Arrêtez avec les "go tes mail "
Soyez plus discret, parce que Ru, question discrétion, il est pas très fort.
nan mais bon..
Bon, mes chers amis, je suis très heureuse de poster ce chapitre ci. J'espère qu'il aura été à la hauteur de vos espéances.
Car en tout cas j'en suis plutôt fière. Sur ce, bonne lecture à tout les lecteurs qu'il me reste. :o) ________________________________________
4ème Partie/Chapitre 6 : Le bout du tunnel
Lors d’une même semaine, les voleurs eurent le temps de faire une seconde traversée du désert toute aussi harassante que la première pour revenir au Caire, prendre l’avion une nouvelle fois et retourner à Paris. Là-bas, la petite renarde s’activa pour regrouper le plus d’informations sur le mystérieux Gang de Charpedge, et plus particulièrement sur le chef et fondateur, qui serait leur première cible. Elle passa tellement de temps sur son ordinateur qu’elle en attrapa la migraine. Mais elle n’en fit rien. Car peu après son retour en France, le groupe dû à nouveau préparer ses valises et, après s’être légèrement déguisé, prit le train qui partait de la Gare du Nord et arrivait directement à la capitale française. Pendant le voyage, assit dans un des wagons, les voleurs regardaient par la fenêtre, apercevant seulement quelques lumières qui passaient à vive allure ainsi que des murs gris, bref, un paysage bien monotone.
« Ca change des voyages en avions où en voiture ça… c’est encore plus… ennuyeux, commença la ratonne, qui n’avait pas prononcé une seule parole depuis le départ du train.
-Moi je déteste carrément voyager. On reste assis plusieurs heures, on fait rien… poursuivit le renaton, avide d’action.
-Au moins Carmen ne s’ennuie pas, elle, dit Jennissy en montrant la renarde endormie sur l’épaule de son frère.
-Oui. D’ailleurs je sens qu’elle va pas tarder à nous rejoindre. Je voudrais bien lui poser une ou deux questions.
-Du genre ?
-Du genre… on sait où on va, mais elle ne nous a encore rien dit sur ce type.
-Pas faux. »
Sur ce bref dialogue, Benjamin secoua légèrement sa sœur, qui ouvrit aussitôt les yeux et commença à bougonner, mécontente à l’idée qu’elle ne rattraperait jamais son manque de sommeil si on la secouait tout le temps.
« Questcquispasse ? bafouilla-t-elle. On est arrivé ?
-Non, on a encore une bonne heure devant nous, ma grande. Ben et moi on espérait juste que tu nous explique la situation.
-Les trucs que j’ai trouvés sur l’ordi ? demanda la renarde en baillant. Et bien… j’ai découvert que le Gang de Charpedge ne comporte que quatre membres et je sais déjà où il va falloir aller pour tous les trouv…
-Du calme sœurette, on en est pas encore là. On va se les faire un par un. Alors explique nous d’abord ce que t’as trouvé sur le premier, coupa le renaton.
-Bon… déjà, vous l’aurez deviné, ce type est originaire d’Angleterre et c’est lui qui à fondé le gang. C’est l’héritier d’une riche famille de Lords londoniens. Passionné d’art, il est devenu conservateur du plus grand musée de Grande-Bretagne. Mais un jour, une de ses plus prestigieuses expositions a été cambriolée par le Gang de Cooper.
-Et c’est de là que vient l’idée de fonder un gang contre Jam… enfin papy… c’est ça ?
-Exactement Jennissy. »
Il y eu un court silence. Les trois jeunes voleurs s’étaient aperçut que McSweeny était en train de… rire.
« Qu’est ce qui vous fait autant marrer ? demanda la ratonne, étonnée par cette soudaine manifestation de bonheur chez son voisin.
-C’est juste que je me souviens de ce casse là, fillette. Ca a du être notre plus gros coup… »
A ces paroles, la ratonne sourit. Elle savait que son grand-père avait été un grand maître-voleur et avait envie d’en savoir plus à son sujet. Aussi noya-t-elle le morse sous un flot de questions.
« Racontez-moi, comment ça s’est passé ? Vous avez volé quoi ?
-Ca s’est passé y a longtemps, fillette. Avant la naissance de ton père. »
A partir de là, McSweeny narra une grande partie de ses aventures, et les deux voleuses écoutaient, passionnées, comme deux enfant à qui on lirait un conte merveilleux. En revanche, leur frère avait roulé des yeux au début du récit. A présent, il faisait la sourde oreille et restait muet, observant à contrecœur le paysage morne qu’offrait ce tunnel, alors que milles pensées traversaient son esprit. Le taulard n’avait pas fini son histoire que le voyage touchait déjà à sa fin. Les voleurs sortirent du train et aperçurent enfin les hauts toits de Londres. La nuit était tombée et la seule lumière jaune provenait des lampadaires. Le brouillard printanier qui s’était installé et le clapotement de l’eau fraiche de la Tamise donnaient à la ville une allure fantomatique. Et dans le noir de la nuit, les immenses tours se détachaient du ciel nocturne. Et plus particulièrement le célèbre horloge, qui dominait de loin tout les autres bâtiments.
« « Big Ben »… ça me donne tout de suite un bon surnom, ça… »
Le concerné roula des yeux. Le voyage l’avait fatigué et il ne pouvait pas supporter une remarque de plus, surtout si elle venait de Jennissy.
« Appelle moi une seule fois comme ça et tu risque de le sentir passer.
-Compris Big Ben. »
La ratonne explosa de rire, tandis que le renaton baissa les bras, exténué. Il jeta ensuite un regard de détresse mêlé de désespoir à son autre sœur.
« Tu la connais Ben, tu sais très bien qu’elle est comme ça… commença timidement la renarde.
-Oui, et ben des fois elle me tape sur le système, la petite peste ! »
La ratonne se retourna. Elle, en revanche, détestait que son frère la traite de petite peste. Et ce dernier l’avait bien remarqué. Aussi s’approcha-t-elle de lui pour lui frotter le cuir chevelu dans le but de l’agacer encore plus.
« Mais je te charriais mon grand frère chéri ! Arrête de bouder. »
A partir de cet instant, commença une course poursuite tout à fait habituelle. Benjamin se mit à courir après Jennissy, fini par l’attraper et lui fit endurer le même supplice qu’elle lui avait fait vivre. Puis une longue bouderie commença entre la petite sœur et son grand frère. C’était bien dans ses situations là que Carmen avait l’impression de trainer deux enfants avec elle. Le groupe progressa dans la grande ville et trouva très vite un endroit où s’établir le temps de son séjour. Peu après s’être entièrement installé, Carmen insista pour finir d’expliquer l’histoire du chef du gang.
« Après le vol de son exposition, il a pris sa retraite et quelqu’un d’autre à pris sa place de conservateur. Maintenant qu’il se fait vieux, il profite au maximum de son héritage, même si il veille encore à son musée et collabore étroitement son successeur.
-Et où il habite ? demanda aussitôt Jennissy.
-Dans une résidence chic, dans un quartier bourgeois tout près de son ancien musée. Je pense qu’il faudra d’abord prendre des photos de reconnaissance des environs de la maison et du musée pour se repérer. Après ça, je trouverai un moyen de nous faire entrer et de chercher papa sans nous faire remarquer. Et EVENTUELLEMENT, continua-t-elle en appuyant le plus possible sur ce dernier mot, trouver un moyen de le libérer s’il se trouve effectivement chez ce type là. »
La renarde marqua une pause et fusilla sa petite sœur du regard. Elle n’était pas du tout convaincu à l’idée de retrouver son père enfermé chez l’un de ses membres. C’était trop… irréel, farfelu, tout simplement impossible pour elle. Mais comme l’idée venait de Jennissy, cela ne l’étonnait pas. Un peu gênée par cette interruption soudaine, cette dernière posa aussitôt une question pour rompre le silence.
« Pourquoi on n’appellerait pas Bentley pour que lui, Penelope et Murray viennent nous aider. Ils sont concernés aussi…
-Ils seraient utiles mais ça ferait trop de monde pour nos opérations, ça deviendrait encombrant, annonça-t-elle en grimaçant, elle détestait employer ce mot pour qualifier ses oncles et sa tante.
-Ca tu peux le dire, il y en a déjà un de trop dans cette équipe… maugréa Benjamin, d’une façon si inaudible que sa remarque ne se fit pas entendre.
-Mais on les appellera si on a vraiment besoin d’eux, rajouta la renarde, quand se sera vraiment nécessaire.
-D’accord. Quand est-ce que tu voudrais qu’on commence ?
-Maintenant, dès ce soir. Lord Rockfellow va voir à quels Cooper il a affaire. »
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J'attend vos commentaires en bavant sur mon clavier!
[Mode Salopard]
La flemme, peut-etre demain
[Mode Salopard off]
Bon, d'accord, j'ai lu, et j'ai bien aimé, sans plus
ALORS TU ME FAIS CH*ER PENDANT 4 MOIS A ATTENDRE UN CHAP ET TU ME MET JUSTE CA?!?! RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH!!!!
MON COURROUX SERA TERRIBLE!!!!!!!!
mais loin....+ je rigolais...
Bah franchement pour celui-ci, j'avais qu'une hate: arriver à la fin pour passer à autre chose
Si je compare à tous les autres que j'avais engloutis les uns après les autres, je le trouve presque... moyen...
Bon ensuite, c'est peut-etre juste parce que l'attente entre les deux m'avait gonflé et que j'avais plus du tout envie de le lire, mais j'espère que c'est juste pour ce chapitre...
Sympa le numéro de la page...
Molip Ah OK...
Spycho Bon... bah j'espère que ce sera mieux la prochaine fois.
C'est juste mon avis personnel hein, j'espère bien que les autres l'apprécieront mieux que moi
Molip Ololz, kom t comik
Je me mets au niveau d'un certain de mon école que Happy, 'c&r&brAleassassin' (j'ecris comme lui , Andralamek (Y a peut être une faute)et Ru reconnaitront surement, son prénom commence par R...
Comme dis Ru, je suis Jerry Golay x)
Molip Ah d'accord... o_o
Spycho Celui qui fait ma fierté : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10567-852519-38-0-1-0-fiction-voleur-un-jour-voleur-toujours.htm#message_864991
Jennissy est de retour, kweh !
Alors maintenant, va attaquer la paro évolutive, j'ai hate, kweh !
Mayrde, j'avais dit que j'allais lire.
J'ai toujours pas recommencé.
Wahhahahahahahahahahahahahahaéhahahhahahahhahahaha
hahahahhaha !!!!!!!!!!!!!!!!!
YIIIHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH
HAHAHAHAAAHAHHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAHAHHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Génial
Et merci qui Jennissy
Carrément...
I LOVE YOU !!!!!!!!!! THANK YOU !!! I LIKE THIS (chapitre)
Hehe, heureusement que tu précise que tu parles du chapitre sinon...
J'ai pas compris
Mon voisin(chez qui je dors mon père n'étant pas là) désire faire passer un message : de faire passer le message que mon père a un problème de sexe .
M'okay
Vive le HS xD
Ca t'arrive de penser qu'on en a strictement rien à foutre des fois?