falcon.
Et il tira chacun de ses compagnons hors de la table afin de se laisser emporter par la musique. Ils ne prirent même pas le temps de finir leurs verres. Tant pis.
Tant pis car ni les sodas, ni les clients du bar qui les regardaient n’avaient d’importance en cet instant. Ils n’étaient pas dans une boîte de nuit, et alors ? Pour une fois, ils pouvaient savourer l’instant présent. Ils ne faisaient pas que danser. Ils se libéraient de la solitude, du sérieux, de la pression, du monde adulte. Bientôt, tous ceux qui restaient là à les contempler les imitèrent, tout d’un coup attirés par l’ambiance joviale. Pour tous, à part Falcon et quelques fêtards, la fête et le divertissement n’étaient pas une habitude, mais une occasion, tout comme les retrouvailles entre amis. Ce qui était bien dommage…
Le Captain s’arrêta subitement de danser pour prendre son téléphone dans une de ses poches (bon, il n’était pas totalement à la pointe de la technologie). Samus crut soudain voir quelque chose tomber…
- Attention, dit-elle en ramassant l’objet, tu as failli perdre… un insigne de policier ?! Falcon ?!
- Qu… ‘Tchu ! fit Pikachu, qui ouvrit des yeux plus ronds que d’ordinaire.
Bowser fixa de nouveau la souris, tandis qu’Ike et Marth jetèrent sur le Captain un regard inquisiteur. Maintenant qu’ils y songeaient – tous sauf Ike - son lieu d’origine n’était pas Corneria, et il n’avait pas encore expliqué sa présence à cet endroit.
Le principal concerné leva alors les mains, comme pour se rendre…
- D’accord les amis, d’accord, je vais vous dire ce que je fais ici.
A Suivre
By Crazy
J'ai dit plusieurs fois de pas upper, j'voulais faire une surprise, merci d'upper mais quand je dis "n'uppez pas" ça a du sens
Ne lisez pas tout d'un coup si vous avez mal aux yeux
Oublié un mot après "ambiance complètement ...", et le pire... c'est que je savais pas quoi mettre en fait
Je l'indique, comme ça y aura pas besoin de me le rappeler
Très bon chapitre
Il est fou ce Falcon mer il et fou.
Il manque un r à "réussir" quelque part. Mais sinon j'ai rien relevé et comme toujours c'était bien décrit et on se perdait peu dans les dialogues.
Donc... patientons jusqu'à la sweet!
Con punch !
Ca m'a fait délirer.
Très bon chapitre. En plus tu postes juste après mon up !
Rien à redire, c'est génial.
Falcon X Ike ?!
Moi je trouve qu'un Samus x Ike ce serait trop meugnon.
Enfin, bref..
Bon, ta fic a un pouvoir attractif trop important et que j'avais sous estimé
J'ai lu et j'ai explosé au "- Oh, tu ne m’as pas repoussé tout de suite quand nous nous sommes embrassés… Coquin, rrr."
Encore bravo
Je lis... :3
Merci pour vos commentaires
Et merci d'être revenu Wyv
Pour death-kuja "En plus tu postes juste après mon up ! "
Oui, et ça a failli me pousser à bout, j'ai déjà répété des centaines de fois qu'il ne fallait PAS upper, et ce n'était pas pour rien, c'était pour pouvoir le faire moi-même quand la suite serait arrivée. 'Faut vraiment m'expliquer ce qui est dur à comprendre là-dedans, hein. C'est vraiment énervant quand on a prévenu des centaines de fois et qu'au bout du compte les gens continuent et gâchent tout. Réfléchissez à ça la prochaine fois (oui, ça s'adresse à tout le monde cette fois, ça aurait pu être n'importe qui).
J'espère que maintenant c'est rentré, parce que la prochaine fois je crois que je ne serai pas tendre du tout.
Encore merci pour vos remarques et désolée pour les fautes d'inattention, je peux vous dire que ça fait vraiment plaisir de voir autant de commentaires (et positifs alors que je les redoutais un peu ) en peu de temps.
"C'est vraiment énervant quand on a prévenu des centaines de fois et qu'au bout du compte les gens continuent et gâchent tout."
Nan mais stop quoi. Je le prendrais super bien que des personnes up ma fic tous les jours, ce serait le rêve pour moi, et je pense pas être le seul dans ce cas. C'est sûr que t'avais prévu un truc alors ça gâche un peu la surprise ... ou pas. Franchement je trouves ça chaud d'engueuler des personnes qui aiment ta fic. Ne râle pas après ta chance
J'ai lu, com plus tard.
Nan mais oui, ça me fait plaisir qu'on uppe, mais quand je précise, dans ce cas précis, qu'il ne faut pas, c'est qu'il ne faut vraiment pas. Dans ce cas, ça fait pas plaisir, parce que j'le prends plus dans le sens "osef de ce que je dis" que dans le sens "on aime ce que je fais". C'est surtout le fait que j'aie à le répéter alors que vous savez très bien que d'habitude j'insiste pas autant.
Alors je sais, je suis vachement conne de m'énerver juste parce qu'on montre qu'on pense à cette fic, mais... Pensez-vous au moins à l'auteur ? Ici, il n'y a pas qu'une fic. La fic, elle a une origine humaine, qui sait parler aussi, et bien qu'elle soit trop bornée, elle dit pas des paroles en l'air. T'aimerais bien qu'on te répète "tu fais quand la suite" alors que tu l'as déjà dit bien clairement au moins deux fois par exemple ? Tu te dis souvent "c'est gentil, c'est pas grave" mais à la fin, non seulement t'as la pression mais en plus tu te demandes à quoi ça sert de parler.
Excuse-moi de grogner un peu juste parce que j'ai l'impression de parler dans le vent.
Je me montre chiante, mais j'vais pas toujours me taire quand une chose me plaît pas. Après, ça ne veut pas dire que je vais toujours râler pour un up, pour un oui, ou pour un non, et ça ne veut pas dire que je vais être tout le temps comme ça. Mais, sachez-le... J'me demande si ce pavé aura servi d'ailleurs.