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Page Dossier Le DLC prohibitif mais pas trop

C'est de loin le plus facile à vendre puisqu'il applique à la lettre la loi de la micro-transaction, tout en parvenant à rester prohibitif. Le tout petit contenu, celui qui ne change rien de rien à rien du tout. On parlait juste au-dessus des costumes de Street Fighter IV, plus récemment on peut s'interroger sur l'annonce des skins multijoueurs d'Uncharted 3, les challenges maps à l'unité de Batman Arkham City ou des packs de cartes de Battlefield 3 qui sont des remakes d'anciennes maps de la série, autant de micro-contenus proposés à des prix d'appel attirant tournant autour de 2 à 4 euros. Or, s'ils ont une valeur marchande, on ne peut pas dire qu'ils aient toujours une grosse valeur ludique ajoutée. A l'autre bout du spectre, on trouve les packs affichant clairement un tarif "modeste" de 10 à 15 euros mais pour des contenus qui laissent parfois dubitatifs sur l'investissement.

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Sommaire Dossier
  • L'Atari VCS 2600 et GameLine
  • Le PlayCable de l'Intellivsion
  • A Sega de tenter sa chance
  • Pendant ce temps, sur PC
  • La Dreamcast : le fichier additionnel arrive sur consoles
  • Et Microsoft lança le DLC payant
  • Les premiers coups de gueule
  • Money, money, money
  • Fidéliser le joueur
  • Assouplir ses stratégies commerciales
  • L'extension "day one"
  • L'extension bouche-trou
  • L'extension qui n'en n'est pas une
  • Le DLC prohibitif mais pas trop
  • L'add-on existe toujours
  • Conclusion
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