Prologue :

Manon était une jeune fille de 15 ans. Brillante à l’école et amicale à tout moment. Ses parents étaient très pauvres. La malheureuse fille n’avait pas de richesses avec de grandes valeurs, comme les enfants ont des bijoux ou des robes de collection. Manon possédait seulement un petit bracelet qu’elle avait reçu de la part de Valentine, qui était sa meilleure amie.
Manon habitait à Ploucville, une petite communauté à côté de ModeVille.
Ploucville n’était en fait pas vraiment une communauté, ni une ville. C’était un … un bidonville enseveli sous les ordures. Il y n’y avait ni eau ni électricité.

Cela ne dérangeait pas spécialement Manon d’habiter dans un patelin paumé au beau milieu de nulle part. Manon était touchée psychologiquement plutôt.
Non pas qu’elle était folle ni quoi que ce soit. Manon mentait et cela la touchait profondément car elle ne mentait pas à n’importe qui, pas à quelqu’un dans la rue qui demandait l’heure mais à son plus grand bien, à sa meilleure amie.

Et oui ! La relation entre Valentine et Manon était sincère car elle s’adorait vraiment mais elle n’était pas totalement vraie non plus.
Valentine avait en effet déménagée de l’autre côté du globe terrestre. Les deux filles s’envoyaient alors des lettres pour rester en contact. Valentine racontait dans chaque lettre sa vraie vie et sa vraie maison mais Manon avait trop honte de ce qu’elle était devenue et inventait alors sa petite vie parfaite, qu’elle vivait dans un manoir et qu’elle était riche aux as.

Manon n’avait aucun défaut ou presque. Elle en avait un : Ce n’était pas d’être pauvre car on ne choisit pas sa situation financière. Ce n’était d’ailleurs ni l’intelligence car elle brillait en cette matière mais c’était l’honnêteté.

Donc, chaque jour, Manon se baladait dans sa petite ville pour aller parler aux habitants ou au maire quand il sortait de sa taverne. Oui, Manon aimait la ballade mais comme chaque moment de son existence, elle se sentait coupable et, rongée par la trahison, grignotait ses ongles long et ses longs cheveux bruns bourré de nœuds indémêlables.
On aurait pu penser que seul les gens les plus proches de Manon pourrait découvrir son mensonge mais n’importe qui avec cette capacité. Ce n’était pas bien difficile, cela se voyait dans ses magnifiques yeux gris bleu comme un océan après une tempête et sous un mauvais temps.

Oui, Manon était magnifique de l’extérieur, mais un peu moins de l’intérieur….

C'est un bon début.

J'aime bien, la suite.

Merci ! Tu me fais vachement plaisir

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Qui a remarqué que dans vachement, il y a vache ??

Tiens, une nouvelle fictionche.
J'ai vu que l'ancienne était lockée... bref.

Bon, je lirai à mon retour !
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Par la rémige du Pygargue !

la suite la suite !!!

c'est cool!

suite!

Chapitre 1 :

Le lendemain matin, Manon se réveillait sur son petit matelas crevé à certains endroits. Elle avait mal dormi et avait très soif. Elle prit une poignée de céréales qu’elle avait achetées la veille.
Puis, la jeune fille eu un réflexe étrange, elle avait envie d’ouvrir la boîte aux lettres, choses qu’elle oubliait toujours de faire. Elle trouva dedans 3 pubs non-intéressantes, une lettre de Rubis et une autre de Valentine.
Manon aimait bien lire ses lettres dans sa douche. Elle prit donc les deux lettres, les coinçais dans la poche de son jean usé et troué par endroit et emporta une bassine. Elle courut dans une petite allée qui conduisait à une fontaine. Arrivée ici, elle remplit sa petite bassine bleue en plastique d’eau pure. Elle retourna ensuite à Ploucville et s’installa derrière le cabanon ou l’on stockait de la nourriture et seul le maire avait la clé.
Manon s'allongeai tranquillement dans la petite bassine et ouvrit la lettre de Rubis :

Chère Manon

Je m’en vais. J’ai décidé de déménager pour des raisons personnelles.
Par contre j’ai un truc à t’avouer, j’avais intercepté des lettres entre toi et cette ‘’ Valentine ‘’ et j’ai vu que ton amie habitait à Toronto.
C’est là que j’y vais et je vais dire à Valentine de passer quelques jours avec toi, ici, à Ploucville.
Je savais que cela te ferait plaisir. Bye bye !!

Manon était totalisée, démolie. Valentine allait bientôt se rendre compte qu’elle avait bâti un petit secret et qu’elle avait une vie minable. Quelle poisse !

Manon s’affolai complétement. Elle faillit même sortir de ma douche quand la jeune fille vis la lettre de Valentine. Peut-être lui disait-elle qu’elle était trop occupée pour venir me voir ??? L’adolescente stressait de plus en plus. Elle se rongeait ses ongles abimés, signe qu’elle réfléchissait sur un sujet très important. Elle décida donc de lire la lettre, n’en tenant plus, preuve de sa curiosité et de son trac.

Ma Best Friends
Je dois t’avouer un truc. Je ne suis pas riche, je n’habite pas dans une grande maison et tout ça. Je m’inventais une petite vie merveilleuse. Tout cela, c’était du bluff, et du mensonge.
J’espère que tu ne m’en voudras pas. Il faut énormément de courage pour perdre sa meilleure amie et je l’ai déjà utilisé pour t’écrire cette lettre.
Il est possible qu’à certain endroit, tu ne puisses pas lire cette lettre. J’y ai versé des larmes à quelques endroits.
Rubis est venu me voir ce matin. J’arrive demain après-midi.
Voir ton manoir me changerait peut-être de mon simple carton et de mon bidonville morose et triste.
----------------------------- Valentine.

Manon aussi avait versé des larmes en lisant ce message si émouvant. Ses joues pâlottes n’arrivaient même plus à sourire. L’enveloppe était trempée comme si il pleuvait et elle était déçue de soi-même. Qu’elle courage Valentine avait-elle eu en m’avouant ce secret, tandis qu’elle, trouillarde, lui mentait toujours.

En tant que bonne amie, elle sortit donc de sa bassine et arrêta sa toilette. Elle s’habilla en quatrième vitesse. Elle s’était donc vêtue simplement : Un débardeur blanc avec le jean déchiré du matin et de la veille.
Elle enfila ses mocassins rapiécés aux pieds, puis enfila une sorte d’écharpe en tissu grattant que sa mère lui avait tricoté. Elle arriva à se donner bonne mine en se pinçant les joues et monta sur son petit vélo aux roues crevés par endroit et à la sonnette démolie. En chemin, elle croisa Angus, une sorte de vache ou de taureau roux, et surtout un des gens sur lequel la jeune fille pouvait toujours compter et avoir de la confiance envers eux. Les deux amis commença donc une petite conversation :

- Hello, miss ! Salua Angus avec satisfaction. Tout baigne ??
- Coucou Angus ! Oui oui, tout vas bien. Lui répondit-donc Manon
- Ah bah ça fait plaisir ! Moi, j’ai mal dormi… Enfin bref, assez parlé de moi ! Tu vas au marché ? Répliquait ’il joyeusement
Je crois que c’était les deux choses que Manon préférais chez Angus ; D’abord, il était tout le temps content, que la vie soit emplie de bonheur ou le contraire. La deuxième chose était sa modestie. La plupart des gens ne pensait qu’à eux alors qu’Angus pensai en premier plan aux autres.

- En plein dans le mille ! Je vais chez Tom Nook car je dois m’acheter du papier à lettre étoile. C’est très urgent tu sais ?? M’exclamais-je, comme si je voulais lui dire au revoir et partir.
- Du papier à lettre étoile ? Urgent ? Tu as de la chance ! Je viens d’en acheter chez le raton laveur et je me suis rappelé que j’en ais dans mon placard ! Je te le donne, ça me fait plaisir. Dit alors Angus en me tendant les feuilles dans les mains.

Très pressée, Manon le remerciai et fis demi-tour avec son vélo. Antoine, le facteur, n’était pas encore passé et elle devait me dépêcher pour ne pas rater sa tournée de distribution de lettres.
La jeune fille retourna dans son village et s’adossa par terre, avec sa plume et son encrier. Et elle écrivit :

Chère Valentine.

La longueur est bien.

J'ai bien aimer.

J'ai pas encore lu mais j'ai lu le premier mot du prologue, et déjà ça me plait !!

Merci Wesker !!
Laylanouille Ha ha :D

Je voulais juste vous dire que, depuis le tout début de ma fiction, c'est dédicacée pour Laylanie, aussi dit Laylanouille Et c'est d'ailleurs pour ça que l’héroïne porte son prénom

Chapitre 2 :

Chère Valentine.

Je dois t’avouer, te dire, tout, de une à quatre vérité que je garde au fond de moi, recouverte par la nappe de notre amitié.
Comment te dire ? T’apprendre cette nouvelle rageante, comment faire pour que tu sois toi aussi dans mon confidence ? Je ne sais pas par où commencer… Le début peut-être ? Sauf qu’il n’en a pas. La fin alors ? C’est loin d’être terminé. Qu’est-ce qui se passe ? Comment ? Pourquoi ? Depuis quand ? Je sais que tu dois être en train de trouver la réponse à cette énigmes, mais continue de lire. Je dois surmonter cette épreuve et te le dire, mais je n’y arrive pas, d’ailleurs, si j’y arriverais, ce serait trop facile, non ??
Si, je suis en train de me tuer intérieurement, ça me fait mal et c’est bien fait pour moi. Je le mérite, et en peu plus chaque jour.
C’est horrible, je ne sais pas quoi faire : Cela me tuerais de te mentir encore mais si je te le dit, tu risques de me détester. Garder ce secret pendant si longtemps avais plein d’inconvénients, et j’en découvre encore, de temps et temps, quand je repense à ça. Pourtant, je n’ai pas encore trouvé d’avantages, mais je sais qu’il n’y en a pas, c’est pourquoi j’ai fini par me lasser d’en rechercher.
Je t’ai déjà trop fait attendre, tu trépignes d’impatiences ! Je peux le savoir d’aussi loin car tu es ma meilleure amie.
Enfin tu étais. Après mon récit qui va suivre quelques lignes plus bas, tu ne voudras certainement plus me voir. Tu peux déjà décommander les billets de train que tu as acheté pour venir me voir. Bref, je dois commencer, mais je n’en ai toujours pas la force, il se fait tard ici et j’ai mal à la tête, mais ma lettre doit t’atteindre avant ton voyage, je dois donc là donner à Antoine, le facteur, demain matin à neuf heures dix-sept très exactement.
Je ne dois donc plus perdre de temps et pour cela, il faut donc que je me décide à écrire mon histoire parsemé de péripéties et d’aventure. Cela te distraira,

Quand tu es partie de Mariwane, notre petite ville bouillante en été et frigorifié en hiver, je suis tombée dans une dépression qui n’avait guère d’importance. Seulement, j’ai commencé à attraper des petits rhumes, grippes, mal de gorges et autres choses non-graves. Ma crise d’asthme que j’avais attrapé lors de mes trois ans est ressortie, plus grave cette fois et en a fait des répliques. Maman devait alors m’emmener dans l’hôpital le plus proche qui était très cher. Après deux mois de souffrance dans un hôpital, je suppliais ma mère de ma payer un voyage à Quanitude, où je pensais que tu t’étais réfugiée. En vain, je t’avais cherché dans chaque recoin de la petite ville et j’avais vérifié au moins sept fois chaque endroit : Habitations ou magasins. Je fis ainsi le tour des villes de Pazer, notre pays actuel, en oubliant évidemment Toronto. Ce tour du pays en 8 jours m’avait couté cher, je n’osais donc pas reprendre ma route de sitôt, pour ne pas utiliser les derniers sous de mes parents. Je restais six mois à Miolin, la ville ensoleillé toute l’année, y compris hiver et jours pluvieux. Il faisait beau et chaud, pratiquement cent pourcents des habitants était mes amis. Pendant cette moitié d’année, je vivais une vie merveilleuse et dégagée de malheurs. Puis, un de ces jours chaud du mois d’août, je décidai de reprendre la route et j’envoyais à tout mon voisinage et aux services publics une lettre d’adieu vite écrite et photocopiée. Je marchais rapidement, courais pratiquement. Arrivée à Mariwane, je saluai tous mes anciens amis que je n’avais plus vus depuis si longtemps. Chacun d’entre eux paraissaient en bonne santé et joyeux, un sourire amicale pendu à leurs lèvres fines ou épaisses. Cependant, ils changèrent étrangement d’expression lorsque je demandai à un d’entre eux de bien vouloir m’accompagner voir mes parents et Elvis me répondit de sa voix majestueuse ‘ Ils vivent à Ploucvill ‘.
Evidemment, j’étais étonnée. Je laissai murmurer un soupir : Je les avais envoyés dans le fin fond financier !
Plus rapide que la lumière et le son réunis en un ‘’ Superman ‘’, je me dirigai jusqu’au petit village attaché à notre grande ville. Une fois arrivé, je l’ai vis donc, triste, remplis de mélancolie décourageante. Une fois que j’étais face à eux, ce fut l’instant des retrouvailles, étreintes et autre. Ma première pensée suivant cet évènement de joie fut mon frère. Il devait me revoir et moi aussi. Il me manquait, je voulais le voir, partager de nouveau avec lui mes souvenirs les plus amusants et les plus intimes, je voulais savoir qu’il était là.
Je demandais donc où été Nicolas, ma mère éclata subitement en sanglots et mon père leva le doigt au ciel et dit ‘’ Il est là ‘’.
Moi aussi, je laissai couler des larmes chaudes sur mes joues. Sans ma recherche dans tout le pays, mes parents seraient riches et auraient pu sauver Nicolas. Tout cela était de ma faute. Qu’elle horreur ! Quel est ce poids à supporter pour le restant de mes jours ?!

Enfin bref : Je suis pauvre.
Ne m’en veux pas trop.
X Manon
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La jeune fille sécha ses larmes et sortis. Juste à temps ! Ce petit pélican blanc qui tenait le rôle de facteur était au coin de la rue. En un temps éclair, Manon lui donna la lettre, et s’enfuit.

ca me fait chaud au coeur une personne qui a le cran d'ecrire la verite

dsl je crois que je vais pleu...trop tard (snif)

Très jolie fic! j'aime beaucoup et c'est assez émouvant
Bonne continuation!

Vraiment superbement écrit !
Merci pour la dédicace !!
A part 2 ou 3 fautes des temps en temps et des petites confusions entre la première personne du singulier et la troisième j'adore ton histoire !

Suite !!

C'est vraiment pas mauvais.
J'ai vu des fautes, pas trop gênantes mais des fautes quand même, dont la plus grosse est "dirigai" qui n'est pas français. /

Vérifie toujours quel est ton sujet avant d'accorder ton verbe.

C'est tout. Ton style est fluide et il n'y a pas de passages qui ralentissent la lecture. L'orthographe et la ponctuation sont parfaitement maîtrisés, c'est un bon point.

J'attends donc la sweet. /
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Par la rémige du Pygargue !

Merci beaucoup Vous êtes supers gentils !!

'faut dire que t'es une mauvaise écrivaine non plus. Mais prends pas la grosse tête, hein !

+ Ton journal, il est au point mort là non ?
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Par la rémige du Pygargue !

j'ai lu:

"Manon était une jeune fille de 15 ans. Brillante à l’école et amicale à tout moment."

Et j'ai appuyé sur répondre pour poster mon dégoût.

A noter que ta reprise pour la remettre au niveau le personne, qui censé être une petite représentation la personne à qui tu fais un clin d'oeil est mal formulée. Regardes:

"Ses parents étaient très pauvres. La malheureuse fille n’avait pas de richesses avec de grandes valeurs, comme les enfants ont des bijoux ou des robes de collection. Manon possédait seulement un petit bracelet qu’elle avait reçu de la part de Valentine, qui était sa meilleure amie. "

"Manon était très pauvre d'esprit. La malheureuse fille n'avait pas grandes richesses culturelles, comme les enfants ont des bijoux et des robes de collection (humm, ça se collectionne, ça?) Elle possédait seulement une méningite aigue, de la part des champignons et moisissures de chambre très très sale."

A bon entendeur, compares la partie de ton texte et celle-ci emplie de philosophie, tu verras que ton texte aurait pu avoir plus d'envergure et un côté plus rapproché de Laylanie.

Belle explication.