Quand un éditeur annonce qu'il s'offre une licence du gabarit d'un Parrain, Scarface ou de Taxi Driver, on a qu'une crainte : qu'il bâcle le travail. Concernant Taxi Driver, les choses sont plutôt mal parties. Comme prévu, nous voilà face à un jeu d'action pimentée de séquences de conduites maladroites. Les commandes manquent de précision, le tir est confus, la caméra un peu fofolle et la réalisation dépassée. De plus, on se demande souvent ce qui se passe à l'écran lorsque simplement en entrant dans une boîte de nuit, désarmé, tous les danseurs se mettent à hurler et les porte-flingues à vous tirer dessus. Ben quoi, ma gueule vous revient pas ? Parce que moi ce que je peux dire, c'est que celle de ce Taxi Driver, elle ne me plaît pas du tout.