Un commentaire constructif ne serait pas de refus non plus!^^
J´ai avancé à Silent Assassin, je suis en Inde maintenant!^^ Ces missions me donnent d´excellentes idées, dont certaines seront probablement mises en oeuvre dans les prochains chapitres! A propos, je suis en "pénurie de chapitres" en ce moment, et je les écris les uns après les autres (j´en ai plus en stock), donc le rythme risque de ralentir quelque peu... mais je continue, of course!
Ba je peux rien dire d´autre mis à part que c´est parfait et qu´il faut que tu continues comme ça !
Désolé à tous ceux qui attendent le prochain épisode je n´ai encore rien fait... mais j´ai les vacances la semaine prochaine alors pas de souci! ^^
Vous pouvez donc encore, si vous le voulez, choisir du sort de Dougall! Même si la trame du contrat reste dans ma tête...
Au courant qu´un tueur à gage est dans la ville, Dougall décide d´avancer son heure de départ. Puis, en voyant à la fenêtre une putain de fusillade, il sort directement avec plusieurs gardes et prend sa voiture.
Beuh je sais que je suis lent... mais j´ai pas vraiment d´inspiration, et j´ai pas envie de faire du travail bâclé... ><
Désolé pour ta joie si tu pensais que c´était un nouvel épisode...^^
en effet
enfin, rien depuis le 13 mars
Le syndrome de la page blance...
Enfin, un jour ça passe et ça repart !
J´ai commencé à récrire! Le prochain chapitre sera un peu particulier, puisqu´il sera écrit du point de vue des ennemis de code 47... Dougall, Forthy, Lenny James et les Swats seront au coeur de cet épisode! J´ai déjà écrit le début, je ferai la suite très prochainement!
FAIT VITE
:/
je voulais réservef cette place de haut de page pour la magnifique fic de thunderstriker.
"-Ici l’unité 2, nous avons la cible en visuel… sur un balcon… attendons instruction.
-Ici central, vous avez ordre de l’intercepter.
-Très bien. Vif j’imagine.
-De préférence. Mais vous êtes autorisé à tirer."
"-Cet homme est intelligent. Il a déjà tué des dizaines de fois à travers le monde… certains cas tiennent presque de la science-fiction. Vous avez entendu parler de Fournier, le commissaire de Paris assassiné dans une ruelle sans que personne ne s’en aperçoive avant des heures ? Ou alors Hayamoto, ce mafieux japonais qui tient presque du mythe tellement il travaille dans l’ombre ? Les exemples tiennent dans un dictionnaire, et ce n’est pas, excusez-moi, un simple flic de New York qui va lui mettre le grappin dessus aujourd’hui !"
Prochainement, dans Hitman: l´ombre de Code 47!
c´est tout?
dépèche toi, on veux la suite
Pas encore fini.
Mais c´est du très gros, je vous promets!!! L´un des plus volumineux chapitres de la fiction sans aucun doute!
j´oligerai mes yeux douloureux à lire sans s´arreter !
ZE new épisode! Probablement le plus long de tous (six pages sur word environ). Et pour vous faire plaisir après cette petite absence, je vous ai carrément inséré (vous, lecteurs!^^) dans une scène. Mais ne vous en faites pas, vous ne dites rien, vous ne tirez même pas! Mouhahah je suis démoniaque! Sur ce, bonne lecture!
XIV : Swat Team
-Ici l’unité 2, nous avons la cible en visuel… sur un balcon… attendons instructions.
L’hélicoptère avait fini de survoler l’immeuble, et on venait de repérer l’homme. Tueur à gages selon l’avis de recherche. Dans l’équipe, certains disaient qu’il avait couvert sa propre mort quelques années auparavant pour continuer son métier. Jefferson, le chef de l’unité 2, n’en avait pas vraiment souci. Pour lui, c’était une cible, une simple cible. Il fallait le chasser, et l’attraper. Il aurait certainement vomi ou aurait jeté son uniforme à terre en sachant que l’assassin agissait selon les mêmes règles, sauf que celui-ci finissait son travail par la sentence fatale. Jefferson préférait ses menottes à son M4, mais il fallait avouer que celui-ci était parfois bien plus utile.
-Ici central, vous avez ordre de l’intercepter.
Le pilote entendait la conversation, et finit de contourner un gratte-ciel pour repartir en direction de Code 47.
-Très bien, fit Jefferson. Vif j’imagine.
-De préférence, lui répondit la voix du central avec un petit grésillement. Mais vous êtes autorisé à tirer. Il est dangereux, d’après nos renseignements.
L’hélicoptère s’approchait de l’immeuble, quand Jefferson remarqua qu’un fusil sniper était disposé contre la barrière. Ce satané tueur semblait encore en activité, et sur un coup. Jefferson ajusta son casque et ses lunettes, puis changea le mode de tir de sa mitraillette, de sécurité vers automatique.
-Préparez les cordes ! Il semble nous avoir repéré.
Alors que le tueur laissait tomber une radio sur le sol et qu’il s’élançait à l’intérieur de l’immeuble, le chef de l’équipe attachait son harnais au système de descente en rappel de l’appareil.
-La cible vient de rentrer dans l’immeuble. Je répète : la cible vient de rentrer dans l’immeuble.
L’hélicoptère se stabilisa, et avant même que la corde qui tombait sur le toit de l’immeuble ne touchât le toit, Jefferson sautait déjà au-dehors de l’appareil, la main serrée sur sa corde en nylon. Durant ces quelques secondes où son corps était balancé le long de la corde, où le fort vent qui longeait les immeuble le frappait de plein fouet, il profita simplement de la vue sur l’Hudson River, du calme et du bleu du ciel ainsi que des jeux de miroirs des immeubles de Manhattan, reflétant la beauté de ce coin qui paraissait si tranquille.
-L’unité 1 a bloqué les ascenseurs et est en train de passer par les escaliers, informa le central alors que les pieds de Jefferson tombaient sur béton du toit avec force. Où en êtes-vous ?
-On débarque. 78e étage c’est ça ?
-Affirmatif.
Jefferson ne dit pas un mot de plus, et courut en direction des rebords. Des barrières de deux mètres de hauts empêchaient les dépressifs suicidaires à tenter l’expérience, mais ce n’était aucunement un problème pour l’unité. Les six membres de l’équipe se mirent rapidement en position sur les lieux, et accrochèrent les harnais en acier autour des sorties de la climatisation, rambardes et autres pythons installés ici on ne sait trop pourquoi. Ca n’avait pas d’importance. Jefferson fit cliqueter son harnais, vérifia son matériel et escalada la barrière, puis attendit que le reste de l’équipe ait fini. Huit secondes. Huit secondes de paix le haut d’un gratte-ciel. Le roi du monde…
-Ici central, l’unité 1 a des problèmes !
Le standardiste semblait stressé, il y avait des emmerdes. Jefferson avait entendu quelques crépitements au loin, et avait eu le secret espoir que c’étaient une télévision ou autre radio. La réalité les rattrapait : leur ennemi était on ne peut mieux entraîné.
-Ici unité 2, nous sommes prêts à descendre, dit Jefferson en adressant un coup d’œil au reste de l’équipe.
Le central ne répondit pas. Jefferson tourna la tête de chaque côté, observant ses hommes assis sur la rambarde. Il hocha la tête et tira la culasse de son M4 en arrière, avec ce bruit sec et caractéristique précédant un massacre proche, et chacun fit de même, comme dans un funeste ballet.
Il prit une dernière respiration, laissa pendre son arme dans son dos et s’élança en direction du vide.
-Nom de Dieu nous avions bien précisé à vos services de ne pas intervenir ! Vous deviez seulement nous fournir vos informations !
Lenny James connaissait bien New York. Il y avait passé un peu de temps en tant qu’agent dans les années 90, et avait probablement aidé à faire fortement baissé la moyenne de crime. La seule différence entre lui et Forthy, qui restait de marbre devait la fureur du molosse, c’était que celui-ci y allait à l’arme de service et au fusil à pompe lors de descentes, alors que l’agent d’Interpol faisait des planques de plusieurs jours pour coincer un suspect.
-Ecoutez mon gars… foutez-moi la paix, je sais faire mon boulot, lui répondit Forthy d’un ton sec.
Ils étaient au pied de l’immeuble, se dirigeant vers son large hall. Les passants regardaient avec attention le camion des Swats garé devant l’immeuble, qu’aucun policier n’avait pris la peine de déplacer. Quant à Forthy, même s’il faisait au bas mot vingt centimètres de moins que James, il n’en était que plus dur à cuire.
-Justement, NON ! Lui hurla Lenny James, lui postillonnant quasiment au visage. Ou alors vous ne savez pas lire, espèce de….
Mike, qui s’était tenu tacite jusque là, lui donna une tape sur l’épaule. James tourna son visage enragé vers lui, quand il se rendit compte que c’était juste pour le calmer. Son coup musclé se détendit soudain et il reprit d’un ton plus calme, devant un Forthy qui n’avait pas l’air intimidé le moins du monde :
-Cet homme est intelligent. Il a déjà tué des dizaines de fois à travers le monde… certains cas tiennent presque de la science-fiction. Vous avez entendu parler de Fournier, le commissaire de Paris assassiné dans une ruelle sans que personne ne s’en aperçoive avant des heures ? Ou alors Hayamoto, ce mafieux japonais qui tient presque du mythe tellement il travaille dans l’ombre ? Les exemples tiennent dans un dictionnaire, et ce n’est pas, excusez-moi, un simple flic de New York qui va lui mettre le grappin dessus aujourd’hui !
Forthy fit la grimace. Même s’il avait un mental en fer forgé, le souvenir de la mort du commandant Chanders et de l’humiliation qu’il avait vécues lui revinrent en mémoire. Mais il n’était pas du tout du genre à laisser tomber. Ç’aurait été trop facile.
-J’ai envoyé deux unités spéciales en haut, pour le prendre par surprise. Je peux vous assurer que…
Sa radio grésilla. Il cligna des yeux, lentement, inutilement, sachant pertinemment que c’était le canal réservé aux mauvaises nouvelles. James le savait aussi, et fit peser sur lui un regard réprobateur. Forthy appuya sur le bouton de la radio.
-Ici Forthy, fit-il après un silence.
-Ici central… nom de Dieu, on a perdu deux hommes !
Il lâcha le bouton de la radio, et observa Lenny James dans le fond des yeux.
-Je vous écoute. Qu’est-ce que vous proposez ?
James eut un sourire.
Toutes les vitres du 78e étage volèrent en éclat alors que les six hommes pénétraient à l’intérieur de l’appartement. Dans le même mouvement, alors que leurs pieds n’avaient pas encore touché terre et que les éclats brillants des baies vitrées virevoltaient dans l’air, ils décrochèrent leurs harnais et atterrirent au sol avec bruit, les bris de verre crissant sous leurs bottes noires. Dans un même geste, leurs M4 furent levés vers le vide et l’inconnu, vers une cible potentielle qui serait rapidement transformée en passoire. Durant quelques secondes, les membres de l’unité 2 restèrent ainsi, immobiles, leurs formes découpées par la lumière du puissant soleil de juillet qui filtrait à travers ce qui restait des fenêtres et des bouts de verres qui étaient encore raccrochés aux cadres. Puis, lentement, Jefferson leva une main et fit signe à chacun de s’avancer deux par deux. Puis, sans un bruit (sauf peut-être le verre qui crissait à nouveau sous ses pas), il commença à avancer et à vérifier les pièces. L’appartement était spacieux, et les rayons solaires faisaient briller les œuvres d’art anciennes sur les étagères et les tableaux sur les murs. Un appartement de riche… et une porte ouverte, trouée de quatre trous qui s’étendaient à l’horizontale à la hauteur des yeux. Et des tirs. Trois tirs, de pistolet, suivis rapidement par des crépitements rapides d’armes automatiques. Jefferson, son arme toujours levée devant lui, gloussa, puis fit un pas de plus et ouvrit la porte d’un grand coup de pied, alors que son coéquipier braquait inutilement ce qui aurait pu se trouver dans son encadrement. Celui-ci jeta un coup d’œil à Jefferson, lui indiquant de vérifier la droite. Rapidement, chacun sortit de l’appartement, se positionnant à genoux dans le couloir, dos à dos, visant de leur côté. Puis encore deux tirs de pistolets dans les environs, et un gémissement, suivis à nouveau de tirs de mitraillettes, dont on entendait clairement les ricochets des balles dans la cage d’escalier, contiguë à l’ascenseur.
-Ici unité 2, articula Jefferson dans son casque, en tentant de rester calme. Où est en la situation ?
Un silence. Puis…
-MERDE !! ! hurla le standardiste du central. Merde, merde, merde, merde !
-Bon sang, qu’est-il arrivé à l’unité 1 ?!
Les autres membres de l’équipe avaient fini de fouiller l’appartement et sortirent de la porte, les armes pointées vers le sol, s’avançant lentement de la cage d’escalier, dont un duo en tête. Jefferson leur fit signe de ne pas s’approcher, mais les deux hommes étaient déjà en train de s’avancer.
-On vient de perdre un homme… non deux !! !
Soudain, trois autres coups de feu déchirèrent le calme moyen du couloir et le premier homme qui s’avançait vers l’escalier fut éjecté contre le mur, laissant tomber son arme au sol. Jefferson coupa net la conversation, et alors que le soldat glissait contre le mur ensanglanté et que son coéquipier commençait à tirer vers l’ennemi invisible, il sauta sur celui-ci et l’attira à terre. Juste à temps d’ailleurs, car alors que des tirs confus de son M4 faisaient voler en éclats la lampe au-dessus d’eux dans une nuée d’étincelles, le mur qui se situait derrière eux fut troué par ce qui restait de la fin du chargeur de 47, qui lança une grenade fumigène dans le couloir, puis se cacha rapidement derrière un pan de mur. Jefferson, rempli de stress, le dos en sueur et la bouche sèche, hurla un repli à travers le couloir. Puis alors que sa cible, qui venait de faire cliqueter son arme d’un chargeur neuf, tentait de tirer à nouveau, il leva sa mitraillette vers le mur et pressa la détente sans lâcher. Le mur fut troué verticalement dans une nuée de plâtre volant dans les airs à travers la fumée épaisse du fumigène. Les soldats avaient sorti leur masque à gaz et se repliaient dans l’appartement, tandis que Jefferson vidait son chargeur par tirs réguliers en direction du tueur, terré dans son abri. Il entra dans l’appartement, essoufflé, jeta son M4 au sol et s’écroula contre le mur. Difficilement, il prit contact avec le central :
-Ici Je… ici… ici Jefferson. Enfin, je… je veux dire, l’uni… l’unité 2. Nous avons… avons perdu un homme.
-Ici central, compris. Des blessés.
Jefferson tourna la tête vers ses hommes qui le regardaient hébétés, debout dans l’appartement. « Des blessés ? », hurla-t-il d’une exécrable voix haute. Quatre têtes se secouèrent.
-Non, aucun.
-Où est la cible ?
Jefferson prit une grande respiration, se leva, et demanda à un de ces hommes d’aller jeter un coup d’œil. Celui-ci, prévoyant, tint sa mitraillette d’une main et tira une rafale à travers la porte, puis ouvrit celle-ci et observa le couloir avec intérêt : les portes de l’ascenseur étaient ouvertes, laissant apparaître les câbles qui pendaient dans la pénombre.
-Il vient de… pénétrer dans la cage d’ascenseur, dit-t-il d’un air étrange. En ouvrant la porte manuellement apparemment. Mais… les ascenseurs sont hors service !! !
Il était malin. Jenkins était mort ; il ne le serait pas inutilement.
-Ici central, je répète : où est la cible ?
Jefferson sortit son Glock 17 du holster de sa cuisse, tira la culasse en arrière, huma le goût du sang dans la bouche, et répliqua d’un ton qui n’avait que peu d’humain :
-Dans un aller simple vers l’Enfer.
je sais pas si je vais tout lire ce soir, finalement
allez, je lis :D
Ouaich!
J´adore. C´est bon, 47 n´a pas choisi mes fringues
J´ai pas vu les lignes passer!