Derniers tests de jeux vidéo - page 702

Qui ne s'est pas demandé un jour comment Michael Bay réussissait ses fameux montages épileptiques ou par quel prodige Roland Emerich avait réussi le plus mauvais film de tous les temps ? Vous êtes-vous jamais questionné sur la passion qui habitait Ed Wood lorsqu'il assemblait ses bouts de ficelle ? Et si cette même passion vous poussait à franchir le pas et à réaliser votre propre long-métrage ? Si toutes ces interrogations vous semblent familières, vous pouvez d'ores et déjà investir dans une caméra Super 8... Ou acheter The Movies.

"Finir le jeu", c'est ce qui doit manquer dans le cahier des charges de Shiny depuis Enter The Matrix. Une fois de plus, le développeur, répondant à des impératifs qui n'ont rien de ludiques, nous livre un soft blindé de bugs et au gameplay inachevé. En dépit de qualités latentes indéniables, The Path Of Neo parvient tout juste à faire mieux que son prédécesseur.

"Finir le jeu", c'est ce qui doit manquer dans le cahier des charges de Shiny depuis Enter The Matrix. Une fois de plus, le développeur, répondant à des impératifs qui n'ont rien de ludiques, nous livre un soft blindé de bugs et au gameplay inachevé. En dépit de qualités latentes indéniables, The Path Of Neo parvient tout juste à faire mieux que son prédécesseur.

"Finir le jeu", c'est ce qui doit manquer dans le cahier des charges de Shiny depuis Enter The Matrix. Une fois de plus, le développeur, répondant à des impératifs qui n'ont rien de ludiques, nous livre un soft blindé de bugs et au gameplay inachevé. En dépit de qualités latentes indéniables, The Path Of Neo parvient tout juste à faire mieux que son prédécesseur.

C'est assez hallucinant de voir ce qu'un film peut générer comme marchandising autour de lui. Le film en question c'est Star Wars Episode 3, donc pas n'importe quel nanar, je vous l'accorde, mais qui pouvait penser qu'on aurait droit un jour à une version Lego de la bande à Vador ? Faut quand même être tordu pour penser à un tel mélange.

Tel un DJ fou impossible à arrêter, Sony continue de nous abreuver de nouvelles chansons à fredonner dans les micros de Singstar. La thématique est cette fois-ci placée sous le signe des années 80, une époque que l'on qualifiera volontiers d'audacieuse, musicalement et vestimentairement parlant.

Deuxième extension destinée au jeu de gestion de parcs d'attractions Rollercoaster Tycoon 3, Distractions Sauvages prend pour thème central celui des animaux et vous propose d'élever une multitude de créatures pour attirer toujours plus de visiteurs.

Dans le monde sans foi ni loi du jeu vidéo, certains studios bâtissent leur réputation sur des séries devenues cultes, légitimant à elles seules l'attrait que les fans porteront à toutes les prochaines productions de leur nouvelle référence dans le domaine. Certes un peu réductrice, cette manière de voir les choses s'applique pourtant avec une certaine mesure dans bien des cas. Prenez par exemple SNK, un assemblage mythique de trois lettres simples, à l'origine de véritables phénomènes ayant illuminé la vénérable et hors de prix Néo-Géo. Même si les talentueux développeurs ont mis au jour de nombreuses sagas, les deux principales revenant à l'esprit à l'évocation de ce trio de consonnes restent King Of Fighters et Metal Slug. Par une bienheureuse coïncidence c'est du quatrième épisode de cette dernière que nous allons parler aujourd'hui.

Destiné avant tout à un public de passionnés de voile, la série des Virtual Skipper continue à se bonifier au cours du temps. Ce quatrième volet, tout en gardant grosso modo les mêmes recettes que ses prédécesseurs, dispose d'un contenu enrichi, d'une actualisation du moteur graphique et profite des nouvelles règles officielles des régates édictées par l'ISAF (International Sailing Federation).

Ce qu'il y a de bien avec Electronic Arts, c'est que lorsqu'il est question d'adapter une licence en jeu vidéo, aucun support n'est oublié. Sortant le même jour que les versions PC et consoles de salon, soit juste avant la diffusion du film dans les salles obscures, l'adaptation portable de Harry Potter et la Coupe de Feu nous dévoile tous ses secrets. Voyons tout de suite de quoi il s'agit.

Ce qu'il y a de bien avec Electronic Arts, c'est que lorsqu'il est question d'adapter une licence en jeu vidéo, aucun support n'est oublié. Sortant le même jour que les versions PC et consoles de salon, soit juste avant la diffusion du film dans les salles obscures, l'adaptation portable de Harry Potter et la Coupe de Feu nous dévoile tous ses secrets. Voyons tout de suite de quoi il s'agit.

Alors que le sixième tome des aventures d'Harry Potter est enfin dans les bacs, l'apprenti-sorcier s'apprête à remplir les salles obscures avec la sortie prochaine du nouveau long-métrage. Celui-ci est inspiré du quatrième roman de la série, intitulé Harry Potter et la Coupe de Feu, tout comme le jeu vidéo qui est adapté directement du long-métrage. Et pour l'occasion, Electronic Arts a revu sa copie en abandonnant le côté plates-formes des précédents volets au profit d'un jeu davantage tourné vers l'action.

Alors que le sixième tome des aventures d'Harry Potter est enfin dans les bacs, l'apprenti-sorcier s'apprête à remplir les salles obscures avec la sortie prochaine du nouveau long-métrage. Celui-ci est inspiré du quatrième roman de la série, intitulé Harry Potter et la Coupe de Feu, tout comme le jeu vidéo qui est adapté directement du long-métrage. Et pour l'occasion, Electronic Arts a revu sa copie en abandonnant le côté plates-formes des précédents volets au profit d'un jeu davantage tourné vers l'action.

Alors que le sixième tome des aventures d'Harry Potter est enfin dans les bacs, l'apprenti-sorcier s'apprête à remplir les salles obscures avec la sortie prochaine du nouveau long-métrage. Celui-ci est inspiré du quatrième roman de la série, intitulé Harry Potter et la Coupe de Feu, tout comme le jeu vidéo qui est adapté directement du long-métrage. Et pour l'occasion, Electronic Arts a revu sa copie en abandonnant le côté plates-formes des précédents volets au profit d'un jeu davantage tourné vers l'action.

Alors que le sixième tome des aventures d'Harry Potter est enfin dans les bacs, l'apprenti-sorcier s'apprête à remplir les salles obscures avec la sortie prochaine du nouveau long-métrage. Celui-ci est inspiré du quatrième roman de la série, intitulé Harry Potter et la Coupe de Feu, tout comme le jeu vidéo qui est adapté directement du long-métrage. Et pour l'occasion, Electronic Arts a revu sa copie en abandonnant le côté plates-formes des précédents volets au profit d'un jeu davantage tourné vers l'action.

Les plus vieux d'entre vous, encore nostalgiques des carapaces vertes au détour d'une tuyauterie ou des anneaux dorés attirant des hérissons bleus, se souviennent sûrement d'un certain Gunstar Heroes, qui avait fait figure de jeu d'action culte après quelques semaines seulement d'activité. Conçu par le tout jeune studio Treasure, ce beat'em all mâtiné de shoot'em up posa les limites de l'orgie ludique tant son contenu dépassait les attentes les plus folles des amateurs d'action intense et électrique. Alors que rien ne laissait présager un tel parachutage, sa valeureuse suite, nommée prosaïquement Gunstar Future Heroes atterrit dans nos contrées. La révolution est-elle une nouvelle fois en marche sur la Terre aux 5 lunes ?

Quand on y pense, est-il si incroyable que le personnage de Hugo n'ait pas encore été enterré ? Eh bien, pas vraiment puisque nous avons là le type même de "créature" facilement déclinable en peluches, en mugs, en pots à crayon, etc. Je ne saurais dire si l'ami Hugo a le vent en poupe chez nous mais voici déjà sa troisième itération vidéoludique sur PS2. Pour la peine, le gnome troque son pantalon bouffant contre un smoking et se la joue agent secret.

Qu'est-ce-qu'il est difficile de tester les compilations regroupant de vieux jeux ! En effet, il est incongru de parler de leur réalisation dépassée, de leur bande-son minimaliste ou de leur gameplay simpliste. Mais alors, sur quoi peut-on juger de tels titres ? Et bien sur leur contenu et sur le plaisir qu'ils peuvent procurer aux nostalgiques évidemment.

Il y en a qui nous sortent un Prince Of Persia par an, d'autres qui optent pour des réactualisations de Pro Evolution Soccer, chez Sony, on a choisi, c'est EyeToy Play qui revient annuellement. 3 ans, 3 versions et pas des tonnes d'innovations jusqu'à aujourd'hui.

Après les adaptations du dessin animé Les Razmoket, voilà que débarque le premier jeu GBA tiré des Razbitume. Hélas, ce jeu vidéo ne parviendra même pas à convaincre les fans de par sa qualité très médiocre.