zeldor c'est pour qu'elle reste toute la journée sur sa fic !
Ou alors 1 tous les 2 jours peut - être ...
Aigle Supra:d)1 chap' toute les 30 secondes c'est mieux
Aigle Supra 1 chap' toute les 30 secondes c'est mieux
Désolé du triple post mes smileys sont pas cooperant depuis que je les paye plus donc:
Aigle Supra 1 chap' toute les 30 secondes c'est mieux dehors
ouais c'est clair que c'est mieux mais c'est pas plutôt :
Aigle Supra 1 chap' toute les 30 secondes c'est mieux
??? ???
alors aujourd'hui un reporatge sur la fic de Jennissy qui entrainerait la dégénérescence mentale chez ses lecteurs, nous avons ici 2 exemples du stade 3, celui qui précède la mort
Jennisy Trop fort ton avatar!
Zeldor:d)Toi aussi t acro a cette fic!
Tout le monde:d)Je cree le fan club de la fic de Jenissy!Ceux qui veulent sinscrirent peuvent en m'envoyant 50 euros par la poste!
ok, ton adresse mon p'tit chou
Voilà désolée je l'ai finie depuis ce matin mais je n'ai pas réussi à me connecter à Internet aujourd'hui, on avait plus de réseau chez moi.
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2ème partie/Chapitre 7 : Retour d’ascenceur
Cela faisait dix minutes que le groupe était parti et rien ne s’était produit. Les deux sœurs se souvenaient parfaitement de chaque membre du gang, de leurs aventures passées avec eux… Carmen regarda sa sœur :
« Ca marche pas. Il doit être arrivé quelque chose à papa ou aux autres… »
La renarde marqua un temps de pause, puis annonça :
« Il faut à tout prix aller les aider !
-Quoi ?!
-Je viens de te le dire ; peut être qu’ils ne sont pas arrivés à battre Clockwerk. Il faut qu’on fasse quelque chose ! »
Puis sous les yeux ronds de sa sœur, elle commença à fourrer quelques affaires qui trainaient par là dans un sac. Elle se tourna vers la ratonne :
« Mais aide moi un peu au lieu de rester plantée là à me regarder avec tes yeux de merlans fris ! On va utiliser la machine pour arriver quelques jours avant l’expo, prendre l’avion pour la Russie et les aider ! »
Jennissy prit le sac que lui tendit sa sœur, puis elles entrent dans la machine.
« Je ne sais pas vraiment comment Bentley a réussi à la faire marcher…
-Fait juste en sorte de ne pas nous envoyer chez les dinosaures, dit enfin Jennissy, un sourire narquois aux lèvres »
La renarde lança un regard noir à sa sœur, appuya sur quelques boutons et la machine se mit en marche, envoyant les deux sœurs quinze ans en arrière, dans un Refuge désert. Elles coururent vers le garage, mais le van n’y était pas. Elles prirent donc un taxi pour l’aéroport, y achetèrent des billets pour le prochain vol (bin oui même si se sont des voleuses professionnelles elles ont bien le droit de faire comme tout le monde de temps en temps, non ? ) et attendirent un long moment. Quelques heures après, elles étaient dans l’avion et, plus tard, à l’aéroport Pulkovo à Saint-Pétersbourg. Elles prirent une chambre dans un hôtel et se préparèrent toute la journée suivante. Et enfin, arriva le grand soir. Elles se faufilèrent discrètement dans le palais transformé en musée et se mirent à la recherche du gang. Soudain un bruit de fracas retentit. Les deux sœurs arrivèrent tant bien que mal dans la salle de bal, là d’où venait le bruit, malgré le nombre incalculable de personnes qui se dirigeaient dans le sens opposé, totalement affolé. La ratonne laveuse aperçut son père, ainsi que l’oiseau robotique, en train de lui foncer dessus. Avant même d’avoir eue le temps d’analyser la situation, elle courait comme une dératée vers Sly, le poussant violemment sur le côté et par la même occasion, lui sauva la vie.
« Jennissy ?! Mais que… »
-T’expliquerai plus tard papa. On a un hibou à descendre, là, non ? »
Les deux ratons se relevèrent péniblement. Encore une fois le groupe n’avait pas de plan. Ils commencèrent par mettre les six personnes blessées lors de l’intrusion de Clockwerk en lieu sûr, et, par la même occasion, se mettre à l’abri pour s’organiser et ne pas finir en steak haché. La voix amplifiée de Raspoutine résonna dans le palais :
« Ne vous cachez pas, vous ne pourrez pas m’échapper. De plus si vous pensez que je ne sais pas ce qu’il risque de se futur dans le passé… euh… de se passer dans le futur, vous vous trompez ! »
Sly regarda l’oiseau du coin de l’œil. Effectivement, le vieux loup avait était prévoyant cette fois car ce Clockwerk était encore plus gros que les précédents, donc sûrement plus coriace. Bentley annonça enfin :
« Et bien je crois bien qu’on n’a pas d’autres solutions… il va falloir faire comme les autres fois.
-La vache ! Ca devient agaçant ! Je parie qu’il va falloir que j’ouvre encore ce fichu bec ?!
-Faut croire, Murray. »
Mais avant même que la tortue ai pu finir sa phrase, l’hippopotame était déjà en train de se débattre afin d’ouvrir le bec, alors que l’oiseau robotique gesticulait.
« Il va se faire tuer, dit Jennissy, pessimiste à la vue de se spectacle.
-Surtout si il essaye d’arracher la micro-haine, enchaina Penelope, vu que c’est comme ça que ton frère est mort, là il risque de se faire tuer. »
La ratonne baissa les yeux. La mort de son frère était bien le seul souvenir qu’elle aurait oublié avec joie. Murray avait enfin réussit, tant bien que mal et ne pu s’empêcher de pousser un cri de joie. Mais, surprise, la puce n’était pas derrière le bec. Affolé, il sauta de la tête du hibou et fût frappé par celui-ci en plein saut. Murray s’écrasa pas terre, assommé, inconscient. Chacun sursauta, puis Sly commença à s’avancer pour tenter d’aller le chercher.
« NON ! Papa ne bouge surtout pas !
-Mais Murray est en danger, il faut faire quelque chose !
-Justement tu ne bouge pas. Si tu vas le chercher, Clockwerk risque de te blesser et alors là, se serait Raspoutine qui gagnerait. Non, sur ce coup là c’est Jennissy et moi qui devons y aller. »
Pour la première fois de sa vie, Carmen vit une lueur de désespoir dans les yeux de son père, se qui lui donna moins envie de risquer sa vie pour sauver un compagnon.
« D’accord, mais soyez quand même prudentes. S’il vous arrive quelque chose, nous ne serions plus que trois. »
Les deux sœurs coururent vers l’hippopotame. Même si celui-ci était lourd, à deux elles réussirent à le tirer. Le hibou donna plusieurs coups de serres pour les empêcher de repartir à l’abri, mais sans succès. Jennissy et Carmen n’étaient plus qu’à une dizaine de mètres, jusqu’au moment où cette dernière fut atteinte au bras. Le hibou venait de lui infliger une blessure profonde. Elle oublia la douleur un court instant et Murray était enfin sauvé, à l’abri. La souris l’inspecta :
« Il va s’en tirer, dit elle en voyant la grosse bosse sur son front, il faut juste qu’il reprenne conscience. »
Puis elle aperçut la griffure sur le bras de la renarde.
« Toi par contre ça va mettre un temps fou avant que ça arrête de saigner et là j’ai aucun bandage. »
Carmen jura et eue un affreux rictus de douleur. A regret, sa sœur enleva sa veste et la déchira.
« Tiens, Penelope, ça devrait faire l’affaire.
-C’est parfait. Bonne idée Jennissy. »
Quelques secondes plus tard, la veste de la ratonne laveuse compressait la blessure de la renarde. La tortue déclara :
« Je ne vois absolument pas où peut se trouver la micro-haine. Elle peut être n’importe où sur Clockwerk. Je crois qu’il va falloir carrément le faire exploser, mais mes bombes ne sont pas assez puissantes. »
Carmen regarda dans sa poche :
« Il me reste une dizaine d’amplificateurs. Trois pastilles sur l’une de tes bombes devraient largement suffire vu la taille de l’oiseau. »
Le raton laveur se dévoua pour aller jeter les bombes amplifiées sur le hibou. Sa fille lui passa les pastilles et Bentley trois de ses bombes. Sly envoya un premier projectile explosif, l’activa et une petite détonation retentit. Il réessaya et la deuxième bombe produit le même effet que la première.
« Je vous l’avais déjà dit que ces pastilles ne marchait qu’une fois sur deux ! expliqua la jeune renarde. »
Le raton laveur paniqua, mais essaya une dernière fois. Il mit les quatre dernières pastilles, se mit à l’abri, activa la bombe puis tout le monde se boucha les oreilles, au cas où ça marche. Une violente secousse se fit ressentir, manquant de faire tomber chaque membre du groupe. Puis ils regardèrent ce qu’il s’était passé. Une partie de la salle n’était plus là, mais le hibou n’était plus qu’un tas de métal fumant. Le gang parti à la recherche de la puce. Par chance, ils la trouvèrent vite. Jennissy regarda la micro-haine avec rage, leva son pied et écrasa la puce, qui éclata en milles morceaux. C’est à ce moment même que la ratonne et sa sœur disparurent dans les méandres du temps.
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SquallCloud Mon avat'...? Ah bin oui
En fait c'est Carmen et Jennissy en chibis et c'est aussi...
...un avant gout de la (peut être) 3ème partie.
Aigle-Supra Tu veut me tuer à la tache?
Rhooooooo alors!
Zeldor-le-grand Mince alors...
Je suis un génie diabolique j'avais tout prévu, leur cerveau vont fondre après! MOUHOUHAHAHAHAHA!!!!!
Non Zeldor ne t'en fais pas je blaguais...
Trop bien comme dhab!
oui et je l'ai relu complet
Bon sinon mon avatar de maintenant c'est un avant gout de la (peut être) 3ème partie... même si ça se remarque pas.
Carmen et Jennissy sont poursuivies. Par qui? Par quoi?
Vous le saurez (peut être).
SLYCLANK TOUT relu?
Mais moi même avec la fic de gag_jak j'auserrai jamais tout relire tellement c'est long... quoi que... en fait si.
ah si moi la fic de gag-jak je la relis à chaque nouveau chapitre qu'il fait (mais c'est parce que il les fait avec des mois d'intervalle xD)
sinon génial comme d'habitude....non même plus que d'habitude juste un truc : fais gaffe de pas t'embrouiller en fesant mumuse avec le temps, sinon ta fic risque de grouiller d'incohérences
Ne t'inquiète pas, les voyages, spacio-temporels je pense que c'est fini maintenant. Et puis je fais tout pour que ce soit le plus cohérent possible...
Mais c'etait rigolo de faire mumuse avec le temps.
c'est moi ou tes chaps sont de plus en plus hard
mais au moins y'a de l'action et c'est vraiment bien écrit comme d'hab même si j'ai du relire 3 fois le début pour comprendre qu'il se passe après le départ de Sly et son gang ... mais c'est pas grave .
Et : Elles prirent donc un taxi pour l’aéroport, y achetèrent des billets pour le prochain vol (bin oui même si se sont des voleuses professionnelles elles ont bien le droit de faire comme tout le monde de temps en temps, non ? )
Eh ben non parce que là tu dis le contraire que la paro de zeldor quand ils doivent piquer la bouteille de heinz avec toute l'opération foireuse que bentley invente ...
Ben oui mais Zeldor c'est une paro... mais bon comme les trois ils ont tellement volé, ben ils ont tellement de fric qu'ils doivent bien le dépenser, non?
Bon sinon le dernier chapitre sera peut être pour tout à l'heure, mais je sais pas vraiment si il vous plaira...
Bon ben double post mais c'est pour la bonne cause...
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2ème partie/ Chapitre 8 : Happy end
Raspoutine n’avait pas laissé de trace et après plusieurs heures de recherches, le gang conclu qu’il était mort dans l’explosion, et si jamais ce n’était pas le cas, il était trop vieux et trop faible pour reconstruire un autre Clockwerk ou pour chercher la pierre dont il avait parlé.
Murray se réveilla avec un horrible mal de crane et les personnes blessées partirent à l’hôpital, dont elles sortirent très vite, guéris et en pleine forme.
Quand au palais, il ferma momentanément pour rénovation, puis ré ouvrit au public, mais non plus comme musée.
Le groupe repartit enfin vers la France. Et quelques jours plus tard, en début de journée, le raton laveur se retrouvait dans le doux appartement qu’il connaissait si bien. Et la première chose qu’il fit, en arrivant, fut de fougueusement embrasser Carmelita. Ce spectacle fut accompagné de « Beurk ! », « Yeurk ! » et autres « Dégeux ! » venant des trois enfants qui étaient à côté. Sly s’intéressa finalement aux trois jeunes et commença par prendre Benjamin dans ses bras. Puis Jennissy se jeta sur son père, manquant de le faire tomber :
« Hier soir j’ai fait un rêve super bizarre. J’ai rêvé qu’un gros hibou t’avait attaqué puis j’t’ai sauvé… »
Le raton laveur regarda sa fille, perplexe. Pour lui aussi toutes ces aventures lui paraissait n’avoir été qu’un mauvais rêve. Il se réveilla enfin et annonça :
« Euh… je voulais aussi vous présenter de bons amis que j’ai toujours connu… »
Carmelita le regarda avec des yeux ronds, mais il n’y fit pas attention et ouvrit la porte à Murray, Penelope et Bentley. La renarde n’était pas dupe et les reconnu aussitôt, mais se tut. Elle se contenta de jeter un regard noir au raton laveur, qui comprit tout de suite le message. Il continua néanmoins à présenter le gang aux enfants et inverse. Malheureusement le groupe devait reprendre la route pour arriver le plus tôt possible à Paris. Une fois partis, Carmelita ordonna aux enfants de rentrer dans leur chambre, ce qu’ils firent sans broncher. Dans le salon, Sly s’assit sur le canapé, l’air calme et parfaitement détendu :
« Je sais que j’aurais dû t’en parler avant. Mais si je l’avais fait tu n’aurais jamais voulu que je les invite…
-Ca oui tu aurais dû m’en parler. L’ennui, c’est que tu ne l’as pas fait !
-Comprend moi, j’ai passé presque toute ma vie avec eux, on est comme des frères…
-Peut être Sly, mais je ne veux pas que tu recommence à voler, ou que les enfants deviennent aussi des criminels !
-Mais il n’a jamais été question de…
-D’ailleurs, dit moi pourquoi tu me dis la vérité seulement maintenant, alors qu’on a un bon boulot, des gosses… ?
-Parce que je t’aime et s’était sûrement la seule façon pour qu’on soit ensemble.
-Tu pense ça ?
-A l’époque, oui. »
Les deux marquèrent un temps de pause et se regardèrent, l’air complètement désespéré. Depuis leur chambre, les trois enfants suivaient attentivement la conversation sans vraiment la comprendre. Arriva même un moment où leur mère parla de « solutions » d’après elle et employa des mots que la cadette avait déjà entendu, mais ne comprenait pas tellement :
-Ben, c’est quoi un divorce ?
-Euh… là, je crois qu’il vaut mieux pas que tu sache. De toute façon quand les adultes se disputent, ils disent des choses qu’ils ne pensent pas forcément… »
Jennissy hocha la tête, mais n’était finalement pas plus avancée sur la question.
Sly continua :
« Mais tout ce que je voulais dire, depuis tout à l’heure c’est que je n’ai jamais perdu la mémoire. Point final ! Je n’ai jamais dit que je continuerai de voler alors ne commence pas à me parler de séparations ou autres ! »
Carmelita ressentit une pointe de regret des ses paroles, mais il avait l’air tellement sincère… Cela la calma un peu :
« Bon… je veux bien que tes amis viennent de temps en temps. Mais il est hors de question qu’eux ou toi mettent des histoires de cambriolages dans la tête de nos gosses. C’est tout ce que je te demande.
-Ca va de soit. »
Quelques mois plus tard, Jennissy fêtait son huitième anniversaire. Après plusieurs ouvertures de boites et déchirure de papier, elle tomba sur un énorme cadeau sur lequel était écrit : « Petit souvenir de Russie de la part de ta tante et de tes deux oncles. Mais attention, c’est fragile. »
Elle déchira le papier cadeau, ouvrit la boite et vit un magnifique œuf scintillant, protégé par une tonne de polystyrène. Carmelita espéra fortement que ce n’était pas de vraies pierreries qui décoraient l’œuf. Puis Sly tendit son cadeau à sa fille, qu’elle ouvrit rapidement. Elle découvrit un magnifique livre, remplit d’une centaine d’illustrations. Sur la couverture, « Robin des bois » était écrit en gros. La petite ratonne remercia tout le monde pour les cadeaux qu’elle avait reçu et partie vite pour tout ranger dans sa chambre.
Dans la même soirée, Carmelita attendait patiemment Sly avant de démarrer le film qu’elle avait choisie de voir. Puis, après un très long moment d’attente, elle décida d’aller voir ce qu’il faisait. Elle le retrouva assis sur le lit de Benjamin, entouré des trois enfants qui suivaient l’histoire que leur père racontait en regardant les illustrations.
« Dites donc, vous avez largement passé l’âge des histoires avant de dormir, vous trois, fit-elle remarquer
-Oui, mais celle-là ils ont insisté pour que je la lise.
-Bon… mais dépêche toi, Sly. Je t’attend dans le salon. »
Le raton laveur et les trois enfants virent la renarde s’éclipser.
« De toute façon il est tard…alors on continuera demain. »
Il rendit le livre le livre à sa fille, qui enleva aussitôt la couverture de « Robin des bois » du Volus Ratonus et le rangea en lieu sûr, là ou sa mère ne risquait pas de le trouver. Puis les trois enfants se mirent dans leurs lits et Sly éteignit la lumière dans la chambre.
Le raton voleur pensa alors tristement que c’était la fin de sa grande carrière de cambrioleur, mais il se dit qu’un autre gang de Cooper poursuivrait un jour sa vocation et souhaita de tout son cœur que les prochains maîtres voleurs… s’amusent bien.
FIN
(ou seulement fin de la 2ème partie ? )
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Le mystère sur l'hypotèse d'une troisième partie reste entier...
120 eme post !
bone je vais devenir critique (c'est à dire mettre en avant les mauvais côtés (peu nombreux) et à la boucler sur les bons côtés (très nombreux)) alors voilà :
Je trouve que :
-Carmélita le prend vachement bien ... tu vois de quoi je parle ???!!!
-Bentley, Penelope et Murray ne restent pas assez longtemps avec la famille
-La fin laisse un peu à désirer comparée à ce dont tu nous avait habitué
-il faudrait une troisième partie pour finir en beauté parce que là c'est plat on ne sait pas si les enfants vont être de grands voleurs ou pas
Et je passe sous silence tous les bons côtés
Je compte faire un guide des fics alors je vous laisse
ben ça fait un beau happy end oui mais ça laisse légérement un goût d'innachevé (qu'est-il advenu réélement de Raspoutine ? D'ailleurs qui est t-il vraiment ? etc...)
D'ailleurs c'est de ça que manque ta fic je trouve : d'un méchant qui est très méchant avec tout un combat contre lui, enfin tu vois le truc
Oui je sais, par rapport aux autres coms que j'ai laissé, celui-ci est plutôt négatif mais...c'est parce que chuis trop triste que c'est la fiiiiiiiiiin