Derniers aperçus de jeux vidéo - page 268

Placés aux côtés de la Peste et du Choléra dans le domaine des infections apocalyptiques du Jugement Dernier, les Pokémon opèrent insidieusement dans l'ombre. Sans un bruit, ils investissent votre Game Cube sans que vous ne vous en rendiez compte. Comme vous le savez, ceci n'est qu'une légende (du moins la fin), et c'est après un grand battage marketing que ce dernier opus fait surface.

Dans la lignée de la série des Metal Gear Solid, Namco a développé Kill.switch. C'est un third person shooter tactique mâtiné d'infiltration où, bien qu'il soit orienté un peu plus action que son illustre aîné, les gros bourrins n'ont pas leur place. En effet, ici, c'est la discrétion et les tirs dans le dos qui priment.

Le terme charismatique demeure relativement complexe à définir précisément. De ce fait, l'incarnation charnelle de ce dernier se révèle nécessaire. Sephiroth, Dante, Alucard, en sont les exemples les plus flagrants. Mais il existe un être encore plus probant, Roger Lemerre. Son domaine n'est pas la survie au sein de cataclysmes, mais le football.

Le terme charismatique demeure relativement complexe à définir précisément. De ce fait, l'incarnation charnelle de ce dernier se révèle nécessaire. Sephiroth, Dante, Alucard, en sont les exemples les plus flagrants. Mais il existe un être encore plus probant, Roger Lemerre. Son domaine n'est pas la survie au sein de cataclysmes, mais le football.

Taxi ! Oui, vous allez où ? Cette phrase vous est certainement familière si vous êtes un habitué de ce mode de transport. Mais ne vous y trompez pas, le jeu de Sega Crazy Taxi 3 n'est pas du tout une simulation réaliste de conduite de taxi, c'est un jeu qui peut être défini en un seul mot : fun.

Après Le Trésor des Toltèques (3 Skulls of the Toltecs en VO), un jeu d'aventure qui bien que sympathique n'aura pas marqué les esprits, les espagnols de chez Revistronic comptent bien revenir sur le devant de la scène avec cette suite au nom très évocateur : The Westerner.

Etre un pauvre mec, c'est vraiment lourd, surtout quand on conduit trop vite. Daniel Garner en fait les frais dans Painkiller, un FPS hyper bourrin plus que prometteur qui puise aux sources du genre. Si seulement 3 niveaux étaient disponibles dans cette version preview, c'est sans doute pour nous faire baver un peu plus en attendant impatiemment la suite.

Et voilà, la GameCube a enfin son jeu musical. Du moins au Japon puisque nous autres pauvres européens devront attendre un peu avant de voir débouler Donkey Konga dans nos contrées. Pour patienter un peu, quoi de mieux qu'une petite preview faite à partir de la version nippone du titre et de son accessoire délirant : les congas ?

Un cri de bête surgit de la nuit. Apeuré, vous entrouvrez la porte, afin d'en connaître l'origine. Et c'est à ce moment précis que vos yeux se posent sur une petite chose frêle, ronde et cagoulée, un ninja. Tiens-toi à ton grappin, Rikimaru, la relève est en marche, et elle est vêtue d'un kimono.

Dans le domaine profond, et relativement réservé à un public de forcenés de l'enchantement vidéo-ludique, du RPG, on peut distinguer plusieurs formes de gameplay. L'Action-RPG, sur le modèle de Secret Of Mana, le RPG classique, comme Final fantasy, le Tactical-RPG, avec comme représentant Tactics Ogre, le Dungeon-RPG, comprenant l'ineffable Vagrant Story ou bien encore le Strategy-RPG, mis en avant par le descendant d'une des séries les plus célèbres de la Psone, j'ai nommé Arc The Lad. Qu'en est-il alors de ce nouvel opus intitulé sobrement : Le Clan Des Deimos.

Les jeux de stratégie ont rarement convaincu les joueurs console. Interface non appropriée, lisibilité réduite, on avait fini par croire que ce genre de jeu n'avait pas sa place sur des machines comme la PS2, la GameCube ou la Xbox. Aujourd'hui, Goblin Commander nous prouve le contraire.

Dans la lignée du jeu bien connu Magic : The Gathering, Nival Interactive nous livre la suite de son Etherlords. Pas d'énormes changements à prévoir mais un titre qui pourrait séduire les amateurs de cartes magiques.

Amis casse-cous, soyez heureux, voici venir une nouvelle manière de vous exploser les rotules, de vous fracturer l'occiput et de vous tuer les chevilles : la descente extrême. C'est simple, vous montez au sommet d'une montagne et vous descendez comme des tarés avec vos petits vélos. Facile non ?

Ubi Soft ne nous avait pas déçu il y a quelques temps avec IL-2 Sturmovik, et l'éditeur renoue avec la simulation de combat aérien par l'intermédiaire de Lock On. Le jeu est prévu pour le 4 décembre prochain, l'occasion pour nous de vous le présenter via une première version jouable.

Fort de sa réputation dans le domaine du MMORPG, Everquest revient sur PC dans un épisode radicalement différent puisqu'il mise cette fois sur la stratégie temps-réel. Reste à savoir si les fans de la série seront conquis par ce Lords of Everquest, et s'il ne se laissera pas submerger par la vague d'excellents STR déjà disponibles sur PC.

Plus ça va et plus la licence Crash Bandicoot perd de sa superbe. La preuve avec ce nouveau jeu de kart vraiment trop proche de Crash Team Racing, techniquement parlant.

N'en déplaise à toutes les mauvaises langues qui comptaient déjà s'acharner sur le prochain Tony Hawk, le nouvel opus apporte pas mal de changements à la série. Allez, rien que pour vous, un petit aperçu de ce qui nous attend le mois prochain.

N'en déplaise à toutes les mauvaises langues qui comptaient déjà s'acharner sur le prochain Tony Hawk, le nouvel opus apporte pas mal de changements à la série. Allez, rien que pour vous, un petit aperçu de ce qui nous attend le mois prochain.

C'est de plus en plus courant aujourd'hui d'avoir affaire à des jeux mêlant plusieurs styles. Loin de moi l'idée que tout ceci est assez moyen en soi mais il faut aussi bien voir que généralement dans ce type de jeu, il y a toujours un des aspects qui bénéficie de plus d'attention que l'autre et au final le résultat est souvent mitigé. Si il est encore trop tôt pour dire si Spellforce sera de cette catégorie, puisqu'étant un titre mélangeant le STR et le RPG, le soft de JoWood semble de prime abord convaincant à défaut d'être étonnant.

Lors de la présentation officielle du titre en début d'année, le dernier bébé de Michel Ancel nous en avait déjà mis plein les mirettes. Le titre, bardé de couleurs, d'effets spéciaux et de différentes phases de gameplay, réussissait habilement, malgré les divers chemins qu'il empruntait, à garder une cohésion étonnante. Quelques mois plus tard, fort d'un nouveau design concernant son héroïne, Beyond Good & Evil s'affirme de plus en plus comme un incontournable des prochaines fêtes de Noël. Chronique d'un énorme coup de coeur.