La licence est réputée pour son humour noir et pour la grande liberté d'action laissée au joueur. Dès le premier opus, vous pouvez déjà explorer librement un vaste monde et surtout choisir différentes méthodes pour mener à bien vos quêtes. On ne peut toutefois pas encore parler de monde ouvert car l'univers n'est pas d'un seul tenant : on passe nécessairement par la carte pour voyager d'un lieu à l'autre. C'est finalement Fallout 3 qui se lance le premier dans l'open world et la recette est ensuite affinée par les équipes d'Obsidian pour Fallout New Vegas.

Direction les déserts du Nevada où des factions rivales se battent pour le contrôle de l'eau et où les casinos n'ont jamais vraiment cessé de plumer les pigeons de passage. Certes, le jeu est loin d'être une claque graphique, mais on retient surtout sa narration maîtrisée, la richesse de son univers et son humour particulièrement acide. Prenez le temps de passer outre la réalisation datée de Fallout New Vegas, vous découvrirez alors un jeu exceptionnel qui flattera votre fibre rôliste.

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