Dragon Quest IV sur PlayStation

Le premier a été développé par la société Heartbeat en 2001 pour la PlayStation, quelques mois après la sortie du septième épisode, et s'appuie sans surprise sur le même moteur 3D.

Autant dire qu'un gouffre sépare la version originale Famicom de son remake PSOne sur le plan visuel.

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Mais le contenu de l'aventure lui-même a également subi quelques modifications, avec l'ajout d'un prologue inédit focalisé sur le héros et surtout d'un sixième chapitre mettant en scène le démon Psaro. Autrement dit, après avoir battu le boss de fin, l'histoire se prolonge dans un sixième chapitre renfermant un donjon optionnel, un boss surpuissant et un personnage bonus à enrôler.

Mais la quête la plus longue reste celle qui consiste à développer une ville champignon et à la peupler en invitant un maximum de NPC à s'y installer. L'intérêt de cette quête est que vous pourrez obtenir une belle variété de cités différentes correspondant au type de NPC que vous aurez invités.

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Bien qu'annoncé un temps aux Etats-Unis, le remake PlayStation de Dragon Quest IV n'est finalement sorti qu'au Japon. Heureusement pour nous, Enix s'est donné, quelques années plus tard, les moyens de le faire connaître au reste du monde par l'intermédiaire de la version DS.

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Dragon Quest IV sur DS

Développé par ArtePiazza sur DS, Dragon Quest : L'épopée des Elus arrive donc fin 2007 au Japon et sera localisé dans notre pays l'année suivante.

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Basée en grande partie sur le remake PSOne de Dragon Quest IV, la version DS a le mérite d'oser mettre à profit les deux écrans de la console pour afficher des environnements 3D de grande classe et une caméra qui pivote à 360°, malgré quelques ralentissements. En dehors de certains donjons où l'angle de vue reste fixe, on peut ainsi profiter de la souplesse de la caméra pour s'en mettre plein les yeux et découvrir, au détour d'un grand bâtiment, l'un des multiples trésors malicieusement cachés derrière un pan de mur. La 3D n'est donc pas là que pour renforcer l'attrait esthétique du soft, elle est mise entièrement au service de l'aventure.

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L'usage du stylet est proscrit mais la réalisation totalement réactualisée hisse sans problème le titre parmi les productions DS les plus réussies sur le plan visuel. Contrairement à la plupart des RPG sortis sur DS, Dragon Quest IV ose étaler son univers sur les deux écrans de la machine, dévoilant des paysages qui s'étendent à perte de vue, tout en affichant en permanence les données des personnages durant les combats ainsi que le détail des cartes lors des phases d'exploration.

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Qui plus est, le soft bénéficie d'une traduction intégrale en français lors de sa sortie en Europe et presque toutes les spécificités de la mouture PSOne ont été conservées. Concernant la ville des immigrants, cette version DS permet, grâce à la communication sans fil, d'échanger ses citoyens avec ceux d'autres joueurs. Bref, que du bon pour cette version portable !