Magnifique

Merci.
J'hésite à vous mettre la suite maintenant ou plus tard...

Chapitre 2

Après les descriptions de papi loutre, je me posais beaucoup de questions… Pourquoi, moi, la petite fille de 12 ans, je pourrais sauver un monde… Je ne suis qu'une "gamine" aux yeux de certains, immature, aux yeux d'autres. Mais pourquoi moi ? Je ne fais jamais rien, c'est à peine si j'oserai m'approcher à plus de deux mètres d'une araignée… Ils se trompent de personne, je ne suis pas celle qu'ils croient. Je suis trop bête pour pouvoir faire tout ça, trop occupée à d'autres choses, il m'est impossible de les sauver. Eux, et tous les autres.
" C'est possible, moi, je crois en toi. Souria Lionel.
- Hein ? Heu… Oups, j'ai pensé à haute voix… Hihi ! Dis-je avec un rire forcé.
- Tu es capable de nous sauver, les maires ne peuvent rien faire à cela, et pourtant, ce sont des maires, des rois d'un village, mais ils ont beaucoup moins de puissance que toi… dit d'une voix grave le papi.
- Et comment vous voulez prouver que je suis plus forte qu'un maire ? Hein ? Dites, pour voir ! M'énervais-je.
- Je te demande juste, de répéter après moi, en fixant la table.
- Mh, ok. Dis-je avant de fixer la table en bois, où trônaient des tasses de thé, ou de café à moitié vide.
- Macatah, si coméha.
- Macatah, si coméha, répétais-je.
- Ifu canafla, fla.
- Ifu canafla, fla. Répétais-je encore, prête à éclater de rire. "
Il ne passa pas une seconde avant que la table ne vole. J'étais stupéfaite par cela, avec de simples paroles, j'ai su faire voler une table, et les tasses avec… Mais… Attendez… Si il faut, c'est PAPI qui a fait voler la table et pas moi ! Arf…

" T'es un imposteur papi ! C'est TOI, qui a fait voler la table ! Hurlai-je.
- Mh, tu crois. Alors, prends ce grimoire, ouvre le à n'importe quelle page, choisis un sort dont tu ne me diras pas le nom, fixe un objet et prononce le sort.
- Ok, ça marchera pas !
- On parie combien jeune fille ? Se moqua-t-il.
- RIEN, j'essaie, mais ça marchera pas, j'vous le dis ! "
J'ouvris l'énorme livre poussiéreux, n'importe où, je choisis un sort au hasard et, en fixant la lampe, prononçai ces mots :
" Di macoulim, tournaéhéflamatic ! "

La lampe tourna, tourna, tourna, et, dans son élan, s'enflamma.
" OUAAAAAH ! S'exclama la loutre folle, Lionel. Il avait la bouche grande ouverte…
- Heu… C'EST UNE MISE EN SCÈNE, je parie que vous vous fichez de moi ! Criais-je, trop stupéfaite.
- Et comment, puisque je ne connais pas ton sort ? Dit calmement le père de la loutre folle.
- … J'sais pas, mais vous vous moquez de ma… Tronche ! "

Je claquai la porte et allai au bord de la mer, couleur bleue, bleu très clair, avec des reflets d'or, qui venaient du soleil. Les vagues s'agitaient calmement sous la douce brise qui flottait dans l'air. Perdue dans ma contemplation, j'entendis des pas derrière moi, je vis une ombre, au bord de l'eau, mais ne me tournai pas. L'ombre ne bougeait pas, alors je décidai de me tourner, et là, j'aperçus un homme avec une très longue barbe blanche, une couronne de lierres dorés, une djellaba blanche, et un regard angélique… Je crus un instant voir Dieu, il lui ressemblait tellement. Il m'adressa ces quelques paroles avant de disparaître :
" Ô, toi, jeune fille venue d'un autre monde, crois en nous, le peule des animaux.
Pourquoi te mentirait-on ? Nous ne sommes pas comme les personnes de ton monde, la manipulation ne sert à rien, réfléchis.
Réfléchis réfléchis, réfléchis… "
Il disparut, en laissant derrière lui l'écho de sa voix…
Je réfléchis à ses paroles, il avait peut-être raison. Ce n'est pas parce que mes parents se battent comme des bêtes féroces, s'insultent, se manipulent, ou autre, que les gens sont pareils. Je vais retourner voir Lionel et son papi, et leur dire que je les crois.
Je courus vers le Nord, chez Lionel, frappai à la porte, et rentrai.

" Lionel, papi, je vous crois. Dieu m'a expliqué que vous ne pouviez pas me mentir, alors, je l'ai cru… Je viens vous dire pardon… Dis-je en laissant couler une petite larme.
- Ohhhhhhhh ! C'est trop mimiiii ! Dit la loutre folle. Par contre, je sais pas qui c'est ton Dieu, il ressemblait à quoi ?
- Ben, grand, avec une longue barbe blanche, une couronne de lierres dorés, une djellaba blanche, un regard angélique… Décrivais-je.
- Hahaaaaa ! … Connais pas. Rigola le fou.
- Ce n'est pas un Dieu, c'est ton imagination. Crois-moi… Conseilla le papi.
- Ben, alors, je dois faire quoi ? Comment faire pour sauver le monde ? je ne sais même pas ce qui le menace. Aidez moi un peu… Pleurnichais-je.
- Bon, Lionel, fils, amène moi ta lettre suspecte.
- Ouiii, je sais pas où je l'ai rangée, teste encore une fois tes pouvoirs, Ilona ! Me dit la loutre folle.
- Ben, comment, je ne vois pas la lettre, et je ne connais pas le sort…
- Je vais te dévoiler un secret. Pour la faire apparaitre, ou faire apparaitre un objet caché, tu dois prononcer Mapparus Matanus, et imaginer l'objet dans ta tête… Prête ? Vas-y. Conseilla papi.
- Mapparus matanus ! Dis-je en imaginant la lettre. "

Une petite lettre rose, avec un timbre gris et noir apparut devant nos yeux exorbités. Quand je pense, que c'est moi qui ait réussi à faire ça… J'ai peur de ces pouvoirs, peuvent ils enclencher de mauvaises choses sur moi ? J'en sais rien.
Le papi, que j'appellerai désormais sage, s'apprêta à ouvrir la lettre, quand un tremblement de terre s'enclencha, et qu'un énorme hurlement de monstre retentit.
" HEIN, PAPI PAPI ! C'EST QUOI ? Hurla le fou.
- Du calme, ILONA, répète après moi, tout en imaginant le monstre dehors ! Dit le sage.
- Heu… ok !
- INFRACTUS, SIMBOLATUM ! "
Je me concentrai énormément, imaginai le monstre, et prononçai, sous l'agitation folle, sous les éclats de verre des fenêtres, sous les bruits de cassages :

" Infractus Simbolatum. "

À suivre ...

Voici !
Je tiens juste à vous dire, que pour les sorts, j'invente les mots, c'est pas du latin, du moins je crois. /

Hé super bien ton chapitre !

J'approuve ce chapitre.

Merci merci.

A pars la DDB que tu m'a fait ( )

Je suis fan \ /

(ps: picpic est insemsible au ban (mais reviens en paix et en ayant retenu la leçon))

Quand je parlais de musique, c'est dans le prologue, le personnage écoute de la musique avec son casque, c'était laquelle ?

Oh, une musique bien triste Znation, je sais pas la quelle, mais triste. /

Merci Picpic, et j'espère que tu as retenu la leçon !

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11372-4371445-2-0-1-0-fic-vous-sauver-oui-c-est-mon-but.htm#message_4372192
"juste ça pour te plaire"

Mais ce n'est pas aussi simple que ça...

(Tu fais une fic en pensant que si je ne lui trouve aucun défaut, tu seras comblée ? Challenge accepted \ / )

Flo' Ah, coucou toi /
Owi, reviens dans le BIDES, on n'est jamais trop ! \ /
Rien de terriblement spécial là-bas, si ce n'est que le forum s'est terriblement étendu et garni en messages, on est 8èmes des forums persos les plus actifs .

Et pour le chapitre...

" C'est possible, moi, je crois en toi. Souria Lionel." >>> Le verbe Sourier n'existe pas, la conjugaison est bel et bien sourit \ /
D'ailleurs, autre faute mais parfaitement compréhensible : avant un verbe introducteur de réplique, on remplace le point par une virgule, et on ne met jamais de majuscule (même derrière un point d'exclamation ou d'interrogation).

( Est-ce que c'était clair ? )

Côté scénar', c'est très bien, la surprise de l'héroïne est bien explicitée, c'est un plus.

De la magie ? Voilà qui est intéressant ! Maintenant, tout va se jouer sur la façon dont tu vas la mettre en scène ! Alors... sweet !
_______________________

Par la rémige du Pygargue !

Sourier

J'au hurlay quand même

J'aime, j'aime.

J'avais déjà lu tout à l'heure.

Chachaw, ou tu vois sourier ?

J'adore

Sweet !

Je vais vous mettre la suite, je relis le chapitre, le corrige si nécessaire, et je poste !

"Je crus un instant voir Dieu, il lui ressemblait tellement."

T'as déjà vu Dieu avant ?

J'ai adoré ce chapitre, sweet.

Enfin, quand je dis ça Muffin, c'est parce que j'imagine qu'il lui ressemble.

Chapitre 3

" Infractus Simbolatum. "

Le tremblement se stoppa net, les hurlements aussi. Lionel et son père avaient l'air ébahis par cette prestation, comme si, comme si ce sort les avait fait taire… Ni une ni deux, je m'empressais d'aller voir dehors, l'énorme bête était toujours là, les habitants étaient tous figés, en train d'hurler, rien ne bougeait, la mer ne faisait plus de vagues, les poissons restaient figés dans les algues, les feuilles des arbres ne volaient plus, les pétales de fleurs ne glissaient plus au sol, même le drapeau de la mairie ne s'agitait plus. Que se passait-il ? Je rentrai dans la maison de Lionel. Lui et le sage avaient disparus… J'allai dans la salle d'à côté, ils n'étaient pas là non plus, mais un tourbillon violet était apparu. Je m'approchai. De l'intérieur, j'entendis des appels, j'arrivai à entendre, vaguement, quelque chose qui ressemblait à ça :
" III…NA, s…is no…ous ! D…pche t…a ! "
Peu après, je crus reconnaitre mon nom, alors, sans hésiter, je plongeai. C'était bizarre. Il faisait froid, puis en même temps chaud. Je ne voyais rien, juste du noir, je voyais noir, oui. Des sons étranges raisonnaient dans ma tête, des appels à l'aide, la voix de Lionel… J'essayai de ne faire qu'un avec le tourbillon, pour ne rien sentir jusqu'à mon arrivée. Le voyage fut long, très long. Il me parut durer des heures, alors, qu'en fait, il ne dura que dix petites minutes. Quand ce fut fini, je sentis un gros rocher me taper sur l'épaule ; j'avais atterri.
Je me levai, doucement, et admirai les alentours. C'était calme, et assez joli. Bien que les fleurs étaient fanées. Quelques petites maisons trainaient, le sol était dur, sec. Le soleil brillait, plus que d'habitude, on se croyait au Sahara. Une chaise à bascules se balançait avec la force du vent, des boules de foin roulaient au sol, et de petites fourmis transportaient des feuilles. Tout cela me rappelait quelque chose, mais je ne savais pas quoi. C'est là que je me souvins que je n'étais plus chez moi, dans ma vrai maison, sur mon lit, mais plutôt dans le jeu. C'était pire que bizarre, je m'étais transportée dans le jeu !
J'arrêtai de penser à ça, et avançai vers une maison. Hésitante, je me mis à frapper à la porte. On ne m'ouvrit pas… Alors, je jetai un coup d'oeil à la pancarte devant la maisonnette ; aucun nom n'y était inscrit, ou du moins, il était barré. Au loin, j'aperçus une tente, orange, formée comme la tente de Rounard… J'y courus.
J'entrai, sans prévenir et aperçu Lionel et le sage. Ouf, je fus soulagée de les revoir. Eux aussi, en avaient l'air.
" Hey ! Où étiez vous passés ? J'me suis fait du soucis. Grondai-je.
- Tu n'avais pas à t'inquiéter Ilona, nous n'avons pas le droit de t'oublier. Expliqua le papi.
- Comment ça, pas le droit ? Demandai-je intriguée.
- … C'est le chef, le chef du monde d'Animal Crossing qui nous l'a ordonné de cette façon : En aucun cas vous ne devrez oublier au beau milieu du monde notre petite protégée Ilona, la déesse du temps ! C'est compris ? Si vous la perdez, vous serez exécutés sur la place principale…
- Qu-quoi ? C'est de moi, qu'il parle votre … chef ? Dis-je très étonnée.
- Nan nan, il parle de moi. Dit la loutre folle en louchant.
- Ah, oui, je pensais bien. Donc, je m'en v…
- ATTENDS ! Me coupa le papi. Lionel plaisantait, TU ES la déesse du temps. Toi seule peut nous sauver de l'invasion des monstres du futur et du passé. Et tout à l'heure, à l'apparition du dinosaure, le dino lui même venait du passé, car il y a eu une disjonction du temps. Et toi, tu as stoppé le temps pour venir ici au calme, et que je puisse t'expliquer tout cela ! Tu as su stopper le temps, te rends-tu compte ? Toi seule peut le faire, tu peux revenir en arrière, en avant. Comprends tu ?
- Heu… Je sais pas quoi dire, en fait… Hier, j'étais la petite fille normale, chez moi, et aujourd'hui, je me retrouve déesse du temps, ça… ça choque. Expliquai-je.
- Je te comprends, n'ai crainte, ça a été pareil pour moi.
- Vous étiez humain avant ?! Mais, comment ça se fait que vous êtes une loutre maintenant !
- Avec le temps, on se transforme en animal, ça dépend du pouvoir, mais toi non, tu ne seras jamais animal. Dit-il sagement.
- Juste une petite question. C'était quoi, ce passage violet ? Comment est-il apparu ? Questionnai-je.
- C'est ton pouvoir. Ici, nous sommes à CityVille, mille ans auparavant.
- QUOI ? Mais… Enfin. Je dois faire quoi maintenant ? Retourner dans votre ville et renvoyer le dinosaure à son époque, j'imagine ?
- Oui. "
Un passage apparut devant mes yeux. Comme le passage violet, en plus étroit et bleu, avec des rayures noires vers le milieu... Les côtés étaient légèrement déchirés, lorsqu'on s'imaginait le fond du trou, on voyait un vide, un grand vide blanc, c'était quelques peu intrigant. J'enfonçai mon pied dedans, et, petit à petit, je me fis aspirer sous les yeux du sage et de son fils. Ma tête tournait dans tous les sens, je n'arrivais pas à bouger, mais pourtant, mon corps lui bougeait grâce aux secousses du passage. Tout changeait de couleur autour de moi. Les rayures bleues foncé devenaient grises, le fond bleu clair devenait rouge. Rien ne restait comme à la base. Même le fond, normalement blanc, devenait rose… C'est un mystère à mes yeux.
Perdue dans mes pensées et absorbée par ces couleurs, je tombai au sol, comme une crêpe. Fatiguée, j'ouvris mes yeux très lentement, et j'eus à peine le temps de voir débouler le sage et la loutre folle du tourbillon qu'ils tombèrent sur moi, en me faisant mal, évidemment…

" AYEUHH ! Faites attention, vous m'avez fait mal ! Grrraaah ! Hurlai-je.
- Jerrizus immadius. Dit vite fait le sage.
- Mais, mais mais… Ouah, magique ton truc ! Tu fais co… Ah mais oui, on est des dieux, c'est vrai. Rigolai-je.
- Ne perds pas de temps, en route pour notre ville.
- Pourquoi ? On y est pas ici ? Demandai-je intriguée.
- Non, ici ce n'est qu'une vulgaire copie, suivez moi les jeunes. Ordonna le "vieux". "
Je me levai, me grattai un coup les cheveux et partis pour suivre le sage. Je n'avais jamais remarqué, mais il avait une allure de roi, de dieu. Lorsqu'on le voit, on ne dirait pas qu'il est normal, on penserait que c'est… oui, un roi, comme je l'ai dit. Ça fait bizarre, d'être la déesse du temps… Quand j'y repense, pourquoi c'est moi qui ai été choisie, pourquoi je possède ces pouvoirs magiques… ? Peut-être car je veux vivre une nouvelle vie, car je veux recommencer à zéro. Et oui, c'est ce que je veux. Tout recommencer d'un nouveau point, sans tracas, sans haine, sans tristesse, juste avec de la joie, des aventures, et, même, peut-être, de l'amour… Je voudrais avancer le temps, pour voir ce qu'il se passera plus tard, mais je ne prendrai pas ce risque, c'est peut-être dangereux, je veux sauver le monde de mes propres mains, sans triche ! J'aimerais bien rentrer dans ma vraie maison, dormir, un peu. Car de toutes ces aventures, je deviens fatiguée. J'en parlerai au sage.

" Monsieur le sage, s'il vous plait… Pleurnichais-je.
- Qu'y a-t-il ? Demanda-t-il, inquiet.
- Je me sens tellement fatiguée, je, je…
- ILONA ! "
Je tombai à terre, morte de fatigue. Les voyages dans le temps m'avaient plus que fatigué… Tout paraissait si vaste autour de moi… J'entendais, mais j'étais inconsciente. J'entendais des cris, des hurlements. Des disputes… Je compris que Lionel et son père se disputaient. J'arrivais à réfléchir, mais je ne pouvais pas ouvrir les yeux, ni même bouger, ou encore parler. Je sentis un choc sur mon dos, comme si on m'avait jetée par terre. Je réussis à me lever, et je vis le sage complètement figé, avec les yeux plus qu'exorbités. Même Lionel ne comprenait pas. Je distinguais dans ses yeux un reflet, un reflet bizarre. Je m'approchai de plus près et examinai ses yeux, on aurait dit un monstre… Un monstre ? Je me retournai, en fermant les yeux. Je levai la tête, ouvris un oeil, puis deux. Le reflet dans ses yeux était bel et bien réel. Ni une ni deux, je m'empressai de prévenir Lionel, qui ne voyait rien. Je pointais le monstre du doigt, mais il ne s'apercevait de rien.

" MAIS LIONEL, LÀ, DEVANT NOUS ! Hurlais-je comme une folle.
- Ben, y a rien, je vois rien moi. Dit-il avec un sourire de hap.
- Laisse tomber, tu connais pas une cachète que ton père possède ? M'énervais-je.
- Ben si, mais c'est interdit pour toi. T'es pas une déesse. Se vanta-t-il.
- Bien sûr que si, andouille ! Dis je en lui donnant une claque.
- AYAAH ! Ok, suis moi, et prends mon papa dans tes bras en même temps, je veux pas qu'il serve de goûter à ton "monstre"…
- Ok… "
J'attrapai le père de la loutre folle, et suivis Lionel qui courait encore comme un dingue. Le sage était trop lourd, je tombai par terre, et m'écorchai le genou. Je saignais, j'avais mal, j'étais fatiguée… Je ne pris pas la peine de courir et me laissai mourir avec le sage, car de toute façon je pourrais remonter le temps et tout recommencer. Je me tournai vers l'énorme monstre violet, fait de liquide malodorant. Ses yeux étaient verts, ronds comme des billes et brillaient tel le soleil. Il nous fixa et prononça avec sa grosse voix résonante et terrifiante :

" Vous avez peur de moi ?
Nous ne répondîmes pas.
- Répondez ! Ordonna-t-il.
- O-ou-oui… Marmonnais-je.
- PLUS FORT ! Hurla-t-il.
- OUI, nous avons peur de.. vous ! Bégayais-je.
- Très bien. Levez vous. Ricana-t-il. "
Le sage et moi nous levâmes, et suivîmes le terrible monstre. Il pointa sa main vert nous, sa main gluante, violette et énorme, et prononça :
" Apachus Callus. "

À suivre…

Je le sais bien + Je lis.

Attend je passe faire un coucou au BIDES.

"Souria"...tiens c'est étrange, l'année dernière je faisais tout le temps cette faute là, comme je disais "j'ai tombé" et "j'ai allé". J'avais du mal avec le passé composé, mais bizarrement je me débrouillais très bien avec le plus-que parfait du subjonctif et son verbe savoir. "Que je susse"

Si je reviens au Bides au moins je pourrais reprendre ma fonction de "bras du milieu" de Bridgess, m'enfin.

J'y réfléchirais.

Peto-sensei
Posté le 27 avril 2012 à 20:53:45
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11372-4371445-2-0-1-0-fic-vous-sauver-oui-c-est-mon-but.htm#message_4372192
"juste ça pour te plaire"

Mais ce n'est pas aussi simple que ça...

(Tu fais une fic en pensant que si je ne lui trouve aucun défaut, tu seras comblée ? Challenge accepted \ / )

Flo' Ah, coucou toi /
Owi, reviens dans le BIDES, on n'est jamais trop ! \ /
Rien de terriblement spécial là-bas, si ce n'est que le forum s'est terriblement étendu et garni en messages, on est 8èmes des forums persos les plus actifs .

Et pour le chapitre...

" C'est possible, moi, je crois en toi. Souria Lionel." >>> Le verbe Sourier n'existe pas, la conjugaison est bel et bien sourit \ /
D'ailleurs, autre faute mais parfaitement compréhensible : avant un verbe introducteur de réplique, on remplace le point par une virgule, et on ne met jamais de majuscule (même derrière un point d'exclamation ou d'interrogation).

( Est-ce que c'était clair ? )

Côté scénar', c'est très bien, la surprise de l'héroïne est bien explicitée, c'est un plus.

De la magie ? Voilà qui est intéressant ! Maintenant, tout va se jouer sur la façon dont tu vas la mettre en scène ! Alors... sweet !
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Par la rémige du Pygargue !

Ah, j'avais pas vu ton post, Peto.
Je vais écouter tes conseils pour mes prochains chapitres, et pour souris, je devais être fatiguée, car je le sais très bien en plus...