Trois lecteurs... c'pas mal. Bon allez, encore un et j'm'active

Pas mal continue

Pwned

Vraiment pas mal du tout ta fiction.
Continue la!

Bon now fake j'ai commencé le prochain chapitre. Et j'compte le finir dans les jours qui viennent.

no fake*

Cool ^^ ... mais les jours ce seraient pas plutôt des semaines ?
J'attends en attendant.

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Chapitre 29 :
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Le noir. Le noir était complet, tout autour de lui. Il ne voyait rien. Enfin, presque. Il pouvait voir ses mains, son corps, un peu de plancher devant lui, mais surtout beaucoup, beaucoup de sang. Beaucoup de sang sur son torse, beaucoup de sang sur le sol, beaucoup de sang coulant de son crâne. Trop de sang. Sa vue était trouble, il était pris de vertige, et son estomac se retourna d’un seul coup, le forçant à vomir pendant une bonne minute.
Il était couché sur le dos, et sentait la douleur de ses plaies. Ce qui prouvait qu’il vivait. Oui, Sly était toujours vivant, mais il ne comprenait pas… Darss aurait du le tuer.

Les lumières s’allumèrent tout à coup, éblouissant le pauvre raton pendant un moment, mais lui permettant de voir où il se trouvait. Il n’était nulle part. Tout autour de lui était blanc. Il avait l’impression d’être dans le vide, de flotter au milieu de nulle part, dans un endroit qui n’existait pas, dans un endroit blanc. Blanc et rouge. Les traces de son sang ne s’étaient pas dissipées, et elles étaient d’autant plus flagrantes maintenant que tout était blanc. Sly fit de son mieux pour se lever, même si la douleur lui rendit la tâche difficile. Il voulut s’aider de sa serpe pour s’appuyer, mais il se rendit compte qu’il ne l’avait pas. Il dut faire sans.
Il était déjà venu ici. La dernière fois que Darss l’avait battu, il s’était retrouvé ici après s’être fait assommé. Cet endroit était une illusion. C’était une pièce imaginaire. Il était prisonnier d’une technique de The Cooper Story.

« Bonsoir, Sly – fit un voix grave.
- Cradje… » Une fumée apparut soudainement à quelques mètres de lui. Cette fumée, c’était Cradje. Ou du moins, elle entourait l’enveloppe charnelle de Cradje. Elle empêchait de voir à quoi il ressemblait vraiment. Peut être n’était-il rien d’autre qu’une sombre fumée opaque. Une fumée qui dirigeait une armée de mille Clockwerks prêts à détruire le monde.
« Te revoilà. – dit-il – J’ai demandé à mon fils de t’amener devant moi, à nouveau. La dernière fois qu’il t’a battu, je t’ai laissé la chance de vivre encore un peu. Maintenant, tu n’auras pas cette chance. Du moins pas si tu refuses mon offre.
- Quelle offre ? Celle de me rallier à ta cause ?
- Celle-ci même…
- Jamais de la vie !
- Alors tu peux faire tes adieux… Je te tuerai ici. Tu es trop faible, jamais tu ne pourras me vaincre. Et ne compte pas sur une échappatoire, tu ne pourras pas partir. Tu es piégé dans cette illusion, le seul moyen d’en sortir est de me tuer, et tu ne pourras jamais le faire. Je maitrise les techniques les plus puissantes du monde, celle de The Cooper Story. Toi tu ne connais aucune technique de ce livre, et qui plus est, tu es trop faible pour te battre, et tu n’as pas d’arme. Je peux te tuer en claquant des doigts. » Pour appuyer ses propos, il claqua des doigts, et une longue stalagmite noire sortit du sol blanc et manqua de transpercer Sly à quelques centimètres près. « Je peux te tuer – reprit-il – mais je préfère t’avoir à mes côtés. Tu as le choix, Sly, tu peux rejoindre ma cause, celle de la puissance, et je te donnerai une place dans mon empire de détresse et de désolation ; ou tu peux choisir la cause de la mort, et mourir avec le reste des êtres de cette planète. Tu dois faire ce choix tout de suite, Sly. J’ai perdu assez de temps avec toi. Alors, que décides-tu ? Veux-tu me rejoindre ? »

Sly réfléchit. Il ne réfléchissait non pas au dilemme de Cradje, non… Il connaissait la réponse. Il allait dire non. Comment pourrait-il dire oui à un homme qui s’apprêtait à détruire le monde ? Il ne pouvait pas. Il ne pouvait pas se rallier à sa cause folle et destructrice. Il n’était pas comme ça. Non, Sly réfléchissait à comment gagner du temps. Car il lui fallait du temps, beaucoup de temps. Il fallait qu’il s’échappe d’ici. Il fallait qu’il trouve une solution. Cradje avait raison, jamais il ne pourrait le vaincre… et pourtant c’était le seul moyen de sortir de l’illusion. Sly se sentait perdu. Emprisonné. Sur le point de mourir. Et il ne pouvait pas mourir, il avait des amis à sauver, un monde à sauver, la femme qu’il aimait à sauver… Il ne pouvait pas mourir, non. Il décida donc de parler à Cradje pour retarder le moment où il donnerait sa réponse.

« Tu dis me connaitre, Cradje… Mais c’est faux. Tu sais très bien que je ne veux pas le mal de ce monde. Alors pourquoi crois-tu que j’accepterai ? Qu’est-ce qui te fait croire ça ? Explique-moi.
- Parce que tu es faible, Sly. Comme le reste de ce monde, comme tous ses habitants, tu es faible. Faible et égoïste. Tu veux survivre, à n’importe quel prix. Voilà pourquoi tu accepteras mon offre. Tu aimes ta vie. Et tu donnerais tout pour la continuer, comme tout le monde.
- A quoi bon vivre si je n’ai plus personne à voler ? Je ne m’amuse qu’avec ça. Faire souffrir ne m’intéresse pas. Et voler les morts ne m’intéresse pas. Quel mérite en tirer ? » Cradje pouffa de rire.
« Il y a bien d’autres avantages…
- Pourquoi as-tu besoin de moi, Cradje ?
- Qu’est-ce qui te fait dire que j’ai besoin de toi ?
- Par deux fois, Darss aurait pu me tuer. Par deux fois, tu as préféré lui dire de m’amener ici pour que tu me proposes de me joindre à toi. Pourquoi cette insistance ? Pourquoi suis-je si important pour toi ? » Cradje ricana.
« Parce que cette place, auprès de moi, te reviens de droit.
- Tu as vraiment perdu la raison… Il y a peu, tu ne me connaissais même pas…
- Si tu savais comme tu as tort – dit Cradje en riant. »

Sly fixa la fumée. Impossible de voir quelle était son expression. Impossible de savoir ce qu’il cachait. Il ne savait quoi dire, mais la fumée préféra continuer à parler.

« Je sais aussi qu’à mes côtés, tu m’aideras à entretenir mon empire convenablement. Tu sauras tenir le monde entre tes mains, le diriger, le soumettre, le faire souffrir.
- Tu es complètement dingue ! Tu ne me connais vraiment pas ! Comment peux-tu être sûr que j’agirai ainsi ? C’est totalement fou.
- Parce que c’est comme ça que tu es !
- Il n’y a pas de meilleure preuve pour montrer que tu ne me connais pas ! Comment peux-tu penser me connaître, hein ? Tout le monde n’est pas vil et cruel, tout le monde ne peut pas faire du mal aux autres, tout le monde n’est pas comme toi ! Pourquoi, pourquoi penses-tu que je le suis ?! Qu’est-ce qui te fait croire ça ? Comment peux-tu m’abaisser au rang de tous ceux qui préfèrent vendre leur âme pour survivre ? Je ne suis pas comme ça !
- Bien sûr que si ! – rugit Cradje – Bien sûr que tu l’es ! C’est dans ta nature ! Ta famille était comme ça ! Tu as ça dans le sang, tu as le mal dans le sang ! Tu as la destruction dans le sang, le goût du meurtre et de l’assouvissement ! Tu as tout ça en toi, tu ne le sais pas encore, voilà tout…
- C’est faux ! »

Sly, de rage, fit quelques pas en avant, prêt à se jeter inconsciemment sur Cradje pour lui faire le plus mal possible. Mais sa douleur le rattrapa et il s’écroula sur le sol. Il mit un genou à terre et resta plié en deux. Il cracha du sang.
Cradje se contenta de marcher, décrivant des cercles autour du raton.

« Regarde-toi, regarde comme tu es faible… » Il ponctua ses mots en donnant un grand coup de pied dans le ventre de Sly. « Et bien sûr que non ce n’est pas faux ! Ta famille était cruelle, que tu le veuille ou non. Elle a toujours voulu le mal.
- Tu dis n’importe quoi – balbutia-t-il, essuyant le sang qui coulait de sa bouche – Ma famille se contentait de cambrioler, mais elle ne faisait rien d’autre de mal…
- Faux ! Faux ! Faux ! Tu as tout faux ! Tu ne connais pas l’histoire de ta famille…. Comment pourrais-tu la connaitre ?
- J’ai lu le Volus Ratonnus…
- Le Volus Ratonnus est un ouvrage pour les gamins. Il apprend les techniques de bases et raconte des petites histoires du clan Cooper, mais il s’arrête loin de la vérité…
- Vous ne pouvez pas en savoir autant sur les Cooper !
- Je connais l’histoire des Cooper mieux que personne ! »

Sly avait mal à la tête. Cradje s’apprêtait à lui dire quelque chose de grave, qu’il n’avait pas envie d’entendre. Une vérité improbable. Il ne pouvait pas dire la vérité.

« Les Cooper – continua-t-il – n’ont jamais fait le bien. A une époque, ils se contentaient de voler, c’est vrai. Mais depuis quelques années, elle est responsable de nombreux massacres !
- Tu confonds Clockwerk et Cooper ! Ton petit chéri d’oiseau misérable que tu as reproduit un millier de fois était comme ça, mais les Cooper ne l’étaient pas ! Clockwerk était l’ennemi de ma famille, elle s’est même fait accusé de certain de ses crimes ! Tu confonds tout, tu ne comprends rien. Et après, tu penses me connaître ? » A ces mots, Cradje explosa de rire, comme si c’était la meilleure blague qu’il avait jamais entendu.
« Clockwerk, l’ennemi des Cooper ? Alors ça c’est la meilleure…
- Quoi ? – beugla Sly » Tout tourbillonnait dans sa tête. Il avait l’impression de ne rien savoir. Et il voulait savoir, même si cela devait le tourmenter à tout jamais. « Qu’est-ce qu’il y a ?! Qu’est-ce que j’ignore ?!
- Tout ! Mon petit Sly, tout… Tu n’as rien compris. Clockwerk était loin d’être l’ennemi de ta famille. Si tu veux le savoir, c’est ta famille qui a inventé le Clockwerk. Cet oiseau démoniaque. Cet oiseau assassin. Cet oiseau de ferraille. Cet oiseau est l’invention des génies de ta famille. Mais au départ, il était simplement le protecteur. La machine qui surveillait si le cambriolage se passait bien, et assistait le membre de la famille s’il avait besoin d’aide. L’ombre bienveillante qui planait au dessus d’eux. Mais il y a des années, ton père a décidé de s’en servir pour commettre des actes plus violents. Il a créé une puce, la micro-haine, qu’il a implanté dans le corps de Clockwerk. Grâce à elle, ce robot devint de plus en plus violent, et tua un nombre incroyable de personnes. Les cambriolages devenaient de plus en plus violents et de plus en plus efficaces. Ton père a enrichi la famille Cooper avec son invention. Mais jamais, jamais le Clockwerk n’a trahi la famille Cooper. Il est toujours resté fidèle. Alors, un ennemi ? Laisse-moi rire ! »

Sly enregistrait les informations mais ne parvenaient pas à les accepter. Trop de choses n’allaient pas. Non, Cradje débitait des conneries ! Il n’y avait pas d’autres solutions ! Sa famille ne pouvait pas être si mauvaise, et Clockwerk ne pouvait pas être son allier, c’était impossible !

« Tu dis n’importe quoi ! Mon père n’était pas comme ça !
- Tu aimerais bien, hein ?
- Clockwerk a assassiné mon père ! Et il a tenté de me tuer ! Est-ce cela, l’oiseau fidèle ?!
- Oui… Clockwerk a tenté de tuer ton père parce qu’il n’acceptait pas ce que la micro-haine lui ordonnait de faire, selon lui ce n’était pas en accord avec le clan Cooper… Mais cet oiseau n’a jamais rien compris ! Comment pouvait-il savoir mieux que ton père ce qui était mieux pour la famille Cooper, hein ? C’était une machine ! Il ne pouvait pas le savoir ! Cette micro-haine est la meilleure invention qui soit ! Mais j’ai survécu, bien sûr. Il ne pouvait pas me tuer ! J’ai survécu et j’ai traqué cet oiseau, l’ai combattu, et l’ai re-fabriqué pour qu’il m’obéisse ! C’est d’ailleurs pour ça qu’il a tenté de te tuer, mais il a échoué. Cet oiseau a toujours été décevant. Trop faible…
- Qu… ? »

Sly cru avoir une attaque cardiaque. Avait-il bien compris ?

« Oui, Sly, tu as bien compris. J’en ai marre de parler de moi à la troisième personne » Le nuage de fumée se dissipa, s’envolant dans les airs comme si de rien n’était, dévoilant l’homme qu’il cachait jusqu’à là. C’était un raton. Il était grand, vêtu tout de noir, une serpe en or à la main. Sly sentit son cœur se serrer. Il ne pouvait pas y croire.

« Surprise » dit simplement James Cooper avec un large sourire « Tu n’es pas content de voir que ton père est vivant ? »

Ouch, ça fait quand même un petit choc la fin.
Decidement je l'adore ta fic!

'tain je kiffe ta fic! lol
Continue comme ça!
P-S : C'est un ordre! mdr

J'suis content d'avoir enfin écrit la révélation finale
J'suis fier de moi

Merci à vous =p Par contre, la suite viendra dans longtemps... Je pars en vacs pour pas mal de temps, et j'ai d'autres choses à écrire... Et ensuite viendront les cours.
Alors bon...

Non ne pars pas! mdr! Bonne vac'!

Bonnes vacances gag ...
C'est vrai que ça fout un choc la fin !
J'espère que ça se finira plutôt bien pour le monde.

FIC GENIALE !!!

La fin ça fait un peu... "Sly, je suis ton père!" quand on y réfléchi...
Bonnes vacances gaga-jak!

Dark cooper et obisly kenoper! mdr

Maintenant si vous relisez le prologue, vous pouvez voir que tout était prévu depuis le début

Ben oui evidemment.
Moi je me demande qui est Darss en fait...
C'est peut être la mère de Sly!

Non la mere de Sly etait pasune cooper? si?

Bah par alliance. Enfin, dans mon histoire quoi
Bah Darss c'le fils de Cradje, non ? Donc le fils du père à Sly. Donc le frère à Sly ?
Non ?
Mais comment expliquer ce mystère ?