Que la corne du taureau t'emporte !
Gardien de la deuxième maison du sanctuaire, le chevalier d'or du taureau impressionne déjà par sa carrure colossale et imposante. Lorsque les chevaliers de bronze pénètrent dans sa demeure, ils ne ressentent aucune cosmo-énergie mais sont pourtant violemment repoussés comme s'ils avaient foncé tête baissée dans un mur. Bien qu'il n'adopte aucune posture défensive, il semble capable de repousser n'importe quelle attaque. En contrepartie, il ne dispose, ou en tout cas ne dévoile qu'une seule attaque : la Corne du Taureau (Great Horn), qui broie littéralement le corps de ses adversaires. Pour en venir à bout, Seiya réussit à entrevoir le septième sens et oblige Aldébaran à adopter une position où il devient vulnérable. Car la technique du taureau est semblable à celle du "kempo" : c'est durant le "iai", l'instant où l'ennemi retire son épée du fourreau qu'il est vulnérable car à ce moment-là on dit que son sabre est mort. Seiya parvient alors à couper l'une des deux cornes d'or de l'armure du taureau. Mais tout comme Mû, Aldébaran a des doutes sur la nature du Grand Pope et croit en la cause que défend Seiya et ses compagnons. C'est la raison pour laquelle il décide de les laisser passer à présent qu'ils ont prouvé leur valeur.