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Page Dossier Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens
Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens

Note de la rédaction

16
Spécifications
CompatibilitéXbox One, Windows (XInput filaire)
Type de connexionSans fil (protocole Xbox One) , Filaire en USB
Boutons d’action4 + 4 + 4
Sticks analogiques2
Croix directionnelleOui
VibrationsOui
Détection de mouvementsNon
Batterie2 piles type AA, batterie en option
Poids320g

A sa sortie en 2015, la manette sans fil Elite pour Xbox One avait fait grand bruit, Microsoft ayant avoué avoir été surpris des niveaux de vente, avec pour conséquence des ruptures de stock régulières. Il faut dire que le public avait embrassé ce modèle avec ferveur, louant ses qualités ergonomiques, ses possibilités en termes de personnalisation comme les nouveautés qu’il apportait avec lui. Sauf qu’aujourd’hui, après la mise à niveau du contrôleur standard pour Xbox One, reste-t-il encore quelques avantages à dépenser autant d’argent? Rien n’est moins sûr, même s'il reste de sacrés arguments en faveur de ce modèle.

Avant toute chose, faisons quelques comptes ensemble. A l’heure d’écrire ces lignes, la Elite se trouve aux alentours de 140€, ce qui en fait déjà un des modèles les plus chers de ce comparatif. A ce prix, pas plus de batterie que dans la boîte de la manette Xbox One S, ce qui implique une dépense de 23€ pour qui voudrait éviter de s’acheter des piles régulièrement, ou simplement de tomber en rade au milieu du weekend. Les joueurs PC auront aussi le plaisir d’apprendre que la connexion Bluetooth n’est pas de mise et que pour profiter d’une connexion sans fil sur leur machine, il faudra aussi faire l’acquisition d’un dongle USB… pour 23€ de plus. Total: près de 185€ pour le service complet que cette manette peut (et devrait) proposer. C’est 2,5 fois le prix d’une manette Xbox One S, batterie comprise et bluetooth inclus. Et faire ce calcul sans l’ajout des options n’est pas moins parlant. Aussi, vu la différence de prix, on s’attend forcément à un gap entre les deux modèles. Un gap bien réel mais qui ne s’adresse finalement qu’à une tranche restreinte de joueurs prêts à vraiment mettre la main au portefeuille.

Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens
Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens

Déjà, à l’ouverture de la boîte, on apprécie la découverte d’une manette à la finition irréprochable : des plastiques mat et doux au toucher, des parties métalliques (ou d’autres en plastique avec une peinture le métal), un grip épais sur l’intérieur des poignées, et des gâchettes additionnelles à sa croix ronde et concave. Plus encore que la manette Xbox One S, cette Elite est racée, superbe, quand bien même quelques détails trahissent sa filiation à la génération précédente de contrôleurs de la gamme, comme ce marquage fort séparant la zone arrière. En même temps, la présence d’une prise casque à côté du port d’extension nous rapproche de la génération actuelle. Et c’est bien ce que l’on constate au final : la Elite est un entre deux. On voit en elle une partie des modifications apportées à la S, mais pas toutes, de même qu’elle sait garder quelques exclusivités dues à son rang.

Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens

En effet, Microsoft a aussi su bichonner sa clientèle élitiste avec un écrin exclusif. Déjà, la Elite est livrée avec une coque rigide, très protectrice, dans laquelle l’intégralité des accessoires se loge sans qu’on ait à tout compresser. Surtout que les-dits accessoires ne manquent pas : Un câble en micro-USB de plus de 2m50 pour la charge et les données, tressé et bien robuste, 4 palettes amovibles à placer sous la coque, 2 jeux supplémentaires de sticks, une croix directionnelle classique, et une paire de piles. Et si, comme sa petite soeur, la Elite ne propose pas de batterie par défaut, elle se montre néanmoins compatible avec les kits Play and Charge pour manettes Xbox One et offre une autonomie de presque 40 heures avec la solution jetable, 30 heures avec la version rechargeable.

Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens
Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens

Et tout ce joli monde est là pour nous rappeler que la Elite est avant tout une manette personnalisable à souhait, capable d’offrir une ergonomie égale au modèle S, avec la possibilité ou non, d’y ajouter sa petite touche personnelle. Ainsi, il est possible de changer chacun des deux sticks pour y mettre le modèle de son choix, avec des versions à longue tige augmentant mécaniquement la course du pouce pour une précision accrue, au détriment peut être de la nervosité, mais aussi avec un choix de la texture et de la forme du chapeau : concave et rugueux ou convexe et lisse. Question de goût, de style de jeu aussi, bien que les modèles originaux restent, à nos yeux, les plus polyvalents. Dans tous les cas, on retrouve des sensations propres aux manettes Xbox One, c’est à dire tout bonnement excellentes, avec un contrôle et un grip à toute épreuve.

Test Xbox One Elite : Le haut de gamme qui avait du sens
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Le choix est aussi de mise avec la croix directionnelle qui peut donc être soit un modèle très classique, identique à celui de la manette S, soit en coupole. Le changement est là moins radical qu’avec les sticks mais très intéressant dans les deux cas puisque la forme de la pièce implique un placement du pouce assez différent, à plat ou plus en pointe. Ainsi, on apprécie la coupole pour les jeux qui la sollicitent en action, entre Shoot’Em Up et jeux de combat, quand la croix classique se montre plus agréable pour la sélection et les menus. Malheureusement, le ressenti qu’offre le mécanisme n’est pas ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle : des directions un peu trop marquées, mais aussi un peu floues parfois, gênent la performance. On peine régulièrement à réaliser ses enchaînements correctement dès qu’il s’agit de changer rapidement de direction en opposé. Un petit défaut qui aurait été partiellement corrigé si la croix n’avait pas été dans l’axe de la manette, mais dans celle du pouce, légèrement orientée vers la droite, et si l’action nécessaire à ses déplacements avait été un peu moins forte. Reste que nous sommes bien face à un modèle qui se montre dans la moyenne haute, avec une bonne polyvalence et un contrôle assez agréable dans la plupart des jeux.

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Toujours côté personnalisation hardware, la Elite propose un réducteur de course pour chacune de ses gâchettes. Deux taquets qui s’enclenchent simplement comme on activerait un interrupteur et qui bloquent l’appui à mi parcours. Idéale pour les jeux de tir, bien qu’inférieure à la réactivité proposée par la Razer Worlverine Tournament Edition, cette fonction améliore clairement la cadence d’action avec une pression réduite et un retour en position plus court. Elle nécessite néanmoins un réglage logiciel supplémentaire pour être pleinement effective. En tout cas, on apprécie toujours la présence de vibrations indépendantes pour ces gâchettes, un vrai plaisir pour l’immersion ou le contrôle. Enfin, la manette peut se doter de 4 palettes sur le dessous, individuellement amovibles. Dotées d’un contact direct, non-analogique, elles permettent principalement de remplacer les touches A,B,X,Y ou la croix directionnelle, évitant d’avoir à enlever le pouce d’un stick pour utiliser quelque fonction. On les utilisera donc principalement en FPS, TPS et autres jeux offrant une visée au pouce, mais aussi en jeux de course pour le passage des vitesses. Seul regret, il n’est pour le moment pas possible de leur assigner des combos via l’interface de configuration, ni même de leur donner des fonctions qui ne sont pas déjà sur la manette.

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C’est avec l’application Accessoires Xbox, sur Xbox One comme sous Windows 10, que l’on accède à des paramètres supplémentaires pour la manette. Réattribution intégrale des touches, niveau des vibrations, profil de réaction des sticks, zones mortes des gâchettes et luminosité du logo sont très facilement modifiables grâce à une interface limpide et efficace. On ne profite néanmoins pas d’un niveau de personnalisation aussi poussé qu’avec la Nacon Revolution 2 et la gestion des profils, limitée à deux slots dans la mémoire de la manette, n’offre pas de véritable effet communautaire (les profils disponibles sont de simples visuels des modifications proposées par les développeurs ou la communauté). Les axes X et Y de chaque stick sont liés à la même courbe, les palettes restent limitées au remplacement de touches classiques (il est impossible d’y assigner une fonction supplémentaire ou un combo par exemple) et la courbe des gâchettes ne s’adapte pas à la présence ou non du taquet. Reste que cette manette Elite est bien la seule à ce jour à disposer d’un tel niveau de réglage au sein même de sa console, marquant la différence avec la PS4 et ses manettes modifiables uniquement sur PC. Seule la Razer Wolverine permet une fonction manquant à la Elite : un contrôle de la sensibilité des sticks en temps réel.

Cette manette est donc un excellent contrôleur pour qui voudrait une expérience premium, personnalisable, offrant de véritables avantages en jeu. Le passage du modèle officiel classique à la Elite se fait d’ailleurs en douceur tant les similitudes de gabarit et de ressenti sont nombreuses. Néanmoins, avec la sortie du modèle S dans la gamme de Microsoft, les bénéfices de cette Elite sont moins nombreux qu’auparavant et peinent à justifier un écart de prix plus que conséquent. Pire, l’absence de Bluetooth oblige les joueurs PC à passer à la caisse pour l’achat d’un dongle qui aurait franchement pu être inclus. Ces derniers pourront néanmoins se rabattre sur un mode filaire efficace et justement exclusif à ce modèle.

Points forts

  • Une manette vraiment polyvalente
  • Des sticks tellement agréables à manier
  • Les possibilités de personnalisation assez impressionnantes
  • Lock et vibrations pour les gâchettes
  • Les palettes amovibles bien pratiques
  • Un confort global indéniable
  • Une finition exceptionnelle à tous points de vue
  • Le port micro/casque intégré
  • Le mode filaire qui manque à la S
  • La coque de transport, pratique est protectrice
  • Un logiciel simple, disponible sur One et Windows 10

Points faibles

  • Le tarif vraiment élevé, surtout avec ses options plutôt nécessaires
  • Pas de Bluetooth pour jouer en sans-fil sur PC
  • Batterie non incluse
  • Les sticks additionnels, pas tous très utiles
  • Peu adaptée aux petites mains
  • Pas d’adaptation logicielle quand le lock des gâchettes est activé
  • Le placement de la croix directionnelle et ses contacteurs trop marqués

Ne vous y trompez pas : cette manette Xbox One mérite largement sa dénomination d'Elite. Sa polyvalence, la qualité de ses finitions comme les excellentes sensations que renvoient ses différents éléments de contrôle sont là pour en témoigner. Cependant, au vu de la tarification appliquée par Microsoft, des détails demeurent critiquables, comme le choix de mettre en option certaines fonctionnalités (mode sans-fil, batterie). Voilà typiquement le type de périphérique dont on ne regrettera pas l'achat, mais qui objectivement, avait les moyens d'aller chercher facilement un ou deux points supplémentaires sur sa note.

Note de la rédaction

16
Commentaires
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Plisklin Plisklin
MP
Niveau 14
le 02 sept. 2019 à 20:40

😡😡😡

A ce prix, pas plus de batterie que dans la boîte de la manette Xbox One S, ce qui implique une dépense de 23€ pour qui voudrait éviter de s’acheter des piles régulièrement, ou simplement de tomber en rade au milieu du weekend.

Mec un jeux de 4 piles rechargeables sur Amazon ça coûte 5 euro...

Les joueurs PC auront aussi le plaisir d’apprendre que la connexion Bluetooth n’est pas de mise et que pour profiter d’une connexion sans fil sur leur machine, il faudra aussi faire l’acquisition d’un dongle USB… pour 23€ de plus.

Non un dongle 4.0 CSR ça coûte 2€ sur Aliexpress et ça marche super bien sur plus de 10 mètres que ce soit pour les manette Xbox ou PS4 : https://fr.aliexpress.com/item/32862115541.html?spm=a2g0o.detail.1000060.1.107b348cTN3rov&gps-id=pcDetailBottomMoreThisSeller&scm=1007.13339.139616.0&scm_id=1007.13339.139616.0&scm-url=1007.13339.139616.0&pvid=1751e432-f869-4a72-9155-5eb0e33832eb

Je ne sais pas quel pigeon à écrit cet article mais c'est du n'importe quoi :nonnon: de 46€ avec tes conseils foireux de journaliste spé jeux vidéo on passe à 7€ avec les miens, il n'y a pas comme qui dirait un soucis quelque part ?

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