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Test My Time at Portia : un contenu imposant et des mécaniques de jeux variées

My Time at Portia : 3 minutes pour tout savoir

49 375 vues
Profil de Kaaraj,  Jeuxvideo.com
Kaaraj - Journaliste jeuxvideo.com

Récupérer un domaine familial à l’abandon, le retaper tout en s’offrant une nouvelle vie au sein d’un village au style coloré et enchanteur, la formule est déjà bien connue des amateurs de simulation de vie rurales vidéoludiques. Harvest Moon, Story of Seasons ou Stardew Valley en sont quelques uns des plus célèbres représentants. My Time at Portia s’invite sur ce même créneau en proposant toutefois un concept de départ un brin différent, puisque vous prenez ici le contrôle d’un atelier et pas d’une ferme.

Un constat qui ne limite en rien la variété de votre aventure, puisqu’il sera possible tout au long de celle-ci d’exercer de nombreuses activités : création de machines, construction d’infrastructures, gestion des cultures, élevage, collectes de ressources, combats et explorations de donjons, sociabilisation avec les habitants... Une variété de choix justifiée par le contexte de base de l’aventure, dans lequel vous récupérez un atelier qu’il vous faut améliorer et mettre à profit pour réaliser les nombreuses commandes (machines, outils, matières premières…) du village voisin. C’est bien simple, My Time at Portia est l’un des titres les plus complets du genre qu’il représente.

Jamais en Portia faux

My Time at Portia : un contenu imposant et des mécaniques de jeux variées
Une rude journée attend notre héros.

Malgré la large gamme d’expériences qu’il propose, il parvient à jongler de l’une à l’autre sans heurts, offrant par cette idée suffisamment de variété pour casser un aspect présent dans de nombreux titres du genre et auquel My Time at Portia n’échappe pas complètement. L’aventure est en effet souvent routinière puisqu’elle se base sur un triptyque exploration/collecte/craft à la base de votre progression, sur lequel se greffent les fameuses quêtes et commandes vous permettant d’améliorer votre réputation auprès de la ville, des villageois, et de glaner par la même occasion un peu d’or. Heureusement donc, le titre offre suffisamment d’autres mécaniques pour éviter que la sensation de répétitivité de l’ensemble ne soit trop présente.

My Time at Portia : un contenu imposant et des mécaniques de jeux variées
Des événements viennent briser votre routine quotidienne.

S’il faut saluer la pluralité des éléments de gameplay proposés, tous ne se valent pas : la partie craft et construction propose ainsi quelques idées intéressantes comme la recherche et surtout l’utilisation de schémas, très visuelle et intuitive bien qu’une ou deux indications soient parfois manquantes pour savoir si vous disposez du matériel adéquat pour produire une pièce. À l’inverse, les combats ne s’appuient que sur une touche d’attaque et d’esquive, et sont donc de leur côté très basiques et peu intéressants malgré la présence bienvenue de donjons. Ces derniers font office de courtes zones rejouables divisées en plusieurs parties alternant entre plateforme, combats et affrontement d’un boss disposant rarement de plus d’un pattern. Reste que les nombreuses possibilités offertes par le titre suffisent le plus souvent à cacher le caractère moins intéressant d’une des facettes.

My Time at Portia : un contenu imposant et des mécaniques de jeux variées
Quelques ennemis vous attendent dans les recoins de Portia.

C’est d’ailleurs l’une des plus grandes forces de l’aventure : à mesure que vous progresserez dans l’histoire (qui vous occupera pendant des dizaines d'heures de jeu) et accomplirez les fameuses commandes du village, vous découvrirez les nombreuses facettes d’une expérience qui parvient régulièrement à renouveler ses idées et éviter l’agacement face aux routines : les montures et arrêts de bus à construire arriveront à point nommé pour réduire la durée de vos déplacements, l’usine viendra booster vos temps de productions, l’agrandissement du domaine et des différents ateliers vous donne accès à de nouvelles constructions et des interactions supplémentaires allant potentiellement jusqu’au mariage avec un personnage. Plus que dans d’autres productions du même style, il est d’ailleurs particulièrement agréable de voir le village se développer et votre environnement changer à mesure que vous progressez dans vos quêtes.

De vrais efforts de narration

Car oui, My Time at Portia dispose d’un autre atout là aussi plutôt rare pour le genre que nous n’avons évoqué que brièvement pour l’instant : un scénario. Sans être omniprésent, celui-ci parvient régulièrement à briser la répétitivité de vos journées et offre un minimum de consistance à l’univers. My Time at Portia se déroule en effet dans un monde post-post apocalyptique, dans lequel vous trouverez de nombreuses reliques évoquant notre époque et vivrez au sein d’une communauté aux besoins plutôt simples, cherchant à se développer technologiquement tout en gardant une certaine méfiance envers les technologies passées à l’origine de la déchéance de ce monde.

Les premières minutes de My Time at portia

Après avoir découvert votre domaine et la ville voisine de Portia dirigée par un maire du nom de Gale, vous aurez ainsi régulièrement l’occasion d’aider ses habitants en réalisant leurs différentes requêtes, tandis que certaines cut scenes ou évènement inattendus (pollution de l’eau, objets volés aux habitants par exemple) viennent parfois s’immiscer dans vos pérégrinations. Ajoutez à cela les messes du dimanche (sic), les annonces hebdomadaires du maire sur la grand-place, une série de fêtes qui se produisent à intervalles réguliers et pouvant aller de la collecte de cadeaux à un grand tournoi entre les combattants, et vous obtenez un tableau d’ensemble très complet qui assure un certain dynamisme à l’aventure.

Décors superbes, chara design plus contestable

My Time at Portia : un contenu imposant et des mécaniques de jeux variées
Un soupçon de finition supplémentaire ne serait pas de refus.

Au niveau de ses décors, le titre offre une ambiance colorée parfaitement adaptée au genre, mais qui emprunte pourtant régulièrement - et étonnement - à l’esthétique steampunk, en témoignent les ruines qui parcourent les terres alentours, ou le style visuel des machines et des armes qu’il est possible de fabriquer. Le chara design nous a en revanche moins convaincus, puisque certains monstres et personnages semblent avoir été créés de manière procédurale sans réellement chercher à offrir un minimum de cohérence visuelle. Notez aussi que quelques soucis de finition demeurent, comme de légers ralentissements ou l’affichage de certains sous-titres français dépassant du cadre. Plusieurs textes ne sont d’ailleurs pas encore traduits et un soupçon de peaufinage ne serait également pas de trop. Sur le temps de production des matières premières notamment, souvent trop long par rapport au reste des activités, ou l’ajout de quelques consignes et aides supplémentaires pour ne pas se perdre dans les nombreux schémas une fois que vous aurez dépassé quelques mois de progression dans le jeu. Rien qui ne gâche toutefois le reste de l'aventure.

Points forts

  • La progression et l’évolution du domaine et du village
  • Contenu imposant
  • La variété des mécaniques de jeu
  • Une direction artistique charmante...

Points faibles

  • … Malgré un chara design moins inspiré
  • Encore quelques soucis de traduction
  • Un soupçon de rééquilibrage et de peaufinage attendu

S’il lui faudra encore quelques mises à jour pour s’avérer parfaitement équilibré dans sa progression et complet sur ses traductions, My Time at Portia est déjà un très bon jeu. Ce statut, il le doit à son contenu imposant et suffisamment varié pour casser le sentiment de routine inhérent aux simulations de vie rurales, mais aussi à la sensation de progression et d’évolution de notre domaine et de la ville de Portia, deux éléments qui contribuent grandement à l’immersion. Ses quelques défauts l’empêchent pour l’instant de devenir le meilleur titre du genre de ces dernières années : il pourrait toutefois atteindre ce cap s’il bénéficie d’un suivi aussi attentif dans les mois à venir qu’au cours de son accès anticipé.

Note de la rédaction

16
16.9

L'avis des lecteurs (21)

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