La véritable histoire du Grunt

Un jour, un Grunt se promenait à la recherche d´un réservoir de méthane. Il avait froid aux coussinets car il était en plein désert. Il décida donc de boire un coup d´eau minérale, seulement il trébucha sur un crâne de gnou et se fit le coup du lapin sur le seul parpaing se situant dans un rayon de quinze mille kilomètres, enfoui sous une couche de deux millimètres de sable. Il ne mourut cependant pas ; la pauvre créature resta immobilisée avec sa fracture ouverte de la nuque pendant trois jours. Ses cris d´agonie faisaient heureusement fuir les mutants de combat carnivores que les Humains avaient lancés à sa poursuite.
À l´issue de sa longue agonie, il vit Jésus Christ, mangea son dernier sandwich jambon-beurre et se fit un solitaire avec les trois cartes qu´il lui restait. Il entreprit ensuite de faire un château de sable pendant les dernières minutes de sa vie et s´aperçut, alors qu´il faisait son tas en agglutinant les grains de sable avec la graisse de ses cheuveux (c´était un Grunt Chevelu de Raptagul, une espèce très rare), que le parpaing sur lequel il était à moitié embroché (je sais que c´est dur de se transpercer avec un parpaing, voggle ) était posé sur une mine antichar au plutonium. Il pria son ange-gardien pour qu´il l´aide, mais celui-ci était occupé à fêter l´anniversaire de son ami Robert, et ne vint donc pas.
Trois jours plus tard (ce sont de longues dernières minutes), le Grunt tenta de se gratter le pubis mais, ce faisant, déplaça son épaule droite de douze centimètres virgule deux-cent cinquante. Fatale erreur ! Ce mouvement entraîna une perte d´équilibre du parpaing qui relâcha la pression qu´il exerçait sur la mine antichar lourde au plutonium. Constatant avec horreur la mise en place du mécanisme, le Grunt eut une crise cardiaque et mourut. Dans la détresse des derniers instants, et à cause de ses piètres connaissances en armement, il n´avait pas vu que l´objet qu´il redoutait tant était une boîte de conserve contenant de la confiture de pruneaux enrichie en vitamine C.
Ainsi mourut le Grunt.

C´est triste
Je vois que le délire sur ton topic t´a donné de l´inspiration^^

Nan, ça vient naturellement.
Et en fait il ne faut pas voir une simple histoire dans mon récit, c´est en fait une critique de la société de consommation dans laquelle on vit, tout en évoquant la peur qui régit le monde
Car je suis un artiste, voyez-vous.

Et philosophe avec ça, attention

Je te le fais pas dire. Mais attention, cette oeuvre est éphémère, elle n´aura pas de suite et est unique, disponible uniquement sur ce topic. Elle n´est même pas sur mon disque dur. Alors profitez

Oh une exclusivité hein ?
C´est gentil de penser à nous...

Magnifique, orgasmique

pas mal la mini fic ^^

´ttention hein, mon topic monte en notorieté, on a une exclusivité made by captaingalaxy rien que pour nous

On est gâtés, nous

Mille fois désolé pour ce chapitre que je reposte, mais rdv m´a signalé dans le topic du concours un passage contenant une erreur, si vous voulez savoir quelle est cette erreur, regardez dans le topic du concours.
Donc encore désolé pour cette masse de texte que je reposte, mais je veux rectifier mon chapitre et réécrire le passage concerné qui est marqué entre parenthèses pour que vous sachiez ce qui a changé.

Merci de votre compréhension

Chapitre 16 : Une menace permanente

Les phantoms avaient tous atterri sur le ventre, aucun ne s’était retourné, Slamorus sortit de son vaisseau et jeta un regard circulaire autour de lui, examinant l’endroit où il s’était posé. Grunty yard sortit juste après lui, encore tout retourné par ce brutal atterrissage, il apostropha Slamorus :

- Pourquoi avez-vous tant attendu pour donner l’ordre de faire marcher les moteurs ?
- Vous avez bien vu qu’en redémarrant le système aussi brutalement, celui-ci surchauffait et s’arrêtait juste après…
- Oui, et alors ?
- Si j’aurais donné cet ordre lorsque nous étions encore à un kilomètre de haut, les moteurs auraient stoppé et se seraient également éteints, mais en nous laissant une grande distance qui nous aurait tous tués !
- Ah, je vois… Fit Grunty yard d’un air de réflexion.

Tout le monde était à présent sorti des phantoms, une agitation quasi-complète régnait dans les rangs, chacun cherchait quelque chose à faire. Un élite s’approcha de Slamorus :

- Chef, nous avons rapidement compté les morts et blessés et examiné les dégâts sur les machines.
- Dites-moi.
- Nous n’avons pas de morts, seuls quelques grognards ont eu un peu mal à cause des chocs dus à la manœuvre que vous avez ordonné, nous leur apportons quelques soins de base.
- Continuez.
- Les phantoms n’ont que de la tôle froissée, rien de plus, nous pouvons admettre que votre manœuvre a très bien réussi.
- Il faut toujours faire confiance à votre chef ! Répondit Slamorus avec un léger rire.
- Maintenant, nous attendons vos ordres pour nous installer !
- C’est juste, alors nous n’allons pas chercher à déplacer les phantoms car ils n’ont presque plus d’énergie, nous installerons notre campement juste devant la flotte. Bien entendu nous dormirons sans abri, à même le sol, mais si la pluie survient, je crois que nous avons des installations légères dépliables qui nous offriraient un abri contre la pluie suffisamment grand.
- Entendu, et ensuite ?
- Nous ne manquerons certainement pas d’organiser des rondes de nuit et de garder nos armes juste à côté de nous, n’oublions pas que nous ne trouverons que des brutes ici comme compagnie. Ah oui, j’oubliais, vous déplierez les tourelles et vous les installerez de manière répartie sur le terrain, mais tenez compte des arbres.
- D’accord, et pour la nourriture ? Nous n’avons jamais mangé lorsque nous étions dans l’espace et nous sommes tous affamés.
- En effet, je vais m’occuper de distribuer les rations…

Slamorus se dirigea vers les phantoms qui contenaient tous les vivres tandis que l’élite s’en alla diffuser les ordres du chef.
Pendant ce temps, du côté des brutes, à quelques cent cinquante kilomètres du camp de Slamorus, se dressait une grande ville entourée de murailles. Les structures de cette cité sont faites de métal et de pierre teintées en rouge foncé. Un donjon immense et éminent ressortait du centre de la ville, au sommet se trouvait une grande salle hexagonale dont le plafond était haut et les murs entièrement en verre renforcé par des tiges de métal épaisses parsemées de lueurs décoratives. Un seul mur n’était pas en verre mais en acier et une sorte de trône s’y trouvait, une brute armée d’un marteau semblable à celui de Tartarus y était assise, de l’autre côté, une porte émit des lumières accompagnée d’un son aigu et s’ouvrit, laissant passer une autre brute qui parcourut la salle jusqu’à arriver devant son maître assis, il baissa la tête et un genou quelques instants, puis releva son regard en laissant son genou posé à terre pour parler à la brute assise :

- Monseigneur, nous n’avons toujours pas de nouvelles de Xonar.
- Pensez-vous que nos forces ont été écrasées ?
- Il est peu probable qu’ils n’aient pas eu le temps de nous envoyer un message.

Le seigneur brute se mit debout, puis fit les cent pas en grommelant, tandis que l’autre brute restait agenouillé en le regardant attentivement, attendant un éventuel ordre. Le seigneur tourna brusquement la tête vers son serviteur :

- Nous n’activerons pas le Firewall maintenant, il est fort possible que d’autres brutes se trouvent sur la planète des élites.
- Bien, monseigneur.
- Cependant, nous devrions nous assurer que tout se passe correctement sur Xonar, je veux que vous envoyiez quelques messagers en phantom pour rendre compte de la situation, exécution !
- Ce sera fait, monseigneur.

Tandis que le serviteur se retirait de la grande salle, le seigneur brute se dirigea vers un des murs vitrés et commença à scruter le paysage.
Du côté des élites, le camp avait entièrement pris forme, des installations défensives telles que les tourelles dépliables et les canons à plasma étaient posés autour d’une masse de matelas posés de manière serrée et rangée, les machines de guerre avaient toutes été déplacées du même côté, c´est-à-dire à côté des phantoms, un petit bâtiment en acier léger se dressait au milieu des couchettes. Slamorus était assis plus loin dans l’herbe, il réfléchissait les yeux fermés quand Grunty yard s’approcha de lui et s’assit juste à côté, il commença à lui parler :

- Vous semblez pensif, Slamorus, à quoi pensez-vous ?
- Je me rappelle de cette abominable arme, ce Firewall.
- Vous craignez que Xonar disparaisse, c’est ça ?
- Oui, je ne sais pas ce que nous pourrons faire si notre planète est annihilée, je me rappelle que nous avons laissé toutes les femmes et tous les enfants.
- Si ils meurent avec Xonar à cause du Firewall…
(- Ce sera une épouvantable perte ! Imaginez que chacun de mes guerriers sache que leur femme et leurs fils ou filles ont été supprimés par ces couards de brutes ! Dans ce cas la promesse que j’ai fait à l’ancien seigneur ne sera jamais accomplie !
- Quelle promesse ?
- Je lui ai également promis que mon peuple serait heureux lorsque nos ennemis seront détruits.)

Les deux amis se turent, Slamorus gardait sa tête dirigée vers l’horizon, après quelques secondes de silence quasi-absolu, Grunty yard recommença à parler :

- Ils risquent d’activer le Firewall si ils se rendent compte que leurs forces ont été anéanties.
- Je sais, nous devrons agir vite, ils ne penseront peut être pas à activer leur arme destructrice si ils sont occupés à se battre contre nos troupes.

Cool ton chapitre jojoris
Mais je remarque que tu mets souvent des virgules là où un point serait souhaitable, ce qui donne des phrases très surchargées, donc, un conseil, évite les phrases de plus de 4 lignes

Je n´en mets pas si souvent que ça

PS : Il manque la fin de mon chapitre, je l´ai écorchée lorsque j´ai fait mon copier coller

Chapitre 4 cet aprèm (espérez à !

L´INVASION DES PARASITES

Chapitre IV
-> Adieu Tau Bic 12 !

Un petit parasite arriva sur les lieux de l´accident quelques minutes après le départ de Robbie et de l´Adjudant. Il sentait de la nourriture, mais peu. Il arriva devant le cadavre de McTan. A son grand désespoir, il n y avait plus d´esprit à détruire, mais en fait cela ne rendait l´infection que plus simple. Il injecta ses bulbes destructeurs dans le corps du soldat et en prit rapidement possession.

Robbie, armé de ses deux mitraillettes, avança jusqu´à la rue la plus proche et y passa. Il sentit alors une effroyable odeur et remarqua qu´elle provenait d´une étrange brume verdâtre. Il vit des "trucs" collés sur les murs, et qui paraissaient respirer. Il tira une courte rafale. Rien, aucune réaction. Il poursuivit son chemin vers le bout de la rue, lorsqu´il vit 2 silhouettes dans la brume, qui allaient dans la même direction que lui. Il marcha lentement vers ces silhouettes, croyant à des hommes, puis déchanta lorsqu´il aperçut les ´mains´ de ces créatures. Il déglutit, la peur commençant à l´envahir. Les créatures ne l´avaient visiblement pas remarqué. Il entendit soudain un bruit derrière lui. Il se retourna, et vit qu´une créature semblable s´approchait de lui en courant. Il pressa la détente de ses armes et vida un chargeur sur le monstre.
Alertés par le bruit, les deux qui erraient vers l´extrémité de la rue sautèrent en même temps. Elles firent un bond de 15 mètres et rejoignirent rapidement Robbie, alors occupés à recharger son arme. Le premier arriva, et frappa le soldat à la poitrine. Robbie s´effondra, s´éloigna en rampant sur le dos, puis ouvrit le feu. Il sectionna la tête et le bras droit du monstre qui s´écroula en poussant un cri horrible. Avec les quelques munitions qui restaient, il élimina l´autre organisme.
Le monstre se raidit après quelques soubresauts. Robbie poussa un soupir, appréciant le silence qui retombait sur la rue.
Il essuya du bras sa lèvre qui saignait, puis se remit en route vers l´extremité de cette rue, espérant sortir de cette brume glauque. Guettant chaque ombre, chaque silhouette, il atteint finalement son objectif.
Il arrivait à une bifurcation marqué par un petit rond point, la brume envahissait une petite partie de l´endroit. Après moultes hésitations, il partit à droite, espérant que ses amis s´y trouvaient.

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L´Adjudant arriva à la caserne. La porte avait été défoncée. Il rentra, et vit que la cour était emplie d´un gaz vert extrêmement malodorant. Il aperçut des silhouettes, et il les interpella, croyant à ses soldats. Il y en avait cinq, et ils le rejoignirent au pas de course.
- Soldats, dit l´Adjudant, que... Ahhhhhhh !
Il hurla en voyant ce qui était arrivé à ses hommes, ils étaient eux aussi infectés par ce virus. Il dégaina son pistolet, mais n´eut pas le temps de s´en servir. Un coup aussi puissant que celui d´un fouet le désarma, puis deux autres le frappèrent à la tête. Un parasite arriva pour se charger du corps.
Parmi les soldats infectés, il y avait un certain McTan, revenu en vitesse à la caserne.

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Ted était inquiet, à peine après avoir tourné, le Warthog était rentré dans une brume impénétrable.
- Ca pue ! s´exclama Karim, qu´est ce que ça pue !
- C´est quoi ça ? demanda Ted.
Une ombre sauta vers eux.
- Ouvrez le feu ! ordonna Jim.
Karim tira sur l´ombre qui s´approchait. Il la vit se déchiqueter. L´homme allongé sur le siège arrière cria de joie.
- Youhou ! Un autre de ces monstres en enfer !
Le Warthog fonça à toute vitesse dans la rue et tourna rapidement à droite.

Robbie aperçut les phares du Warthog.
- Mayday ! Mayday ! Venez m´extraire d´ici ! C´est un vrai cauchemar.
Ted s´arrêta brusquement.
- Robbie !? Tu es tout seul ? Où sont le Sergent et l´Adjudant ? demanda Jim.
- Le Sergent McTan est... mort, nous avons perdu le Warthog sur Pichton Street. Quant à l´Adjudant, il est rentré faire son rapport et m´a demandé de vous trouver pour vous prévenir de l´arrêt de la mission de patrouille.
- Pourquoi ? demanda Jim, inquiet.
- L´Adjudant a dit avoir trouvé la cause de la disparition des habitants, c´est apparement un virus qui agit sous la forme d´un bulbe qui infecte le corps.
- Vous n´y êtes pas ! cria l´homme allongé, ce n´est pas un virus, c´est un parasite !
- Quoi ? demanda Robbie, qui êtes vous ?
- Je suis Steve Vaduz, et j´ai vu de mes yeux un homme se faire avoir par ces saloperies de bulbes !
- Expliquez nous. ordonna Jim.
- Avant que je tue le facteur, enfin, ce qui ressemblait au facteur, j´ai vu un passant se faire agresser par une de ces choses. Le bulbe a des tentacules, et il en a enfoncé un dans le corps du pauvre gars. Il hurlait, mais je n´ai pas eu le temps de le sauver parce que j´étais moi aussi poursuivi par un bulbe parasite. J´ai fui jusque là où vous m´avez trouvé, puis j´ai rencontré ce malheureux facteur. Après son attaque, je me suis resigné à l´abattre.
- C´est horrible ! marmonna Ted, on va tous mourir, bouffés par ces trucs !
- Ta gueule Ted, on va s´en sortir ! lui dit Karim, vas-y Rob, monte, il reste un peu de place, mais accroche toi, on rentre à la caserne et ce cher Steve va pouvoir expliquer tout ça à l´Adjudant.

Ted fonça pour rallier la caserne.

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Marina entrouvrit sa porte. Son mari venait de sortir pour inspecter les environs. Une voiture passa, une voiture rouge, tellement cabossé qu´on se demandait comment elle roulait. Il y avait 8 personnes là où il n y avait de la place que pour 4. Le toit de la voiture avait été arraché pour gagner de la place. Soudain, la voiture fit une embardée et alla finir sa course dans la façade de la maison juste en face.
Marina tressaillit, ce qui en sortait avait l´air humain, mais ne l´était pas.
Elle referma la porte, oubliant son mari un instant. Elle courut jusqu´à la porte du jardin, et, retirant le petit rideau opaque qui empêchait la lumière de passer à travers la petite vitre de la porte, elle posa son regard de l´autre côté. Elle se retint de crier à grand peine.
Un immense tas de cadavres bloquait l´accès au jardin. Marina crut même voir le bras de son mari pendouiller à l´intérieur du tas. Elle vit aussi d´étranges bulbes à pattes qui s´affairaient autour du tas, entrant dans les corps, pour ne plus en sortir. Elle se demandait ce qui se passait ici, et ces choses étaient certainement hostiles. Elle monta quatre à quatre l´escalier pour rejoindre l´étage, prit son bébé et fonça jusqu´à la fenêtre. La vitre explosa sous le choc et Marina tomba du côté de la façade ouest de la maison. Son épaule était atrophiée par le coup, mais elle se mit à courir en puisant dans l´énergie de la peur, et dans son intense volonté de sauver son fils.
Alerté par le bruit, 2 organismes combattants se lancèrent à sa poursuite, mais même pour eux, Marina allait trop vite. Elle arriva au bout de la rue, puis tourna instinctivement dans une ruelle à sa gauche. Elle courut puis s´arrêta subitement. Un cul-de-sac. Elle se retourna et commença à courir. Les combattants arrivèrent et coururent pour l´intercepter. Elle les percuta à toute vitesse, puis s´effondra en trébuchant sur le pied de l´un d´eux. Sans lacher son bébé, elle saisit un pistolet qu´elle avait glissé dans sa poche avant de sortir. Mais, comme il n y avait que 5 balles, elle avait preferé les garder en cas d´extrême urgence.
2 déflagrations secouèrent son arme, et 2 balles quittèrent le pistolet pour s´enfoncer dans la poitrine du premier combattant. Elle utilisa une 3ème balle pour faire exploser la tête du second. Il s´écroula au sol. Marina se releva en s´enfuit.

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Ted arriva à la caserne.
- Oh mon Dieu ! s´écria-t-il.

[>>>] A SUIVRE [<<<]

comment tu fait pour écrire si bien?! bravo!

exellent Cptn

´comment tu fait pour écrire si bien?!´

...

Secret d´état

Merci pour les compliments, j´adore

Et moi donc