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Test Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

Ghostrunner : La nouvelle référence de l'action-plateformes à la 1ère personne

101 680 vues
Profil de Indee,  Jeuxvideo.com
Indee - Journaliste jeuxvideo.com

Lors de sa sortie en octobre dernier, nous avons été emballés par Ghostrunner, jeu d’action-plateformes à la première personne, sorte de mélange entre Mirror’s Edge pour les cabrioles et Hotline Miami pour l’aspect exigeant. Depuis le 10 novembre, le titre est disponible sur Nintendo Switch. Un portage qui vaut le coup ?

Ghostrunner sur Switch, ça vaut quoi ?

Avec les années, pas mal de gros jeux se sont aventurés sur l’hybride de Nintendo, avec plus ou moins de succès. Pour ce qui est de Ghostrunner, le résultat n'est malheureusement pas terrible. Pour deux raisons : la fluidité et les graphismes. Dans ses versions PS4, One et PC, le titre de One More Level est techniquement impressionnant (ce qui fait d’ailleurs en partie son charme), et c’est encore plus le cas sur PC, qui profite du Ray Tracing et d’un framerate qui peut aller au-delà des 30 images par seconde. Et autant dire que ce n’est pas le cas sur Switch, alors que la console nous a déjà montré de belles choses, comme sur le reboot de Doom.

Ghostrunner - Gameplay sur Switch

Dans les faits, en mode docké, Ghostrunner sur Switch est moins beau qu’une version PC en 720p avec tous les paramètres au minimum : l’aliasing et les textures floues y sont omniprésents, et les couleurs sont bien moins contrastées (dommage pour du cyberpunk). Côté framerate, toujours en docké, la barre des 30 fps est assez bien tenue, malgré quelques baisses dans les zones les plus ouvertes. C’est en revanche moins le cas du mode portable qui, malgré un rendu plus agréable à l’oeil - petit écran oblige-, perd plus fréquemment des images par seconde. Un défaut assez important pour un jeu vif et basé sur le timing.

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bonGhostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bonGhostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

Même si ces écarts de performance sont gênants, Ghostrunner sur Switch est largement jouable. Et pendant notre session sur Switch, les baisses de framerate n’ont pas été des obstacles pour mener les combats à bien. Le tout est seulement beaucoup moins confortable que sur les autres supports. Nous vous recommandons donc ces derniers.

Le test complet de Ghostrunner sur PS4, One et PC (26/10/2020)

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

Même si le scénario de Ghostrunner s’avère au final assez classique, voilà pour commencer ce qu’il en est. Vous vous éveillez dans un coin d’une ville futuriste lorsque l’Architecte, créateur de la cité - en plus d’être le votre - vous demande gentiment de venir le libérer. Une fois la besogne remplie, il vous parlera de Mara, le “Maître des clés” (aucun lien avec Fort Boyard), et de ses desseins terrifiants pour les habitants du coin. Ni une ni deux, vous vous mettez en route, dans une course contre-la-montre pour sauver des vies.

Donc oui, le scénario de Ghostrunner n’est pas foufou (si le coeur vous en dit, il est possible de dénicher des artefacts et des documents audio pour en apprendre plus sur le lore du jeu). Mais il a au moins le mérite d’être tout à fait cohérent avec son action survoltée. On vous répétera en effet souvent que le temps presse, qu’il faut faire vite, et le tout ne fera qu’amplifier votre vitesse d'exécution. Il y a d’autres détails du genre, notamment dans le CyberVoid - espace numérique où vous pourrez glaner des améliorations très utiles, comme un large coup d’épée pour tuer en un clin d’oeil plusieurs ennemis - où les phases de plateformes sont plus fantaisistes, en cohérence avec un cadre créé par ordinateur.

Action survoltée

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

Vous l’avez sans doute vu dans plusieurs trailers, l’action de Ghostrunner est très vive. Et elle est aussi particulièrement exigeante. Côté game design, le titre se rapproche d’un Hotline Miami et chaque coup sera fatal. Vous arriverez souvent dans des arènes au level design complexe où il faudra sauter dans la mêlée pour comprendre comment fonctionne la zone, pour par la suite recommencer jusqu’à réussir. Un level design qui évoluera au fil de la progression, car bien plus ouvert dans la seconde moitié de l’aventure, dans les rues de la ville. À noter que le jeu ne suit pas le schéma “arène, couloir, arène, couloir”. Des phases de plateformes viennent agréablement ponctuer l’ensemble. Et il ne sera pas obligatoire de systématiquement nettoyer une zone pour avancer. Des fois, des sbires feront seulement office d’obstacles.

En un paragraphe, on a déjà évoqué pas mal d’éléments très importants de Ghostrunner : action, plateformes, level design, etc. Mais concentrons-nous sur le gameplay avant d’aller plus loin. One More Level met à disposition une jolie palette de mouvements : courir sur les murs, dasher, ralentir le temps tout en se déplaçant une fois dans les airs, se propulser en s’accrochant sur des surfaces définies avec un grappin, et bien sûr attaquer. Le tout sera ensuite complété par des capacités spéciales et quelques améliorations comme le double dash ou la possibilité de renvoyer les tirs ennemis en parant au bon moment. Pour y accéder, il faudra placer ces compétences dans un tableau de bord aux allures de grille Tetris.

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bonGhostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bonGhostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

Il y a donc pas mal d’options pour se sortir des pétrins les plus compliqués. Et c’est un véritable plaisir que de jongler entre ces dernières pour progresser. Même après plus de sept heures de jeu d’affilée, les affrontements de Ghostrunner nous ont toujours procuré de bonnes sensations. C’est en grande partie grâce au level design, qui sait faire varier les échelles, les approches tantôt verticales et horizontales, les contraintes induites par les différents types d’ennemis (on en parle juste après). Le dernier segment du titre nous a toutefois paru un peu moins ingénieux, se contentant de mettre des paquets de vilains dans des grandes pièces ouvertes. Mais on ne parle-là que d’environ 5% de la totalité du jeu.

Ghostrunner - 15 minutes de combat intense (Gameplay)

Ne tient pas en place

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

On pourra ainsi se faire plaisir en refaisant les mêmes zones, cherchant la route optimale pour réussir un niveau (un tableau récapitule d’ailleurs votre temps et votre nombre de morts à la fin de chaque chapitre). Mais même si c’est rigolo de tourner en rond, Ghostrunner s’apprécie sur la longueur et bénéficie d’une durée de vie généreuse pour son genre (comptez 8h pour en faire le tour la première fois). Des heures qui sauront vous retenir, le jeu de One More Level ne cessant d’ajouter des nouveautés.

Premier aspect qui répond à cette description : les ennemis. Du début à la fin, Ghostrunner sort de son chapeau des nouveaux types de méchants, renouvelant très régulièrement les combats et votre manière d’aborder ces derniers. Les sbires avec un simple pistolet auront par la suite des mitrailleuses ; Ces vilains de base seront à un moment protégés d’un halo alimenté par un générateur, qu’il faudra d’abord trouver avant de les attaquer ; Il y a ensuite des soldats avec un bouclier, uniquement vulnérables dans le dos ; Ceux qui vous sautent dessus ; Ceux qu’il faudra parer avant de sabrer ; etc. Retenez juste que le titre fait preuve d’une impressionnante générosité, rebattant sans cesse les cartes pour les combats.

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Ce constat peut également s’appliquer pour la plateforme, qui s’étoffe au fil de l’aventure. Petite liste rapide de nouveau. La grimpette et la course sur murs garnies d’un grappin ; Puis des surfaces électriques qu’il faudra soigneusement éviter entre deux obstacles ; Des powerups temporaires (ralentir le temps, shurikens pour désactiver des mécanismes - mais qui marchent aussi sur les ennemis -, sauter beaucoup plus haut) pour varier les plaisirs ; etc. Coup de coeur perso pour les rails suspendues dans les airs (ça rappellera de bons souvenirs aux fans de Bioshock Infinite) qui dynamisent les déplacements et les combats. L’aboutissement de toutes ces petites mécaniques étant un très bon boss uniquement basé sur de la plateforme (on ne vous en dira pas plus). D’ailleurs, tout comme la castagne, le moindre laser mal anticipé sera fatal et vous fera retourner au dernier checkpoint. Vous voilà prévenus.

Technique impressionnante

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

En plus de tous ces très bons points, Ghostrunner se paye même le luxe d’être impressionnant techniquement. Sur PC, le titre est compatible DLSS - la technologie de Nvidia qui utiliser l'intelligence artificielle pour upscaler plus efficacement la résolution des jeux - et RTX, donc Ray Tracing. Et autant dire que le cadre cyberpunk se prête vraiment bien à des reflets réalistes, surtout quand les pales d’un système de ventilation dessinent des ombres au sol, ou que les flaques d’eau renvoient la lueur des néons multicolores. Sans parler de la DA, qui marche bien. Et de la BO électro, répétitive et hypnothisante, parfaitement dans le ton et qui amplifie l’aspect die and retry, rappelant de nouveau Hotline Miami.

Mais comme il faut bien citer quelques défauts, allons-y. Le plus gros problème est lié au système de checkpoints : lorsque vous fermez le jeu en plein niveau, à moins d'avoir chargé une zone totalement différente pendant ce dernier, comme le CyberVoid, il faudra reprendre le level de zéro en rallumant le tout. Les développeurs nous ont expliqué que cela vient de la structure même du titre, et il y a donc de grandes chances pour ce ne soit pas corrigé à l'avenir. Il faudra donc s'évertuer à terminer un niveau avant d'éteindre son PC ou sa console (ce ne sera pas très pratique pour la version Switch, dont on parlera dans un second temps), sachant que certains passages sont assez compliqués.

Ghostrunner : Une version Switch en deçà pour un jeu toujours aussi bon

Parmi les autres défauts, on s'est plusieurs fois retrouvé un peu paumé entre deux phases de plateformes (c’est la couleur jaune qui indique normalement le chemin à prendre, mais cette dernière est parfois noyée dans les scènes en intérieur, où les spots oranges sont pas mal présents). Parfois, le Ghostrunner se met à courir sur une surface qu’on voudrait escalader. Les attaques spéciales ne sont pas super complémentaires, et il y a aussi ces petites phases de réflexion dans le CyberVoid, maladroites et pas très intéressantes. Mais vous l’aurez compris, à part pour cette histoire de checkpoints, il faut pas mal pinailler pour trouver des défauts à Ghostrunner. Tout simplement parce qu’il s’agit d’un excellent titre.

Ghostrunner - Trailer d'annonce

Points forts

  • Action survoltée et maîtrisée
  • Phases de plateformes super plaisantes
  • Ça se renouvelle sans cesse
  • La BO, parfaitement dans le ton
  • Bonne durée de vie (environ 8h)

Points faibles

  • Une technique décevante sur Switch
  • Quitter un niveau en pleine partie = le recommencer
  • Faut aimer les ''die and retry''

Ghostrunner sur Switch est (sans trop de surprise) en deçà des versions PS4, One et PC. Mais on sait pourtant que la console de Nintendo peut faire des petits miracles, même avec des jeux jugés gourmands. Ce n’est pas le cas ici : en mode docké, l’aliasing et les textures floues sont omniprésents (le mode portable fait un peu office de cache-misère), ce qui diminue le charme et l’action survoltée du titre (des chutes de framerate sont aussi à déplorer, surtout en nomade). Handicapantes mais pas pénalisantes outre mesure, ces lacunes techniques n’empêchent pas d’apprécier le titre de One More Level : une action-platformer à la première personne exigeant, jouissif et qui se renouvelle sans cesse. Une bonne pioche malgré tout.

Note de la rédaction

15
8.8

L'avis des lecteurs (5)

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