Voilà, j´ai lu tout ce topic en deux soirs et adoré, je suis vraiment impressioné par ton style, je sais pas tes projets d´avenir, mais si t´a des bouquins terminé, essaie chez des éditeurs, j´attend avec beaucoup d´impatience lasuite
PS: qq a des infos sur hitman 5?
Merci. Et content de voir de nouveaux lecteurs qui apprécient mes créations. Les éditeurs, j´y ai déjà pensé, mais faut vraiment du solide pour pouvoir être édité, d´autant que Eidos ne laissera jamais un bonhomme même pas majeur vendre leur création (avec Luc Besson et la 20th Century Fox pas de problème, ça rapporte bien )
J´ai ralentis un peu le rythme ces temps-ci, l´agitation des premières esquisses étant terminée. Mais tu auras pu remarquer que bien que le rythme ralentit, la qualité augemente. J´écris aussi sur une fiction de groupe Metal Gear Solid qui devrait prochainement avoir son site terminé.
Pour Hitman 5, non rien, désolé... :S
Par contre, je suis à nouveau tombé sur un anachronisme purement énorme! En fait, il n´est jamais dit quand se passe Silent Assassin... Codename 47, et les partie flash-backs de Contracts, en 2000 et plus... Blood Money commence en 2004, et finit en 2005.
Par contre... la mission où on doit tuer Alvaro Vasquez, le ténor d´opéra, n´est autre que le début de la mission qui tourne mal à Hitman se prend une balle! (cf la cinématique de fin où on voit un individu recharger...) Silent Assassin se passe donc à ce moment-là, et non en 2002...
Il faudra donc que je modifie le tout (la date de 2003 joue encore) pour ne pas relater les événements de Silent Assassin... qui se passent donc après!^^
C´est vrai je n´avais pas pensé à Eidos, dommage. Pourrais tu redonner l´adresse de ton blog sur Hitman ( je sais que tu l´a déjà donné mais j´ai pas envie de la rechercher dans les 19 pages). C´et vrai que la chronologie d´Hitman est compliqué donc t´en fait pas si tu as fait des erreurs chronologique.
J´attend patiemment la suite parce que je sais que la qualité sera là.
http://hitman-fanfiction.blogspot.com
Faudrait que je commence le prochain épisode. Le scénario va vraiment devenir complexe, je vous l´assure!^^
Merci pour l´adresse du blog et j´attend la suite
Moi aussi j´attend la suite avec une grande impatience
Thunder: jte verais bien devenir ecrivain toi.
Sinon , pour ceux que ca interesse , jai aussi commencer une fic sur le forum Resident Evil 4:
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-4289-9733466-1-0-1-0-0.htm
Et j´ai quelques idees sur une eventuel fic Hitman
Oui, j´ai vu. J´irai la lire un de ces jours, ayant fini le jeu. Si t´as besoin d´infos, d´aide pour quoi que ce soit, je peux t´aider en cas de besoin...
Sinon écrivain, faut pas trop compter dessus pour faire sa vie!^^ Par contre, partir dans le journalisme reste une voie que je vois encore comme possible... mais ça, c´est personnel.
Bref, dans tous les cas, je vous concocte le prochain épisode, tout aussi surprenant je l´espère, pour bientôt...^^
Si t ecris bien et que t enchaine bon bouquin sur bon bouquin c possible , mais peu probable
Thunder ce serais pas mal si tu faisais t'ecrivais te chapitres plus souvent genre toutes les semaines 1/2.
Quitte a ecrire de la merde un peu par rapport a d'abitude essaye d'en enchainer comme ca, c'est bon pour toi d'apprendre a ecrire vite si tu veux etre journaliste!
Bah c'est une question d'inspiration mais aussi d'envie. Certains gars écrivent comme des malades et ça leur fait picoter les doigts. Bah moi pas. La suite est en préparation, mais comme j'ai souvent dit, je finirai cette fic coûte que coûte, mais faudra être patient! ^^
Je tente au moins de faire un chapitre par mois. Mais je pense accélérer le mouvement prochainement. La rentrée m'a passablement épuisé je dois dire.
t'as tous dis faut etre patient c ca qu'est dur!
Bonjour! Désolé pour le petit retard, j'étais assez occupé hier. Bon anniversaire! ^^ Et je t'ai réservé une petite surprise!^^
XXII : Mise à l’épreuve ?
La voiture roulait vite, et semblait fendre l’air au fur et à mesure qu’elle s’éloignait de la ville, et partait s’incruster au milieu des banlieues sales et remplies du charme vide d’habitations d’une désolation intense. Hitman n’avait dit mot et, dès le début du voyage, avait sorti son Baller, tiré le chien et l’avait posé sur ses genoux, observant le paysage défilant lentement devant lui. Son doigt était resté au-dessus de la détente durant tout le voyage, mais ses sens étaient en alerte. Son esprit avait peine à comprendre : l’Agence l’avait rejeté, et maintenant, du tout au tout, semblait vouloir le reprendre sans même des explications. Il avait tendu une perche énorme à Mei Ling en lui demandant le contrat Beldingford. Elle avait simplement répondu que ce n’était pas à elle de juger. Si elle faisait réellement partie de l’Agence, elle aurait simplement dit non, et lui aurait ordonné de la suivre. Peut-être lui aurait-il collé une balle, alors. Mais ce n’était qu’une intermédiaire, et semblait inexpérimenté. Ou bien une pro qui l’emmenait dans la gueule du loup. Dans tous les cas, les quelques balles que contenant son arme ne seraient peut-être pas suffisante dans le danger vers lequel ils roulaient.
La voiture, lorsqu’elle atteignit le fin fond des décombres de ce qui devait être autrefois une zone industrielle prospère, s’arrêta près d’une usine, qui semblait avoir été tour à tour lieu de pillage, de squat, de vandalisme et d’un semblant de repère maffieux, ralentit enfin. Les pneus crissèrent dans ce qui restait de gravier, et Hitman resta un instant silencieux, et jeta à nouveau un regard sur les terrains vagues et les entrepôts qui l’entouraient, ainsi que sur le ciel de fin d’après-midi. Le nombre de cachettes était impressionnant. Bon point pour lui.
-Depuis combien de temps avez-vous préparé ce coup ? demanda 47.
Il jeta un coup d’œil plus approfondi sur quelques-unes de ces cachettes, plongées dans l’ombre, où il ne voyait absolument rien. Mauvais point pour lui.
-Quelques jours, tout au plus, répondit Ling d’une voix posée.
-Pourquoi ?
-Je vous l’ai dit, l’Agence s’est rendu compte de…
-On sort.
-Pardon ?
-On sort, maintenant. Si on a prévu de retrouver quelqu’un, on le fait ailleurs que dans un véhicule en stationnement.
Ling semblait réellement surprise.
-Mais les ordres étaient…
L’assassin mit le doigt sur la détente, puis dégagea son regard de la vitre et fixa la culasse brillante de l’arme.
-Vos ordres sont désormais les miens. On sort, ou alors je sors tout seul après avoir pris le soin de… nettoyer la zone.
Un petit silence, osé, de la part de Mei Ling.
-Bien, on sort, dit-elle avec amertume.
Il attendit qu’elle fasse le geste pour ouvrir la porte puis, son regard passant successivement d’elle au décor extérieur, il sortit rapidement, claque la porte et fit le tour de la voiture par le capot. Ling venait de sortir ; 47 claqua sa portière, dont le son résonna un moment autour d’eux, puis la prit par le bras, son pistolet pointé vers sa nuque, bien en évidence.
-Si vous faites un geste qui pourrait me faire penser que vous avez un complice ici qui pourrait me causer du tort, je n’hésite pas un instant, dit Hitman de son habituel ton glacial.
-Vous croyez encore que c’est un piège ?
Si Hitman avait été un tueur à gages plus ou moins normal avec une once d’ego qui caractérise leur humanité, il aurait probablement éclaté d’un rire sonore qui aurait envoyé une vague de postillons sur le visage de Ling, ou lui aurait rétorqué d’un air mauvais, plus pro peut-être, qu’il ne faisait jamais les mêmes erreurs. Mais ce n’était pas un tueur à gage normal, et de cela résultat sa réponse : un silence pesant, aussi appuyé que le canon du Baller sur la tête de son otage.
-On entre dans cet entrepôt, dit-il à voix basse, malgré le fait qu’il l’y emmenait de force depuis une dizaine de mètres. Si vous avez quoi que ce soit à me dire à propos d’éventuels mercenaires pouvant s’y trouver, je vous conseille de le faire tant que vos organes cérébraux se trouvent encore dans votre boîte crânienne.
-Non… un membre de l’Agence, sous la direction de Diana, doit nous retrouver sur ce terrain vague.
-Accompagné d’hommes de main ?
-Probablement. Je n’ai pas d’autres informations. Je ne suis qu’une intermédiaire d’intermédiaire.
Hitman n’aimait pas beaucoup ça : n’importe qui aurait pu se faire passer pour un membre de l’Agence, et quelques papiers portant un sceau étaient une preuve bien maigre pour lui. Si c’était Beldingford qui le mettait à l’épreuve, le fait qu’il ait clairement énoncé vouloir sa tête le mettrait dans une position critique. De toute manière, si Beldingford doutait de lui au point de lui faire passer un test de ce genre, c’était qu’il n’était pas digne des services de 47. Dans tous les cas, s’il était bien derrière tout ça, il en subirait les conséquences. Les dés avaient été jetés…
La porte de l’entrepôt était fermée. 47 ordonna silencieusement à Ling de rester entre lui et le reste de la zone industrielle, et observa la vieille porte rouillée. Légèrement brûlée dans un coin, légèrement tagguée dans un autre, la serrure légèrement tordue. Et quelque peu ouverte. Y engageant d’abord son pistolet, il poussa ensuite lentement le lourd battant, qui s’ouvrit en un grincement désagréable à un point frustrant, laissant s’engager sur le sol gris et humide une longue traînée lumineuse découpée par la silhouette de l’assassin, et où se dessinaient dans l’ombre de Code 47 les contours de quelques machines industrielles devenues inutiles. Il mit un pas à l’intérieur, et observa immédiatement tous les coins de la pièce, dégagés, où trônaient parfois les vestiges des lieux d’habitations de quelques sans-abris ou de fêtards. Il y posa son deuxième pied, s’étonna de l’écho que son pas produisit, et jeta un coup d’œil attardé aux poutrelles d’acier, la plupart plongées dans l’ombre, qui s’étendaient au plafond. Tenant son pistolet d’une main, il sortit une petite lampe torche d’une des poches internes de son Armani, qu’il accrocha à son Baller, derrière la gâchette. Il inspecta alors lentement tous les recoins du hangar, et n’y trouva que quelques rats puants et autres pigeons que même la ville et la banlieue ne semblaient pas vouloir accueillir.
-On entre, dit 47 en baissant son arme vers le sol, dont la lumière de la lampe éclaira de manière plus intensive le sol que les rayons solaires, projetant des reflets sur les traînées d’eau qui emplissaient tout le hangar.
Mei Ling, fébrile, le suivit, et il referma rapidement les portes après avoir jeté un nouveau coup d’œil vers l’extérieur. Sortant un petit filin de sa poche, il l’attacha entre deux poteau pour bloquer le passage à quiconque voudrait entrer. Pendant un dixième de seconde peut-être serait-il efficace. Mais avec son .45 entre les doigts, un dixième de seconde suffisait à 47 pour presser la détente.
-Vous vous trimballez toujours avec deux tonnes d’équipement dans votre costar ? demanda Ling en s’époussetant.
-Le strict minimum, dit Hitman en revenant vers elle. Maintenant, parlez-moi un peu de la personne qui vous a contactée.
-Je vous ai déjà dit que je n’avais pas l’autori…
Cric.
Le chien du Baller de 47 venait d’être tiré en arrière. 47 lui jeta alors un regard détaché, son arme toujours pointée vers le bas, où la partie de son visage submergée par l’ombre lui donnait un aspect de grande faucheuse. Il ne prit même pas la peine d’hausser un sourcil ou d’émettre le moindre son, et mit son index légèrement sur la détente.
-D’accord, dit Ling après un autre silence courageux. Ce devait être un gars d’une vingtaine d’années, du moins entre la vingtaine et la trentaine. Il avait des cheveux châtains, des lunettes carrées, assez beau gosse, encore. Sa carrure était plutôt moyenne mais il semblait très sûr de lui, et précis sur tous les points qu’il m’avait demandés. En fait, c’est lui qui m’a contacté. Il savait que j’avais déjà travaillé avec vous, et voulait que je serve d’intermédiaire pour que vous puissiez avoir une conversation. Il m’a montré des documents de l’Agence, officiels d’après ce que j’en ai vu, et m’a dit sous serment de ne rien dire, même sous la contrainte. Bref, un petit utopiste… surtout quand il savait que c’était face à vous. Mais il avait ce professionnalisme digne des grandes agences.
Hitman resta silencieux. Si on devait commencer à énumérer le nombre de grandes agences sur terre, il pouvait commencer dès maintenant, et attendre que la faim l’achève d’ici à ce qu’il ait terminé.
-Quand a-t-il dit que vous deviez vous retrouver ?
-Neuf heures.
47 jeta un bref coup d’œil à sa montre : il restait quatorze minutes.
-Bien, dit-il après un silence. Quelles autres instructions vous a-t-il donné ?
-Empocher ma thune et filer dès que vous seriez en contact.
Parfait. Vraiment parfait, se dit 47 en remettant son doigt hors de la détente.
-Vous ont-ils dit pour quelles raisons l’Agence désire reprendre contact avec moi ?
-Non, rien à ce sujet. Ils ont juste précisé que vous auriez déjà reçu leur lettre… je ne sais pas même pas de quoi ils parlent !
-Bien. On ne bouge plus durant quatorze minutes. Je devrai probablement me servir de vous comme otage…
-À votre guise, lui répondit Ling en soupirant.
Plus aucune parole ne fut alors proférée durant quatorze minutes, et le maître silence ne fut brisé que par les pas de 47, qui se déplaçait de fenêtre en fenêtre, la plupart brisées, pour jeter d’innombrables coups d’œil à l’extérieur, observant cachettes, zones d’ombres et autres lieux d’embuscades possibles. Au-dehors, le soleil se mouvait lentement en direction de l’horizon, et le ciel avait pris une légère teinte orange, qui inondait une partie du hangar par une fenêtre, dont les ombres de l’architecture zébraient le sol.
Et puis, des bruits de moteur, à l’extérieur…
La suite au prochain post!
Petite note... je l'ai déjà probablement énoncée, mais j'aimerais redire que souvent, je poste directement la première version ici sur le topic, et corrige au fur et à mesure de ma lecture!^^ Le forum ne contenant pas de fonction Edit (une bonne chose d'après moi... enfin bon rien à voir^^), je ne peux donc pas corriger.
En gros, si vous trouvez des tournures lourdes, des pronoms mal choisis ou des expressions qui collent mal, la plupart des erreurs sont corrigées quand l'épisode est posté sur le blog. Désolé de servir de... cobayes!^^
Et je reste ouvert à toute critique!
@+!^^
J'ai eu 47 dans la nuque !!!
trop de rebondissement tue le rebondissement je dirait. Je suis un fan de t texte , je les imprime a chaque fois pour les lire au calme. Mais la je dois dire qu'une tel serie de rebondissement commence a me lassé de ton histoire , on en voit plus la fin , c'est dommage.
Ensuite j'ai une chose a te reproché , c ke tu met bien trop 47 sur le meme pied que t autre personnage. Je m'explique dans ton histoire , la seule chose qui caracterise 47 c'est son sang froid , un peu dommage. N'oublie pas qu'il est le clone parfai issu d'une serie de clone , et qu'il a hérité des meilleur atout des 4 sujet dont une intelligence sur developpé. Et la il se fai avoir comme un con a chaque fois , dommage.
Sinon ne desespere pas et ne le prend pas mal , car ton histoire reste pour moi la meilleur fiction hitman que j'ai lut. Continu ainsi et bonne chance a toi. Merci pour la lecture
Merci, c'est toujours agréable de voir un commentaire constructif.
Si j'ai créé un 47 qui se fait souvent avoir, c'est aussi justement pour montrer qu'il était touchable comme tout autre homme. C'est également ce qu'il y a eu dans le film, d'ailleurs... Impossible, à mon avis, de faire une fiction sur Hitman qui soit un tant soit peu passionnante sans lui donner des sentiments un peu plus humains. Sinon ce serait aussi assez chiant à écrire...^^ Mais si tu n'aimes pas trop les gros coups de théâtre, désolé pour toi mais ça va en regorger dans le reste de la fiction! XD
Le seul truc que je peux dire, c'est que entre Beldingford, Lenny James, l'Agence et 47, ça va jouer serré!^^ Et je ne parle même pas de l'affaire Stepanov, qui n'a pas encore livré ses secrets. ^^
merci mec je vais la lire
j'avais tout de suite capté lenny james ! C'était forcément lui ^^... Sinon tu m'explique pourquoi il fallait que je meure