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Test Divinity : Dragon Commander

Divinity : Dragon Commander : La voix des joueurs

Divinity : Dragon Commander
5 250 vues
Profil de Sylhas,  Jeuxvideo.com
Sylhas - Journaliste jeuxvideo.com

Notre premier contact avec Divinity Dragon Commander remonte à la Gamescom 2011. A l'époque, le jeu nous avait marqué notamment par le mélange de genres qu'il propose : jeu de rôle, stratégie au tour par tour, en temps réel et action. Depuis, le jeu a considérablement évolué, en bien et malheureusement aussi en mal, puisque l'une des fonctionnalités les plus attrayantes (le gameplay aérien en trois dimensions) est passée à la trappe. Néanmoins, Larian Studios a œuvré pour livrer une aventure d'une extrême richesse et a relevé le défi haut la main. Explications.

Divinity : Dragon Commander

Depuis l'aube des temps, Rivellon est ravagé par la guerre. Les humains, les elfes, les morts-vivants, les nains, les diablotins et les lézards se livrent une lutte sans merci pour prendre le pouvoir. Trois hommes décident de mettre fin à ces années de souffrance : Sigurd, un seigneur de guerre endurci, Maxos, un puissant mage et l'Architecte, un inventeur excentrique on ne peut plus mystérieux. Grâce aux connaissances de ce dernier et à la sagesse du sorcier, Sigurd instaure son empire en unifiant le peuple du royaume et en devient le souverain. La paix semble revenue jusqu'au jour où Aurora, une femme-dragon d'une beauté sans égal, se présente à la cour. Sigurd et l'Architecte tombent immédiatement amoureux mais c'est finalement l'empereur qui obtient ses faveurs. Fou de jalousie, l'Architecte assassine la belle et quitte le palais sans jamais revenir. Meurtri par le chagrin, Sigurd n'est plus que l'ombre de lui-même et son empire périclite. Les guerres intestines refont surface.

Divinity : Dragon Commander
Maxos joue le rôle de mentor.
Le dernier espoir repose sur vous, lecteur, puisque vous incarnez le dernier fils de Sigurd. Fruit de l'amour entre l'empereur et Aurora, vous avez hérité d'une partie des pouvoirs de votre mère, et pouvez donc vous transformer en dragon. Mais avant de monter sur le trône, il vous faudra faire vos preuves sur la scène politique afin de rallier le peuple à votre cause. Vous devrez également faire étalage de vos talents de stratège et mener vos troupes sur le champ de bataille pour éradiquer vos ennemis. Et pour mettre en scène tout cela, Larian Studios a décidé de créer un jeu à la croisée des genres : prenez un univers fantasy / steampunk cher aux jeux de rôle, ajoutez-y une cuillère de wargame au tour par tour, une dose de STR, saupoudrez le tout d'action et vous obtenez Divinity : Dragon Commander.

Parlons politique

Divinity : Dragon Commander
Voici donc les cinq représentants de faction réunis.
C'est à bord de votre vaisseau, le Raven, que vous devrez prendre toutes les décisions. Vous y croisez divers PNJ avec lesquels vous pouvez interagir pour en apprendre plus sur l'histoire du jeu et la faire évoluer. A l'image de Starcraft 2, le vaisseau est divisé en plusieurs salles. Le pont constitue la pièce centrale du Raven : la carte stratégique (détaillée plus loin dans ce test) y est accessible. C'est au bar que vous vous entretenez avec vos généraux afin de mieux les connaître et de tisser des liens avec eux. Ces derniers excellent dans un ou plusieurs domaines militaires (assaut naval, troupes légères, etc.) et peuvent prendre part au combat à votre place si vous le désirez. La chambre de la reine, comme son nom l'indique, sert de pièce de repos à votre compagne, que vous choisissez parmi les princesses de chaque faction. Bien entendu, épouser la représentante d'une faction (mort-vivant, elfe, etc.) augmente votre réputation auprès de celle-ci, ce qui, à terme, octroie divers bonus (réduction du coût des unités, par exemple).

Divinity : Dragon Commander
Une fois le dragon invoqué, la stratégie laisse place à l'action.
Vous allez passer une grande partie de votre temps dans la salle du trône, puisque c'est dans cette pièce que vous discutez des diverses lois à adopter, généralement soumises par un représentant de faction. Libre à vous de consulter tous les conseillers avant de prendre une décision, mais sachez que votre choix a des conséquences : votre réputation augmente auprès des factions en accord avec vos intentions mais diminue auprès de celles qui désapprouvent. Une prise de position que vous devrez assumer pour le reste de la partie. La salle d'ingénierie permet d'acheter et de renforcer vos unités. Si leur nombre est limité, il faut reconnaître que les possibilités d'amélioration sont très nombreuses. Tout cela a évidemment un coût, symbolisé par des points de recherche. Ceux-ci s'obtiennent à chaque tour, en fonction des territoires et des bâtiments que vous contrôlez, ainsi que des choix politiques que vous avez adoptés. Vous aurez également l'occasion de dépenser ces points dans les appartements royaux, afin d'obtenir de nouvelles capacités pour votre dragon. Pièce maîtresse de votre armée, ce dernier fait usage de ses pouvoirs pour anéantir ses ennemis à coups de boule de feu, renforce vos soldats grâce à des buffs de dégâts ou d'armure, ou encore soigne vos unités via des auras défensives. Là encore, les possibilités sont multiples, ce qui vous permet de créer un dragon collant parfaitement à votre style de jeu.

Faites preuve d'un peu de génie (militaire)

Divinity : Dragon Commander
Envahissez un maximum de territoires !
Un empereur excelle en politique, mais est aussi un fin stratège militaire. En cliquant sur la carte stratégique, les différents territoires du royaume s'affichent à l'écran, vous permettant d'apprécier l'étendue de votre pouvoir, mais aussi celle de vos rivaux. Le jeu prend alors une toute nouvelle forme : celle d'un wargame au tour par tour. L'objectif est simple : consolider votre position et envahir les territoires adverses et a fortiori la capitale de votre ennemi. Perdez le contrôle de votre métropole pendant plus d'un tour et la partie est terminée. A vous donc de déplacer vos forces (dont les points de mouvement varient en fonction de l'unité) judicieusement , de recruter de nouvelles troupes (leur nombre dépend du territoire que vous occupez) ou de construire des bâtiments. Il en existe de plusieurs types : usine de guerre, parlement, taverne, etc. L'usine de guerre permet de créer des unités tandis que les autres bâtiments octroient divers bonus ou génèrent des cartes, que vous pouvez jouer pendant votre tour ou avant un combat afin de renforcer votre armée. Tout cela a évidemment un coût en or. A la fin de chaque tour, vous obtenez une certaine somme, qui, à l'instar des points de recherche, dépend directement des territoires que vous avez conquis ou des choix politiques que vous avez pris.

Divinity : Dragon Commander
Le jetpack permet de couvrir de longues distances rapidement.
Dès qu'au moins deux factions ennemies se retrouvent sur un même territoire, un combat s'engage. En fonction des forces en présence, un pourcentage représentant vos chances de remporter la victoire s'affiche. Vous avez alors la possibilité de prendre part au combat, d'engager (moyennant salaire) un de vos généraux (ce qui a pour effet de modifier le pourcentage de chance de gagner) ou de laisser vos troupes mener l'assaut toutes seules. Dans les deux derniers cas, l'IA se charge de résoudre le combat. Sachez néanmoins que vous ne pouvez intervenir sur un champ de bataille qu'une seule fois par tour, de même que vos généraux. Veillez donc à bien choisir le conflit que vous souhaitez mener vous-même. Cela fait, l'écran de sélection des capacités du dragon s'affiche, vous permettant de sélectionner les différentes techniques que vous souhaitez utiliser durant la bataille.

Un TPSRTS (Third Person Shooter Real Time Strategy)

Divinity : Dragon Commander
Vous pouvez choisir entre plusieurs dragons en début de campagne.
Place maintenant à l'action pure et dure. Exit le gameplay au tour par tour, place maintenant au jeu de stratégie en temps réel. Et bien évidemment, qui dit STR, dit ressources. Dans Dragon Commander, elles prennent la forme de recrues, dont le nombre total disponible dépend de la population du territoire. Lorsque celle-ci tombe à zéro, il n'est plus possible d'obtenir de recrues, limitant donc vos possibilités de construction de bâtiments et de création d'unités. Basé sur un système de capture de points, le gameplay vous incite donc à vous étendre très rapidement afin de contrôler un maximum de chantiers pour y construire des citadelles de recrutement (qui, comme son nom l'indique, augmente vos recrues), des forges de batailles (siège des unités légères telles que les troupiers, grenadiers, chamans, etc.), des usines de guerres (unités lourdes), chantier naval... Cela limite également les recrues disponibles pour votre adversaire et affaiblit sa position.

Divinity : Dragon Commander
Demandez-lui d'améliorer vos unités.
Au bout de quelques minutes, vous pouvez invoquer votre dragon (en sacrifiant 20 recrues), qui occupe une place centrale au combat (comme décrit précédemment). Attention tout de même, bien que puissant, il est relativement fragile et ne fait pas le poids face à un grand nombre d'ennemis. S'il meurt, il vous faudra patienter quelques secondes avant de le ré-invoquer et vous devrez à nouveau dépenser 20 recrues pour le ressusciter. Ne comptez donc pas anéantir votre adversaire uniquement avec votre dragon, surtout qu'il ne peut pas capturer des points à lui seul. Petit détail qui a son importance : vous gardez le contrôle sur le déplacement de vos unités lorsqu'il est présent.

Divinity : Dragon Commander
Utilisez judicieusement ces cartes pour influer sur la partie.
Pour remporter la victoire, vous devez donc unir les forces de votre dragon avec celles de votre armée, ce qui peut paraître un peu déroutant au début. Quelques dizaines de minutes sont donc nécessaires pour prendre en main le gameplay et c'est là que le bât blesse : les combats finissent par tous se ressembler (expansion, recrutement, assaut combiné). Le nombre d'unités est relativement faible (vos ennemis disposent des même troupes que vous), ce qui limite les affrontements stratégiques et renforce la sensation de répétitivité. En outre, les cartes disponibles dans le mode histoire sont redondantes et certaines textures sont un peu vieillottes. Heureusement, le jeu dispose d'une excellente replay value (ne serait-ce que pour tester d'autres choix politiques) et d'une durée de vie conséquente : comptez une vingtaine d'heures pour terminer la campagne, à cela s'ajoutent les modes escarmouche, campagne personnalisée et multijoueur (que nous n'avons pas pu tester par manque de joueurs). Difficile donc de résister à ce Dragon Commander qui, de par son gameplay multifonction, s'adresse à un large panel de joueurs.

Divinity : Dragon Commander : 1/4 : Un jeu à la croisée des genres
Gaming Live : Divinity : Dragon Commander : 1/4 : Un jeu à la croisée des genres
Divinity : Dragon Commander : 2/4 : La phase action
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Divinity : Dragon Commander : 3/4 : La phase politique
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Divinity : Dragon Commander : A dos de dragon
Extrait : Divinity : Dragon Commander : A dos de dragon
Divinity : Dragon Commander : Trailer de lancement
Bande-annonce : Divinity : Dragon Commander : Trailer de lancement

Points forts

  • Un jeu d'une extrême richesse...
  • Un mélange des genres savoureux
  • Un univers fantasy / steampunk réussi
  • Un doublage et des musiques de qualité
  • Une durée de vie conséquente
  • Le contrôle du dragon

Points faibles

  • ... sauf dans sa phase STR, trop répétitive
  • Quelques décors qui font tache
  • Des maps un peu redondantes dans le mode histoire

Avec Divinity Dragon Commander, Larian Studios remporte le pari un peu fou de développer un titre mélangeant jeu de rôle, wargame au tour par tour, STR et TPS. Une réussite, quelque peu entachée par des phases en temps réel limitées stratégiquement et un peu trop répétitives. Cela étant dit, l'action, la richesse de l'histoire et tous les choix offerts au joueur compensent largement.

Note de la rédaction

16
13.4

L'avis des lecteurs (46)

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PC Larian Studios Stratégie Action Multi en ligne
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