Comme toutes les bonnes franchises qui se respectent, Devil May Cry n'échappe pas au merchandising. Ceci dit, en comparaison d'autres jeux, DMC n'a pas trop à se plaindre. Nous n'aurons donc pas droit au dentifrice "Dante blanche", au pain au lait "Trish, oh mon Trish" (celui-ci est en compétition pour le jeu de mots le plus mauvais de l'année) et que sais-je encore.
Non, dans le cas présent, nous y trouvons une série de mangas (disponibles en anglais), un album de BD de 72 pages (sorti chez Albin Michel pour ceux que ça intéresse), plusieurs figurines en résine, quelques jouets, les OSTs des titres ou encore des sound books. Kezako ? Il s'agit simplement d'artbooks vendus avec un DVD dans lequel nous trouvons la bande originale du jeu. Chaque morceau a droit à un petit clip (la plupart du temps, un montage de diverses chorégraphies effectuées par les personnages) et si on ne peut les trouver qu'en import, je les conseille vivement aux amateurs, ces ouvrages étant classieux à plus d'un titre. A noter qu'en plus de menus esthétiques, vous aurez également droit aux bonus tracks ainsi qu'aux trailers propres à chaque épisode.