ce soir ou demain
bon...ba....
:bay:
eeee
Chose promise, chose due!
Par-dessus leur bol de café, Harry et Hermione échangèrent un regard amusé avant de, prudemment, s’engager dans l’escalier. Tout au sommet, au 4ème étage, de cette étrange bâtisse siégeait la chambre de Ron. Harry frappa à la porte, et entra suite au grognement qui lui répondit. Son copain, planté devant un miroir, affichait une mine renfrognée au possible.
« Vise un peu ce que ma mère m’a trouvé ! C’est mieux que ma vieille robe à dentelles, mais je suis certain que les Français vont se tordre de rire en voyant ça ! »
Tenant les pans de sa tenue, Ron pirouetta sur lui-même afin de juger de l’effet. Harry grimaça un sourire navré face à cette exhibition désolante. Molly semblait particulièrement tenir à vêtir son plus jeune fils dans les tons violets. Cette fois, Ron arborait une ample robe de lourd brocard aubergine qui avait dû faire fureur un bon siècle plus tôt.
« Au moins, tu n’auras pas froid ! tenta- il, mortifié. »
Ron haussa les épaules en jetant un œil dehors. Pour un début d’août, on aurait pu s’attendre à un bien meilleur temps, à croire que tous les nuages s’étaient donnés rendez-vous au-dessus du Terrier.
« Il paraît que la mère de Fleur est très forte en météomancie, dit-il négligemment. C’était comment, avec Hermione ? »
Harry ne s’attendait pas à cette question, surtout posée d’un ton si abrupt.
« Euh, bien ! Elle t’a dit, pour le médaillon ?
- Quel médaillon ? aboya Ron, se tournant vers Harry. Ne me dis pas que vous avez…»
Fouillant la poche de son jean, Harry présenta les deux bijoux en sa possession : celui de la grotte et le plus récent.
« Vous l’avez ? Le vrai ! »
Ron couva les objets d’or d’une joie incrédule.
« Quand est-ce qu’on l’ouvre ? À qui va-t-on le donner, et… »
Harry se doutait de la réaction de son ami avant même d’avoir ouvert la bouche tant son embarras parlait pour lui.
« C’est fait ? couina Ron d’une voix étranglée. Vous auriez pu m’attendre ! Vous étiez là, à détruire ce truc, pendant que moi, je subissais les foudres de ma mère. Ce n’est pas chic ! Ça vous a explosé au visage, au moins ?
- Même pas ! J’ai parlé Fourchelang : il s’est ouvert. Une sorte de vapeur est sortie ; c’est tout.
- Bravo ! » tonna Ron en se dirigeant brusquement vers la porte.
Cela ne rata pas, il se prit les pieds dans le bas de cette robe trop longue pour lui. Ce qui, en temps normal, aurait fait rire Harry, le laissa de marbre face à cet accès de colère, somme toute prévisible.
L’imminence de la cérémonie rendait l’assemblée nerveuse. Le jardin des Weasley, méconnaissable de netteté, s’ornait de vasques florales entre lesquelles des sièges s’alignaient face à une petite estrade montée sous une délicate tonnelle blanche où, Bill, très droit, dans son costume de velours bleu nuit avec ses longs cheveux noués en catogan, se tenait debout
Harry ne savait pas à quoi il devait s’attendre, au juste. Des mariages Moldus, il en avait déjà vu, à la télévision ; un mariage façon sorcier : c’était une première.
En faisant abstraction des toilettes exhibées par les deux familles et amis réunis, cette célébration paraissait des plus… normales. Une petite sorcière replète du premier rang, s’anima soudain. D’un geste de la main, elle convia l’assemblée à se lever, son autre main agitant fébrilement sa baguette. Un chœur de voix harmonieuses monta alors dans l’atmosphère subtilement parfumée. La mère de la mariée s’empressa de secouer sa baguette, et une pluie de pétales odorants se déversa en douceur depuis un ciel parfaitement serein, jonchant l’allée tracée au milieu des sièges. Sous ce charmant déluge, les demoiselles d’honneur s’avancèrent lentement, précédant une Fleur au teint rose. Le cœur de Harry se contracta violemment : qu’elle était belle ! La mariée, oui, bien sûr, mais il n’avait d’yeux que pour Ginny. Elle avait eu raison d’insister pour porter du bleu pâle ; elle était divine.
« Pas mal, non ? souffla Hermione dans un léger coup de coude à son voisin direct. »
Le jeune homme reprit brutalement contact avec la réalité, et observa… ses pieds.
Le reste de la cérémonie se passa comme dans un rêve cotonneux. Harry ne vit rien de l’échange des promesses, de la bénédiction de l’officiant ni des signatures. Il redressa subitement la tête quand un tonnerre d’applaudissements salua les nouveaux époux. Molly pleurait contre l’épaule d’Arthur, Fleur embrassait son père puis sa mère. D’un coup, il y eut une énorme déflagration qui sidéra l’assemblée.
« Fred, Georges ! gronda Mrs Weasley apeurée. »
Les jumeaux, hilares, poursuivirent l’allumage de leurs pétards spéciaux. Molly s’émut car, au lieu du désastre redouté, elle assistait à l’éclatement de milliers de petits cœurs roses qui encerclaient les mariés. Des fleurs, des oiseaux de mille couleurs se joignirent au concert pour entourer Bill et Fleur dont les lèvres s’unirent dans un tendre baiser.
En un tour de baguette, le décor changea. La pelouse se couvrit de longues tables et de sièges où tous prirent place dans la bonne humeur. Quel banquet ! Les Weasley et les Delacour avaient rivalisé de surprises gastronomiques afin de satisfaire les exigences des uns et des autres. On pouvait se satisfaire de cuisses de grenouille et d’escargots autant que de haricots à la menthe ou de rognons farcis. Jus de citrouille et champagne fréquentèrent les vins de Bordeaux pour le plus grand plaisir des amateurs. Puis, ce fut le bal. Sous des applaudissement nourris, Bill entraîna son épouse au centre de l’espace dégagé pour, yeux dans les yeux, débuter une valse lente. Arthur, chevaleresque, s’inclina devant la fine Mme Delacour tandis que le père de Fleur invitait Molly sur la piste. Harry, qui n’était par parvenu à échanger deux mots avec Ron, se sentit tiraillé d’un immense désir. Il se leva, tel un automate, fonçant droit vers l’objet de son adoration. Elle ! Comment avait-il pu être aussi stupide de rompre avec cette délicieuse jeune fille qui souriait gracieusement à… horreur, un cousin de Fleur ; ce vil concurrent venait de s’interposer. Il en avait de ces manières ! Pourquoi léchait-il la main de Ginny ? Rompu dans son élan, Harry pila sur place, dardant le couple d’un regard aussi foncé que sa tenue de soirée, avec un étau plombé au creux de la poitrine.
géniale tati11 ! ...euh je t´ai inscrit dans mes contacts msn..si tu le savais.. pour ta fic je dis une 2 ième fois
c´est ,belle facilité d´écriture,c´est nickel
beaucoup
c´est trop bien tati!!!
j´adore trop!!!
des détails....descriptions....
tout ce qu´il faut pour faire une bonne fic!!!
Grand
génial ! je trouve ca très précis sans fautes d ortho et le senario est super
Ron et Hermione se matérialisaient à proximité et, immédiatement, Harry remarqua que quelque chose n’allait pas entre ces deux-là. Ron, les oreilles écarlates, lâcha le bras de la jeune fille pour s’élancer rapidement vers la porte alors qu’Hermione paraissait sur le point d’exploser.
« Un souci ? murmura Harry au passage.
- Un idiot doublé d’un jaloux, voilà ce qu’il est ! déclara-t-elle avec humeur. »
cest page 6
dans le tome 6 dumbledore dit a harry de vider ses
poumons donc il ne peut pas parler mais la ron a dit quelque chose a hermione.mais bon c pas grave
Nous dirons, pour cette judicieuse remarque, que nos héros n´en sont plus à leur premier essai de transplanage.
ca se voit pas
Je te remercie; cela prouve que tu suis bien.
Je né a dir k1 seul mot :
salut tati11 je suis nouvelle sur ta fic je l´ai decouverte et je l´ai trouvé geniale ! je te jure j´en lis plein et c´est une des plus réussite !!
Je suis très émue.
mais de rien tati. si tu veux moi aussi je crée une fic sur http://hermi84.skyblog.com va voir si tu veux.
Dès que j´aurai fini celle-ci,J´irai. Je ne veux pas me laisser aller à m´inspirer du travail des autres. Je suis sûre qu´elle est bonne; C´est vrai qu´il y en a plein. C´est normal. Je la lirai, promis.
hermi84 tu n´avais pas commencer à la poster sur ce forum