C'est le meme que l'anglais..

Non, ce n'est pas le même que l'anglais, j'ai rajouté beaucoup de détails.

Joyeux Noël !
Merry Christmas !

Chapitre IX

Selgove était arrivé en volant, seul, venu de nul part. Pour la première fois de sa vie, il était en prison, en tant que prisonnier s’entend, et pas pour visiter un ami comme il l’avait déjà fait (mais cela, c’est une autre histoire). Le voilà donc en cage, endroit où sa liberté ne l’a pas accompagné. On lui a pris ses papiers (d’identité, toilette , pour écrire(mais qu’est-ce qu’il foutait avec tout ça ?! …) et les 100z qui garnissent désormais la bourse d’un garde. Un garde lui apporta un quignon de pain rassis, dur comme la cuirasse d’un Garuga, ainsi que de l’eau croupie. Il s’agissait du garde qui lui avait tiré le portrait, et l’avait informé de son nouveau nom, un numéro : 692. C'était sa nouvelle identité de bagnard : 692, Remobra -surnom que les autres prisonniers lui avaient attribué du fait de la façon dont il était arrivé.
Selgove a été condamné à dix ans d'emprisonnement, pour entrée illégale sur le territoire de ( il n’en sait pas le nom), aggravée par agression physique sur une troupe de garde supérieure en nombre dans l’enceinte de la prison. Il dit ne pas avoir été informé de l'audience du tribunal...en fait il n’y en avait pas eu … Selgove, comme à son habitude, ne toucha pas à son « repas » et sort dans l’aire de travail. La porte rouillée de sa cellule, comme celle des autres, ouvrait sur un haut mur et un couloir en plein air qu'il lui fallait traverser avant que le bruit des portes des autres détenus qui rejoignaient comme lui leurs travaux, grinçant sur leurs gonds en se refermant puis claquant ne commence, cela le rendait fou. Il monta l’escalier qui conduisait au rond-point d'où partaient les trois bâtiments de la prison, puis sortit à droites, un lourd panneau indiquait en lourds caractères de fer noir en relief « Aire de travail ». Selgove, sans mot dire, franchit les portes à barreaux tout de suite à sa gauche, direction « Section E1, Extraction du minerai de fer ».
« Je savais que c'était pas l'hôtel, mais...
- Fainéant comme la saloperie de lézard volant que tu es. Ça ne m’étonne pas vu ton surnom, 692… Allez, au travail charogne, où je ferai en sorte que tu appelles ta catin de mère tout les soirs et que tu supplies tes putains de dieux païens tous les soirs pour que tu ne fusses jamais sorti d’où tu viens espèce de sale bâtard !
-********.
-Gardes ! Emmenez-moi cette abruti aux cachots !
-Oui, sergent. »
Un surveillant qu’il n’avait jamais vu lui expliqua qu'il allait partager sa nouvelle cellule de la « Section des fous » avec un autre détenu, qui était « instable ».
« Je veux pas mourir ici ! » supplia Selgove.

_____________________________________

Voilà la suite, j'espère qu'elle vous plaira. J'ai fait court car je n'ai pas trop le temps.
Vous pouvez mettre vos critiques et commentaires, et argumentez.

Bonne lecture .

Et bonne chasse à tous !

Pas courant. J'ai apprécié l'enchaînement d'évènements entre les deux derniers chapitres, en tout cas.

La suite !...

T_T

Ahrannnnnnn

Bon continuation.

Ah ok le message 2 fautes sur 2 mots
Arhannnnnn

Bonne continuation

2 fautes sur 3 mots

Triple "post"

Merci. Ton personnage réapparaîtra probablement dans le prochain chapitre.

Je postule pour pouvoir être dans le prochain chapitre avec DD .

Pour le nom : quelqu'un a-t-il une idée ? ou alors sans nom .
Armure full cuir ( ).
Dague d'assassin.
Parfaite maîtrise de l'ironie ( -_- ). Personnage mystérieux et solitaire. Bon chasseur, mais se limite pour ne pas faire trop d'ombre aux autres. Tatouages tribaux sur le bras droit. Pierre étrange autour du cou trouvée dans une vieille mine abandonnée dans la plaine du Kipoos'. Perdu un oeil à la guerre, balafre sur le côté gauche du visage. Orphelin, trouvé sur le plage alors bébé par des pêcheurs avec un mot où seuls les mots "Eloignez", "malédiction", "perdus" et "Sanctuaire" étaient visibles. Morsures de Plesioth sur le bras gauche.

Désolé, c'est pas dans l'ordre chronologique.

d'avance.

Je vais essayer de caser tout ça...

Faut que tu lis ma fic
Fleme de lire le lien, ecrit: hist dans la barre de rechercher et c'est bon normalement.

Voilà le lien de la fic de DD pour ceux qui voudraient la lire : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10843-190604-1-0-1-0-fic-historyus-de-uno-hunter.htm
Je viens de la relire et je la trouve plutôt originale, bien qu'un peu décousue, elle offre un humour un peu décalé qui m'a inspiré pour un petit passage humoristique dans mon prochain chapitre.

Cramponnez-vous, la suite de ma fic arrive bientôt.

Chapitre IX (en entier cette fois)

Selgove était arrivé en volant, seul, venu de nul part. Pour la première fois de sa vie, il était en prison, en tant que prisonnier s’entend, et pas pour visiter un ami comme il l’avait déjà fait (mais cela, c’est une autre histoire). Le voilà donc en cage, endroit où sa liberté ne l’a pas accompagné. On lui a pris ses papiers (d’identité, toilette, pour écrire(mais qu’est-ce qu’il foutait avec tout ça ?! …) et les 100z qui garnissent désormais la bourse d’un garde. Un garde lui apporta un quignon de pain rassis, dur comme la cuirasse d’un Garuga, ainsi que de l’eau croupie. Il s’agissait du garde qui lui avait tiré le portrait, et l’avait informé de son nouveau nom, un numéro : 692. C'était sa nouvelle identité de bagnard : 692, Remobra -surnom que les autres prisonniers lui avaient attribué du fait de la façon dont il était arrivé.
Selgove a été condamné à dix ans d'emprisonnement, pour entrée illégale sur le territoire de ( il n’en sait pas le nom), aggravée par agression physique sur une troupe de garde supérieure en nombre dans l’enceinte de la prison. Il dit ne pas avoir été informé de l'audience du tribunal...en fait il n’y en avait pas eu … Selgove, comme à son habitude, ne toucha pas à son « repas » et sort dans l’aire de travail. La porte rouillée de sa cellule, comme celle des autres, ouvrait sur un haut mur et un couloir en plein air qu'il lui fallait traverser avant que le bruit des portes des autres détenus qui rejoignaient comme lui leurs travaux, grinçant sur leurs gonds en se refermant puis claquant ne commence, cela le rendait fou. Il monta l’escalier qui conduisait au rond-point d'où partaient les trois bâtiments de la prison, puis sortit à droites, un lourd panneau indiquait en lourds caractères de fer noir en relief « Aire de travail ». Selgove, sans mot dire, franchit les portes à barreaux tout de suite à sa gauche, direction « Section E1, Extraction du minerai de fer ».
« Je savais que c'était pas l'hôtel, mais...
- Fainéant comme la saloperie de lézard volant que tu es. Ça ne m’étonne pas vu ton surnom, 692… Allez, au travail charogne, où je ferai en sorte que tu appelles ta catin de mère tout les soirs et que tu supplies tes putains de dieux païens tous les soirs pour que tu ne fusses jamais sorti d’où tu viens espèce de sale bâtard !
-********.
-Gardes ! Emmenez-moi cette abruti aux cachots !
-Oui, sergent. »
Un surveillant qu’il n’avait jamais vu lui expliqua qu'il allait partager sa nouvelle cellule de la « Section des fous » avec un autre détenu, qui était « instable ».
« Je veux pas mourir ici ! » supplia Selgove.
Il traversa la coursive pour rejoindre sa nouvelle cellule. Le surveillant tourna les clés pour ouvrir la porte. La pièce sentait le renfermé. A première vue, personne ne l’occupait. Il faisait froid dans la cellule, elle comportait deux vieilles paillasses usées faisant office de lits, visiblement son captif « instable » n’était pas encore arrivé. Dans cette prison, les détenus étaient généralement entassés par dix. Mais dans cette cellule, non. Une odeur lui agressa le nez, comme une odeur de sang séché. Il regarda les murs…recouverts de sang coagulé. Il prit peur, se détourna, trébucha, la terreur le releva, il se rua sur la porte et cogna dessus, mu par une énergie nouvelle, incontrôlable, irradiant tout son être. Son cœur, poussé à l’adrénaline, semblait, battant à tout rompre, vouloir fuir sa prison thoracique dans laquelle il était menacé d’un couteau. La cellule résonnait des coups que Selgove portait à la porte, mur qui le retenait en attendant que la mort arrive. La porte vibrait, tremblait, mais ne cédait pas. Hors d’haleine, Selgove s’arrêta, si les gardes prenaient la peine de se déplacer, il le passeraient à tabac, une fois de plus, il ne supportait plus cette humiliation.
« Pas ici.
Selgove se figea, en sueur, autant par l’effort vain qu’il venait de fournir que par la peur. Son cœur, tout juste rassuré, recommença à faire le peureux. Mon imagination se dit-il, il n’y a personne dans cette cellule.
-Non, les gardes ne viennent pas ici.
Cette fois, il en était assuré, il devenait fou. Des voix, il entendait des voix. Il n’aurait jamais dû passer par les marais en cette saison, les gaz lui étaient monté à la cervelle et lui avaient embrumé l’esprit. Pourquoi fallait-il toujours qu’il n’écoute jamais personne ? Des bruits de pas se firent entendre.

Soudain, une forme humaine se détacha du plafond et atterrit devant lui. Il bondit et se cogna la tête au plafond (si si, la peur donne parfois des ailes, ce qui est gênant par contre, c’est de voler dans une cellule dont le plafond est à deux mètres du sol ).
-Bienvenu, le nouveau, siffla l’instable (il faut être complètement frappé pour marcher au plafond, non ? , et comment faisait-il d’abord ? Le fait qu’il soit fou n’explique pas tout…)
Selgove, le front sanglant se releva péniblement, le fou éclata de rire.
-Ah ma tête !
Soudain, une question lui vint :
-Comment sais-tu que je pensais aux gardes quand j’ai arrêté de tambouriner contre la porte ?
-Pour la raison pour laquelle on croit que je suis fou.
-Je ne comprends pas : tu ferais semblant d’être fou ?
-En partie.
-Alors tu es en partie fou ?
-Pas vraiment. »
Un déclic se fit entendre, un garde ouvrait le judas de la porte. Soudain l’autre se jeta sur Selgove :
« Perfide ! Perfide ! »
Il le tira par les cheveux, l’envoya au sol, le saisit par le bras et le tordit.
Le garde éclata de rire et referma le judas, Selgove reconnut la voix du sergent. Le fou le frappa à la tempe, Selgove perdit connaissance.
Quand il se réveilla, il sentit une douleur lancinante au bout de son index et trouva une profonde entaille sommairement recousue par un fil grossier. Il se releva et trouva son « compagnon de cellule » en train de tracer des symboles compliqués sur le sol à l’aide de ses doigts et d’un bol remplit de sang, le sien, il eût la nausée. Une fois son œuvre terminé, le compagnon en question lui lança un sourire :
« Je joue bien mon rôle, hein ? »
Soudain, un garde arriva et leur annonça qu’il était temps de rejoindre les autres fous. C’est à dire de travailler dans la section souterraine de l’aire de travail, « Les mines (niveau E5) ». Cette prison était une gigantesque forteresse. Si ce bastion avait était construit ici et était si surveillé, c’est parce qu’il avait été bâti au cœur de la région la plus riche en minerais et minéraux afin de contrôler cette région. Ainsi, ces Engdrohr, puisque tel était leur nom s’assuraient le monopole du commerce sur le secteur minier sur ce continent du moins (Gardemine compte deux continent, ce qui explique qu’elle n’est pas eu de mal à les compter ).
Un fou tapait sur une porte avec sa pioche. Un garde l’interpella (voix de bourrin ) :
« Eh toi, le tarré ! C’est là-bas qu’il faut miner !
-Aüiayoe*^^ !
-C’est là-bas qu’il faut miner !
-Là, bas ?
Il se mit à miner dans le sol avec une force redoublée.
Le garde l’arrêta.
-Vous dire bas. Alors moi creuser sol. Rien plus bas que sol alors bas être sol.
-Va creuser avec les autres !
-Pas place sur manche à pioche pour être tenir plus deux mains de autres.
-
-
-…
-‘oua ?
-Laisse tomber.
Le fou lâcha sa pioche.
-Idiot.
-Joli nom. »
Le garde se déchaîna sur le pauvre fou, le jetant à terre et le rouant de coups.
Voyant cela, Selgove lâcha sa pioche et se rua sur le garde. D’autres gardes accoururent pour les séparer et l’emmenèrent. Le garde à terre fut emmener à l’infirmerie. Le fou sur lequel s’était déchaîné le garde avait été laissé là, il regardait hébété son sauveur se faire emmener. Seulement quelques heures plus tard, il comprit où il devait miner et recommença à travailler.

J'essaierer de lire ta fic en entier si j'ai le temps
Quand? Bah demain , dès l'aube à l'heure où rougit la campgne je partirais vois tu je sais que tu m'attends dsl j'i appris cet poêsie en 6ème et jl'ai tjours en mémoire

J'adore e rapport avec MHF, maintenant
m'enfin c'du bon boulot

Et voilà la suite, bonne lecture :

Chapitre X (non non, ce n'est pas du porno ni de l'érotique, n'insistez pas...non mais ...)

DD (essayez de prononcer son nom, cela pourrait être intéressant… Quoi sadique ? De donner un nom imprononçable au personnage de DoWN_DeaTH ? De rien, ça me faisait plaisir ) toujours accompagné du Felyne devenu son ami, avait gagné le village de Kokoto. Il y avait fait la rencontre de deux chasseurs : Arhan et Philippe. Ils formaient une drôle d’équipe - c’est le moins que l’on puisse dire -, mais une équipe qui avait le mérite de marcher - métaphore … -, enfin, suffisamment pour venir à bout de Wyvernes. Particularité de ce groupe de chasseurs : ils montaient un Rathalos, comme les gobelins d’autrefois, c’est peut-être cela qui l’avait poussé à les rejoindre. Au début, quand ils partaient chasser, ils cuisinaient à tour de rôle. Arhan avait un véritable don pour la cuisine : il cuisinait avec tout ce qu’il trouvait, même si ses « mets » n’étaient pas toujours comestibles, ils avaient le mérite d’être bien meilleurs que les rations de la guilde ( ), quoi qu’il en soit, son Kut-Ku rôti était une merveille pour le palais. Mais, à l’opposé, la cuisine de Philippe était immangeable, voire dangereuse - plusieurs Wyvernes ont trouvé la mort dans une explosion suite à l’ingestion de cette nourriture : nourriture de Philippe + feu = -, au moins, il fournissait à moindre frais les composants nécessaires à la création de bombes ; au moins il pourra se reconvertir dans les explosifs quand il prendra sa retraite …
Pour remédier à ce problème, le Felyne - appelons plutôt par son prénom : Aïyloüo (nom Felyne - c’est un Felyne non ? -…alors râlez pas pour la prononciation) -, donc, pour remédier à ce problème de l’irrégularité de la cuisine dans l’équipe, Aïyloüo se désigna cuisinier du groupe, les Felynes ont un don pour la cuisine - d’où l’emploi de ceux-ci dans les cuisines des chasseurs - et Aïyloüo ne faisait pas exception à la règle : pour faire de la cuisine, disait-il, il faut avoir du nez et un bon œil, ensuite, il fallait laissait aller sa main et se laisser guider par son instinct et innover, ce après quoi il citait le Kut-Ku rôti de Arhan comme exemple et recommandait à Philippe de se contentait de faire cuire la viande, ce après quoi celui-ci lui tirait la langue et grognait.
« Comment avez-vous dompté ce Rathalos ? demanda soudain DD.
-En tombant d’une falaise, répondit Philippe.
-…
-Si si, cet andouille a sauté et je l’ai suivi sans réfléchir - comme un deuxième andouille , ajouta Arhan. Nous étions poursuivis par ce Rathalos alors je lui ai sauté dessus en m’appuyant sur la paroi de la falaise et j’ai rattrapé l’andouille qui tombait…
-C’est moi ! se félicita Philippe .
-…
-…
-Quoi ?
-…
-…
-…
-Filets de Sushipoissons dorés aux champis épicés et au Dosbicus, assaisonnés aux herbes de montagnes de Pokke ! J’ai relevé le tout avec du sel fin et des Felvines !
-Prem’s !
-Moi d’abord !
-Miam ! se réjouit Philippe.
-Philippe on t’attendra pas ! s’exclamèrent les autres qui mangeaient déjà.
-Oups.
L’énergumène - ou l’andouille, à vous de voir… - qui était resté planté là, courut les rejoindre, l’estomac dans les talons - autant à cause de la fin que du fait de la vitesse à laquelle il courait et que son estomac ne pouvait suivre - et se jeta devant son bol.
Une fois rassasiés et leurs appétits contentés par le met du cuisinier Felyne, les chasseurs reprirent leur traque. Ils traquaient un Gypceros venu dans la zone des Forêts et Collines, attiré par l’odeur d’Aptanoths, en pleine période de migration.
« Et où chasse ’votre’ Rathalos ? s’enquit DD.
-Dans la ceinture volcanique, ça grouille D’Apceros et de Iopreys là-bas, loin des habitations rassure-toi…il faut être complètement tarré pour construire sa maison au pied d’un volcan en éruption…
-Ça tu l’as dit…
-Plus on est de fous et plus on rit …
- -_-Bravo Philippe …
- C’est bon…humour !
-Chut ! J’entends du bruit par là.
- Bon bah taïaut alors… »
Ils dégainèrent tous leurs épées, quant à Aïyloüo, il annonça qu’il allait chercher ses bombes. Très vite, Arhan repéra le Wyverne et le marqua. Il entreprit ensuite de le harceler avec son épée courte. Philippe le flasha et DD le chargea avec son Eradicateur éternel et entreprit un combo : vertical, taille, vertical, il repoussa ensuite la tête du monstre d’un coup de pied retourné et en profita pour envoyer son épée en arrière dans la gueule de la bête qui se redressa sur ses deux pattes. Arhan en profita pour sauter sur son dos.
« Arhan t’es complètement malade ! cria Philipe.
-Cool du rodéo ^_^ ! lança DD. »
En effet, le Gypceros se mit à ruer en tous sens pour éjecter le chasseur importun qui était monté sur son dos.
Arhan, encouragé par DD s’accrocha au Gypceros furieux. Philippe se mit à courir à la poursuite d’Arhan et du Wyverne. Arhan se balança de son poids sur sa droite, en s’accrochant au monstre. Le monstre en question vira vers la droite pour ne pas tomber. Il passa entre deux arbres entre lesquels ses ailes ne passèrent pas. Elles le bloquèrent le Gypceros se vautra, pour ainsi dire. Arhan l’empêcha de se relever en lui plantant sa dague dans la colonne vertébrale. Il jeta Arhan à terre et s’apprêta à émettre son fameux flash aveuglant. Soudain, le Felyne surgit de nulle part et lança une bombe sur sa crête qui explosa. Philippe donna un coup de taille de son épée au monstre qui roula à terre et tenta de se relever. Mais DD qui avait rangé son Eradicateur éternel bondit sur le Gypceros et lui planta son couteau de dépeçage dans le cou - hein ? non pas le cou…et m… -, une puissante déflagration le projeta à dix mètres de là.
« Au menu : Gypceros grillé ! lança Arhan.
-Bonne idée ! approuva Aïyloüo. »
Ils dépecèrent le Gypceros et commencèrent à préparer le dîner…

desolé mais je suis trop feniant...