Beaucoup trop de secrets...
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Les pierres à potins
Il fallait en effet déjà découvrir comment parler aux pierres à potins pour comprendre le sens de leurs paroles qui pouvaient se révéler aussi précieuses qu'inutiles car parfois complètement gratuites. Il faut dire aussi que certains secrets ont été inclus dans le jeu juste pour le fun, là où d'autres sont indispensables pour mener à bien toutes les quêtes annexes de l'aventure.
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Clins d'oeil et références
Pour le nostalgique inconditionnel des premiers volets de la série, le fait de déceler la présence de murs qui sonnent creux, de rochers étrangement alignés ou de tombes à pousser rappelle inévitablement le premier Zelda sur NES. Le fait de devoir trouver soi-même son épée au tout début du jeu en est un clin d'oeil évident, la plupart des ennemis étant également directement issus de cet épisode (Moblins, Dodongos, Octoroks, Like-Like qui avalent les boucliers, Clapoirs qui ramènent à l'entrée d'un donjon...). La collecte des cœurs supplémentaires et l'exploration des donjons fonctionnant sur le schéma carte / boussole / objet restera par ailleurs une constante tout au long de la série.
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De Zelda II : The Adventure of Link, Ocarina of Time retient surtout les noms des villages qui deviennent ceux de certains personnages du jeu, comme Mido, Rauru, Saria, Ruto, Nabooru ou encore Darunia. C'est aussi dans cet opus que l'on affrontait pour la première fois Dark Link, le boss le plus imprévisible de la série. Bien des choses sont également inspirées de Zelda III : A Link to the Past, ne serait-ce que la fameuse attaque des cocottes qui fondent droit sur le joueur qui aurait eu le malheur de les agresser !
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Des mystères en pagaille
Loin de nous l'idée de faire le tour des mystères d'Ocarina of Time, un dossier entier n'y suffirait pas. Malgré tout, certaines astuces parmi les mieux cachées et les plus étonnantes méritent d'être évoquées ici. Vous souvenez-vous, par exemple, de cette peste Mojo cachée dans un vieux trou à l'entrée du lac Hylia qui vous propose d'acheter « un cœur » contre 10 rubis ? Nombreux sont les joueurs à avoir gentiment refusé cette offre alors qu'il s'agissait en réalité d'un fragment de cœur et non pas d'un simple cœur de vie ! Dans la peau de Link enfant, il est tout à fait possible de faire apparaître des fées en jouant le chant des tempêtes sur une pousse de haricot. Encore plus tordu, saviez-vous que la Berceuse de Zelda pouvait reconstituer les pancartes cassées ? Inutile et donc totalement indispensable... Fin du fin, oserez-vous renvoyer les projectiles de Ganon Spectral avec un simple flacon ? Une astuce qui rappelle immanquablement le fait de pouvoir renvoyer les attaques d'Aghanim avec le filet à papillons dans A Link to the Past !
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Les mélodies jouées à l'ocarina renferment à elles seules bien des secrets, le Chant de l'Epouvantail et le Chant des Tempêtes en tête. Mais qui devinerait que le Chant d'Epona permet de nouer le dialogue avec une vache pour ensuite la traire afin de collecter du lait dans un flacon ? Quant à ces mystérieux insectes qui s'échappent de certaines herbes, aviez-vous pensé à les mettre en bouteille pour les relâcher sur des sols meubles afin de faire sortir parfois des Skulltulas d'or ? Manifestement, il faut avoir l'esprit ouvert pour découvrir par soi-même tous les secrets d'Ocarina of Time. Pas étonnant que la plupart des joueurs aient mis des années avant de connaître la totalité des mystères inclus dans le jeu.
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