Les jeux suivants n'ont rien à voir avec le comic-book du même nom et n'ont d'ailleurs rien de fantastique en tant que tel. Il s'agit juste des 4 derniers jeux sortis au Japon, et aussi des 4 jeux les plus rares et les plus chers de la console. Aucune version américaine de ces titres n'a vu le jour.
Space Invaders Virtual Collection
Encore une nouvelle version du jeu d'arcade légendaire de Taito. Dans cette mouture Virtual Boy, vous avez le choix entre trois modes : Original 2D, la version arcade d'origine ; Mode 3D, le même jeu en perspective ; et Challenge, qui consiste à faire le meilleur score ou le meilleur temps. Signalons que le jeu n'inclut aucune musique, à croire que les développeurs ont oublié de la mettre. Pour celui-là, comptez au minimum 200 euros.
Virtual Bowling
Le plus rare des 4 (minimum 550 euros) est un jeu de bowling répondant au doux nom de Virtual Bowling. Original non ? Après avoir sélectionné votre mode de jeu parmi Standard, Tournoi et Entraînement, vous devez régler quelques paramètres tels que la masse de votre boule ou la musique. Puis vient le moment de jouer, dans un bowling assez classieux et très soigné graphiquement. Allons donc faire quelques strikes !
SD Gundam
L'unique jeu de tactique de la console. Sélectionnez et déplacez vos unités sur la carte du jeu pour vaincre vos adversaires, classique. Le jeu offre la possibilité de sauvegarder à tout moment en appuyant sur start, ce qui est fort pratique. Toutefois, vous devrez être prêt à débourser un minimum de 400 euros pour vous offrir ce jeu.
Virtual Lab
Une daube bâclée et programmée les mains dans le dos, voilà comment on pourrait résumer Virtual Lab (il reste quand même plus drôle que Waterworld). Outre le fait d'avoir écrit "Nintenndo" sur la boîte du jeu et "Ninntenndo" sur la cartouche, ses créateurs ont également inventé le seul jeu qui fournit des mots de passe qu'on ne peut saisir nulle part. À part ça, il s'agit d'un puzzle-game où l'on doit assembler des espèces de vers pour en faire des conduits qui se referment sur eux-mêmes. À 400 euros le phénomène, on préfèrera garder ses sous pour autre chose.