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Test Afterfall : InSanity

Afterfall InSanity : Trailer de lancement

Afterfall : InSanity
6 208 vues
Profil de Logan,  Jeuxvideo.com
Logan - Journaliste jeuxvideo.com

Si vous attendez impatiemment fin 2012 pour vérifier les prédictions mayas, sachez que vous perdrez votre temps. En effet, la fin du monde aura bel et bien lieu mais celle-ci naîtra d'une Seconde Guerre mondiale alternative. Si on y rajoute une histoire de virus et l'obligation de se terrer pour survivre, vous obtenez le scénario de Afterfall : InSanity. Cerise sur le gâteau, enfin si on peut dire, le tout ne se déroule non pas aux Etats-Unis mais bel et bien dans notre vieille Europe.

Afterfall : InSanity

Bien que Afterfall : InSanity n'entende pas révolutionner le genre du survival-horror, il peut compter sur son ambiance post-apocalyptique pour apporter un peu de fraîcheur, aussi paradoxal que cela puisse paraître. Ainsi, en parcourant les sombres couloirs de l'abri souterrain où se situe l'action, on a souvent l'impression de se retrouver dans les coursives de l'Ishimura vues par le prisme de Fallout. Pour autant, il est un peu dommage de ne pas avoir travaillé ce point en jouant sur la claustrophobie des protagonistes par exemple. Cependant, pour pallier cet état de fait, les développeurs ont inclus quelques idées intéressantes bien que peu développées. On citera ainsi la notion de peur à l'approche de plusieurs monstres venant troubler notre vision. Marrant même si au final, ceci a juste pour effet de rajouter un filtre graphique 3D. Qui plus est, cette gêne ne sera véritablement embêtante que lorsqu'on devra viser avec une arme à feu, les combats à armes blanches étant basiques et donc peu affectés par cet état de panique.

Afterfall : InSanity
En plus de l'obscurité, il vous faudra braver les monstres qui s'y tapissent.
L'autre point intéressant se situe également au niveau des énigmes qu'on trouvera à intervalles réguliers. Si la plupart d'entre elles consisteront à actionner des valves ou trouver des cartes pour ouvrir telle ou telle porte, d'autres en revanche nous demanderont un peu plus de jugeote. Si l'ensemble n'a rien à voir avec du Myst, il est sympathique de constater que le tout est un peu plus recherché que dans Resident Evil ou Dead Space. D'autant plus vrai que les développeurs ont essayé d'équilibrer leur titre en ne cédant pas aux sirènes de l'action. Certes, il y en aura, beaucoup même, mais les scènes d'action seront souvent entrecoupées de longues plages de calme durant lesquelles on devra crapahuter dans l'abri pour en savoir un peu plus sur cette contamination. A ce sujet, il est regrettable que Nicolas Games n'ait pas peaufiné son bestiaire se résumant à quelques infectés et autres créatures qui croiseront notre route ici et là. Mauvaise pioche car ceci accentue encore un peu plus l'impression de redondance, s'installant après quelques heures de jeu, synonyme d'allers-retours et de combats relativement basiques.

Afterfall : InSanity
Votre PDA vous fournira plusieurs informations importantes.
Pourtant, sur ce point, il y avait de quoi faire puisqu'on profitera d'un bon panel d'armes dont les ¾ seront des armes blanches. Ainsi, à l'image d'un Cryostasis, le héros, Albert Tokaj, pourra récupérer une palanquée d'objets allant de la hache au pied-de-biche en passant par la faucille ou la matraque électrique. De plus, si vous gardez les yeux ouverts, vous aurez l'occasion de dénicher un flingue, un fusil à pompe ou bien encore une mitraillette. Utile lorsqu'il faudra protéger un survivant contre une horde de monstres. Malheureusement, les combats manquent le plus souvent de pêche et se résument à bloquer ou éviter les coups, à frapper et à recommencer cette manoeuvre jusqu'à ce que mort s'ensuive. On aurait donc aimé que les militaires et les contaminés aient des schémas d'attaque différents afin d'amener un peu plus de dynamisme. En somme, pour varier les plaisirs, il conviendra de changer régulièrement d'arme de fortune et de switcher avec son arme de poing et celle secondaire.

Afterfall : InSanity
Visuellement très homogène, l'abri offre certaines ambiances steampunk plutôt réussies.
En définitive, tout ceci concourt à faire de Afterfall : InSanity un survival-horror d'honnête facture qui aurait sans doute pu donner quelque chose de plus viscéral si certaines idées avaient été creusées. En l'état, le jeu de Nicolas Games remplit bien son office grâce à un univers relativement original même si au final, Metro 2033 s'avère plus flippant et bien plus immersif. De plus, le gros problème de Afterfall est d'être sorti alors que ses principaux modèles sont disponibles pour une bouchée de pain. Cela lui fera sans doute pas mal d'ombre, mais si vous avez une trentaine d'euros en poche, vous pourrez vous laisser tenter par ce survival certes bancal mais loin d'être inintéressant.

Les notes
  • Graphismes11/20

    S'inspirant de multiples jeux dont Dead Space duquel il reprend, au cheveu près, le look du héros, Afterfall : InSanity ne surprend guère. Toutefois, en mélangeant science-fiction, steampunk et univers post-apocalyptique, le résultat réussit à convaincre en se situant à la croisée des chemins de Fallout, Metro ou bien encore Overblood. Cependant, on regrettera que les développeurs n'aient pas soigné le bestiaire limité à quelques monstres, contaminés et autres gardes.

  • Jouabilité14/20

    La jouabilité se calque sur celle de la plupart des survival-horror de ces dix dernières années en cumulant combat et recherche d'objets. Bien qu'on sente ici aussi l'immense influence du Dead Space de Visceral Games, on profitera d'énigmes plus intéressantes et d'un bon équilibre entre les phases de réflexion et les affrontements. A ce propos, si on trouve pas mal d'armes blanches, il est dommage que les rixes se ressemblent toutes et soient principalement basées sur la défense suivie de l'attaque.

  • Durée de vie12/20

    Si vous voulez faire durer le plaisir, optez dès le départ pour le mode Difficile. Le jeu restera tout de même relativement facile car très linéaire. Vous pourrez néanmoins vous amuser à récolter plusieurs documents écrits ou audio histoire de bien cerner le scénario et les divers protagonistes.

  • Bande son12/20

    Le doublage américain est mi-figue, mi-raisin tout comme les thèmes musicaux oscillant entre le bon et le moins bon. Tout cela nous donne une ambiance sonore correcte mais loin d'égaler celle d'un Dead Space 2 pour ne citer que ce dernier.

  • Scénario10/20

    Bien que le scénario brasse plusieurs ambiances en piochant à droite à gauche, l'ensemble reste relativement commun. Il est ainsi dommage que les scénaristes n'aient pas davantage creusé le concept de claustrophobie dû au fait que les habitants vivent sous terre suite à une Seconde Guerre mondiale alternative. En effet, le synopsis tourne beaucoup plus autour d'un virus contaminant les rescapés et délaisse volontiers tout ce qui tourne autour.

Alors que Afterfall : InSanity représente un énorme melting-pot empruntant à Fallout, Metro ou bien encore Dead Space, il parvient à s'en sortir convenablement grâce à un bon mélange entre action et réflexion. Plutôt bien construit et amenant quelques idées nouvelles, le jeu tourne néanmoins un peu en rond, au sens propre comme au sens figuré, et se perd dans des mécaniques de jeu trop redondantes. Toutefois, son plus gros défaut reste d'être sorti après Dead Space 2, aujourd'hui disponible à moins de 20 euros. Néanmoins, le titre de Nicolas Games se laisse suivre avec plaisir et saura vous amuser le temps d'un gros après-midi.

Note de la rédaction

12
12.8

L'avis des lecteurs (28)

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PC Nicolas Games Intoxicate Interactive Action Survival-Horror Jouable en solo
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