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News débat et opinion 2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais
Profil de Julien Rateau aka « Silent_Jay » ,  Jeuxvideo.com
Julien Rateau aka « Silent_Jay » - Journaliste & Référent Culture Geek
Je suis le fruit d’une culture populaire qui a pris son essor dans les années 90 et qui s’est imposée au fil des décennies comme la culture dominante. Jeux vidéo, cinéma, mangas, animes, comics, BD, littérature, séries… je suis avide d’apprendre et d'explorer les imaginaires qui s’offrent à moi, peu importe le média.

Qu’il semble lointain le temps où l’ensemble des joueurs se tournait avec envie et espoir vers l’orient la larme à l’oeil en attendant les prochaines annonces en provenance du Japon. Pionnier du jeu vidéo ayant façonné le 10ème art, l’archipel nippon perdit de sa superbe au fil des années pour laisser place à une vision occidentale. Le Japon était un phare guidant l’industrie dans les océans tourmentés de la créativité, puis cette flamme s'éteignit. Selon certains professionnels, le Japon vidéoludique n’est plus qu’un souvenir érodé. Pourtant, l’année 2016 fut marquée par la sortie tonitruante d’un Final Fantasy XV qui ne laissa que des miettes à la concurrence durant des semaines. Et 2017, à en croire la liste des jeux à venir, sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais
Débat et Opinion

Cet article entrant dans la rubrique "Débat et opinion", il est par nature subjectif. L'avis de l'auteur est personnel et n'est pas représentatif de celui du reste de la rédaction de Jeuxvideo.com.

L’amour du Bit

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Simple idée germée sur le coin d’un bureau universitaire durant les années 50’s, le jeu vidéo s'émancipa deux décennies plus tard avec l’apparition des premières machines et logiciels ludiques. Une course à l’or pixelisé plus tard, le jeune marché du jeu vidéo manqua de s’écrouler en 1983, la faute à une industrie démultipliant les titres de piètre qualité. Rappelez-vous l’hérésie E.T sorti en 1982 sur Atari 2600, un titre à l’image des développeurs peu scrupuleux surfant sur l’aura d’une licence pour soutirer quelques deniers à des joueurs dans l’incapacité de s’informer correctement. Un échec cuisant qui poussa Atari à enfouir des milliers de cartouches (l’équivalent de 20 semi-remorques selon les témoignages) à Almogordo au Nouveau-Mexique

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Dès les premiers balbutiements du jeu vidéo, le Japon s’intéressa au phénomène alors que l’arcade dominait l’industrie. Aucune console de salon à disposition et des PC en PLS devant les performances requises pour faire tourner certains jeux forçaient les joueurs à se regrouper dans des espaces clos humant la clope froide et la salle de sport. Et les bornes d’arcade permirent à de nombreuses sociétés japonaises de mettre à contribution leur imagination. En 1978, Taito Corporation secoua le petit monde du stick avec Space Invaders, reconnu aujourd’hui comme le premier carton vidéoludique planétaire ; suivi en 1980 par l’arrivée d’un glouton tout de jaune vêtu, le bien nommé Pac-Man édité par Namco. Nintendo posa également les premières pierres d’un édifice encore intact en 2017 avec les succès de Donkey Kong et Galaga.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Cependant, le grand saut fut effectué en 1983 avec le lancement de la Famicom (Nes aux Etats-Unis et en Europe). Malgré des débuts difficiles, cette console de salon s’imposa au fil des mois, aidée par un catalogue de jeux sans pareil à l’origine d’icônes vidéoludiques connues de tous (Mario, Donkey Kong, Metroid, The Legend of Zelda, Dragon Quest). Concurrent de Nintendo depuis que le monde vidéoludique est monde, Sega, après avoir gagné ses lettres de noblesse sur bornes d'arcade, emboîta le pas de la Nes avec la Master System. Certes, cette console ne dépassa jamais les 11% de part de marché, mais certains jeux restèrent dans les mémoires à commencer par Alex Kidd in Miracle World, Phantasy Star et Wonder Boy III : The Dragon's Trap.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Seulement 4 ans s’écoulèrent lorsque la Megadrive poussa à la retraite son aînée. Sonic the Hedgehog, Streets of Rage, Ecco the Dolphin, The Revenge of Shinobi, Castle of Illusion starring Mickey Mouse… le magazine MegaForce… nombre de joueur furent marqués au fer rouge par cette éternelle devise “SEGA, c’est plus fort que toi” et ces titres devenus cultes. 7 ans après sa première invasion de l’espace familial, Nintendo offrit aux joueurs la Super Nintendo. Et le monde évolua au contact de cette nouvelle machine et de son catalogue de jeux pléthoriques. Super Mario Kart, Street Fighter II, Final Fantasy VI, Super Metroid, Super Mario World… toutes ces licences perdurent encore en 2017 et pour cause. Jeu de combat, de course, RPG… prirent leur envol au début des années 90’s. Le jeu vidéo gagnait alors en légitimité et se détachait de cette image de “jouet pour enfant”.

Le Japon fut à l’origine de l’émancipation du 10ème Art que ce soit par le gameplay, la narration, la technique, la dimension artistique et les compositions musicales. En ces temps reculés, les japonais guidaient le navire vidéoludique par le hardware et le software. Sega, Nintendo, Square… jeu vidéo rimait avec Japon tandis que l’occident se contentait de suivre tant bien que mal.

Gaming Live de Super Mario Kart

Les années Laser

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

A l’exception près du marché PC et des produits estampillés Rockstar, le Japon domina outrageusement le petit monde du jeu vidéo une décennie durant. Entre 1994 et 2005 avec les sorties successives de la Saturn et de la PlayStation (Sony) suivies en 1996 par la Nintendo 64, le Pays du Soleil Levant fit la pluie et le beau temps. Véritable standard pour toute l’industrie, le jeu vidéo japonais était synonyme d’innovation. Titres avant-gardistes repoussant les limites aussi bien techniques, artistiques que narratives, la production nippone tira vers le haut le jeu vidéo durant de nombreuses années. A cette époque, le coeur de l’E3 battait au rythme des annonces orchestrées par les grands studios et éditeurs japonais.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

En 1997, Gran Turismo bluffa la concurrence en touchant du doigt un photoréalisme à peine murmuré jusque-là sur PlayStation tandis que Final Fantasy VII fusionnait récit haletant, univers riche, gameplay complexe et réalisation sans pareil pour un résultat qui scotcha la presse et le public. Nintendo redessina également les contours du jeu de plateforme en transposant sa formule 2D dans un univers en 3D dans Super Mario 64. Et que dire si ce n’est MERCI une fois le nom de Hideo Kojima prononcé ? 1998/99, une date à jamais marquée par les aventures de Solid Snake dans le chef d’oeuvre Metal Gear Solid. Au-delà du simple aspect technique et ludique, le titre de Konami dévoila au monde une vision envore jamais vue du jeu vidéo. Nous aurions pu citer Resident Evil et son approche nanardesque du Survival-Horror ou encore les Final Fantasy VIII et IX… les titres japonais de qualité étant légion.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Console la plus vendue de tous les temps avec 157 millions d’unités, la PlayStation 2 écrasait la concurrence (Dreamcast - 1998, Gamecube - 2001, Xbox - 2001) sans débat possible. Lancée en 2000, la console de Sony rassemblait la crème de la crème des studios et des éditeurs autour de son monolithe noir. Et parmi ces créatifs figuraient bon nombre de compagnies japonaises qui encore une fois imposèrent leur tempo et leur vision du jeu vidéo. Le Beat'em All, genre écrasé entre le défilement horizontal et le Musô pur jus, reçut en offrande Devil May Cry édité par Capcom et sa vision “Dantesque” du jeu d’action gothique et nerveux. Morte prématurément dès 2002 la faute à une santé financière fébrile de SEGA, la Dreamcast eut tout de même le temps de révolutionner le marché du jeu vidéo. 2 titres en particuliers mirent une claque à l’ensemble de l’industrie. Shenmue (1999) se lança dans l’aventure Open World 2 ans avant Grand Theft Auto III et offrit aux joueurs un univers à la fois dense et réaliste dans lequel chaque PNJ avait une vie bien à lui. 1 an auparavant, la baston était à l’honneur sur la console de SEGA. SoulCalibur édité par Namco asséna une monumentale tarte à la concurrence de par ses graphismes à couper le souffle et son gameplay n'ayant pas pris une ride au point de recevoir la note parfaite sur IGN et GameSpot. Quant à Metal Gear Solid 2 : Sons of Liberty, il repoussa la notion même de mise en scène sans jamais oublier de peaufiner la réalisation.

10 ans de domination sans partage ou presque sur consoles de salon et portables avec des titres cultissimes joués encore aujourd’hui et remasterisés en HD pour le plus grand plaisir des fans. L’ère PS1/PS2 fit du Japon le centre du monde vidéoludique de par la présence de l’ensemble des constructeurs (à l’exception de Microsoft) dans l’archipel et d’une multitude de studios dont la créativité et les compétences techniques les déposèrent sur le toit du monde.

Gaming Live de Shenmue

A l’ouest rien de nouveau ?

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Il est aisé de penser que l’occident s’est laissé emporter par la vague japonaise sans réagir, mais ce serait occulter sa domination du marché PC et la production de petites perles qui ébranlèrent la certitude de voir le Japon asseoir son hégémonie sur le jeu vidéo pour les 10 ans à venir. En 2001, la Xbox débarqua sur le marché affublée d’un X vert et accompagnée d’un FPS futuriste qui mit à mal certaines idées préconçues. Halo : Combat Evolved témoignait du savoir-faire du studio Bungie et transposait le jeu de tir à la première personne avec brio tout simplement.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Cette mainmise occidentale sur le PC débuta à l’orée des 90’s avec plusieurs studios américains, à commencer par LucasArts et ses jeux d’aventure 2D. Monkey Island (1990), Indiana Jones and the Fate of Atlantis (1992), Full Throttle (1994)... le studio imposa son style et définit le Point'n Click tout en renouvelant constamment sa propre vision du genre avec, à titre d’exemple, Grim Fandango (1998). Doom (1993), Quake (1996), Half-Life (1998)… le FPS permit à id Software et Valve de s’émanciper. Le FPS devint ainsi le fer de lance du jeu vidéo à l’Ouest au même titre que le jeu de stratégie avec l’éditeur Blizzard Entertainment lançant coup sur coup Starcraft (1995) et Warcraft : Orcs & Humans (1998), deux titres qui s’imposèrent et écrirent noir sur blanc les règles du STR moderne.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Exception qui confirme la règle par excellence, Rockstar déjoue tous les pronostics et se balade sans pression sur un marché pourtant concurrentiel. Depuis la sortie de Grand Theft Auto 3 et le succès qui suivit, l’éditeur vit sur un petit nuage. Monde ouvert laissant libre court à l’imagination fertile des joueurs, véritable bac à sable libertaire, GTA 3 propulsa l’occident sur le devant de la scène. Max Payne du studio Remedy ne fit qu’enfoncer le clou en 2001 de par son gameplay nerveux, ses personnages charismatiques et cette plume adulte narrant la déchéance d’un anti-héros. Et God of War du studio SCE Santa Monica paracheva la montée en puissance de l’Ouest en 2005. Les aventures de Kratos déchaînèrent les passions de milliers de joueurs, démontrant qu’avec du savoir-faire le chef d’oeuvre est à portée de mains.

Motivé par les succès répétés de nombreux jeux, les studios occidentaux quittèrent la 6ème génération de consoles auréolés de leurs récentes victoires et déboulèrent tels des morts de faim sur PlayStation 3 et Xbox 360.

Gaming Live de Max Payne

L’occident contre-attaque

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

L’arrivée de la 7ème génération de console a sonné le glas du jeu vidéo “made in Japan”. En 2005, Microsoft lança la Xbox 360. Un an plus tard, Sony répliquait avec la PlayStation 3 et son lecteur Blu-ray. Spécificité de ces machines, une résolution HD et des performances telles que la création de monde ouvert était facilitée. Et la combinaison des facteurs cités ci-dessus eut raison des studios japonais incapables d’effectuer cette transition. Autrefois à la pointe de la technologie, les jeux japonais eurent les plus grandes difficultés à se maintenir au niveau. Face aux productions de Naughty Dog, Bungie, Rockstar, Crytek… les studios nippons ne purent que constater les dégâts et l’écart creusé en l’espace de quelques années.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Uncharted : Drake's Fortune et Batman Arkham Asylum (jeu d’aventure), Dead Space (survival-horror), Gears of War (TPS), Call of Duty 4 : Modern Warfare et Bioshock (FPS), Grand Theft Auto IV et Far Cry 3 (Open World), Heavy Rain et Beyond : Two Souls (expérience narrative), The Elder Scrolls V : Skyrim et Mass Effect (RPG)... des dizaines et des dizaines de titres marquèrent cette génération de console et poussèrent le jeu vidéo à se surpasser. Par la plume avec The Last of Us, par la maîtrise des mondes ouverts dans Red Dead Redemption, par le photoréalisme des visuels de Forza Motorsport 2, le 10ème Art brisa les chaînes qui l’entravait et s’autorisa à voir plus loin, plus grand, plus beau. Malheureusement, les carences techniques des titres japonais les empêchèrent de prendre le train en marche et ils accumulèrent ainsi un retard en définitive préjudiciable. Loin d’être précurseur, le Japon courrait après un passé révolu tandis que les standards occidentaux dominaient le marché et l’industrie, les studios japonais allant jusqu’à imiter les jeux de la concurrence avec pour résultat de pâles copies.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Durant cette période, certains créatifs surent tirer leur épingle du jeu et innover envers et contre tout. Réalisation 2D aux petits oignons et contexte adulte/dérangé, Catherine du studio Atlus surprit son monde en 2011, tout comme le studio Platinum Games en 2009 et sa sorcière over the top Bayonetta mise en scène dans un Beat’em All nerveux et coloré piochant dans le savoir-faire japonais pour créer une oeuvre atypique. Et la liste des titres méritant le détour ne s'arrête pas là. Jeu d’aventure (la série des Yakuza), Action RPG (la saga Dark Souls), jeu de combat (Dead or Alive 5), jeu d’action/infiltration (Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots), J-RPG (Final Fantasy XIII)... l’industrie japonaise fut prolifique, mais le constat resta dramatiquement le même. L’occident possédait encore et toujours une longueur d’avance à ce moment-là.

Gaming Live de Metal Gear Solid IV

L’histoire est un éternel recommencement

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Nouvelle génération de consoles, nouveaux enjeux. 4K, HDR, réalité virtuelle… les arrivées de la Wii U en 2012, de la PlayStation 4 et de la Xbox One fin 2013 redistribuèrent partiellement les cartes. Conscient du retard accumulé au cours des années PS3/Xbox 360, éditeurs et studios japonais se focalisèrent sur les consoles à venir quitte à délaisser le présent au profit du futur. Et ce pari risqué, à l’heure où le moindre report coûte des millions, paya ses fruits. L’excellent Final Fantasy XV résume parfaitement cette prise de risque. Projet rebooté puis reporté à plusieurs reprises, ce nouveau Final Fantasy fut une résussite aussi bien critique que commerciale. Avec ce nouvel épisode, Square Enix retrouva l’aura des productions japonaises d’envergure et cela laisse présager du meilleur pour l’avenir. L’intérêt des joueurs pour le jeu vidéo japonais s’était estompé au point d’en devenir anecdotique, mais l’E3 2015 raviva la flamme. Les annonces de Shenmue III, Final Fantasy VII Remake et The Last Guardian (arlésienne devant l’éternel) suffirent à pointer les projecteurs sur la production japonaise et à réveiller le fan endormi. Trois jeux attendus depuis des lustres furent révélés lors d’une conférence Sony qui restera dans les mémoires.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Dès 2015, Konami mit le pied à l’étrier. Metal Gear Solid V : The Phantom Pain créait la sensation et prouvait au monde entier que narration, monde ouvert et action s’accordaient à merveille sous les ordres de Hideo Kojima. Et 2016 poursuivit sur cette lancée. Du mémorable The Last Guardian à l'explosif Dragon Ball Xenoverse 2 de Bandai Namco en passant par le sanglant Dark Souls III et le féérique World of Final Fantasy, les fans reçurent leur lot de jeux de qualité en provenance du Japon. Sans avoir à rougir de la concurrence, bien au contraire, studios et éditeurs firent tout ce qui était en leur pouvoir pour offrir aux fans des titres aboutis. D’un point de vue technique, gameplay, artistique… les jeux vidéos japonais sortirent grandis de leur traversée du désert et abordent sereinement cette nouvelle ère vidéoludique à l’image de Resident Evil 7 renouant avec la peur et l’angoisse des premiers opus ou encore Nioh, un action-RPG tranchant à souhait. Il suffit pour cela de comparer les titres majeurs des dernières années avec ceux prévus pour 2017. NieR Automata, Persona 5, YYakuza Extreme, Shenmue 3, The Legend of Zelda : Breath of the Wild, Super Mario Odyssey et j’en passe… les prochains mois seront à l’effigie du Japon.

2017 sonnera le retour au premier plan du jeu vidéo japonais

Au-delà des fans de J-RPG et autres amoureux transis du Japon, le joueur de jeu vidéo était en droit de se languir devant le manque de titres de qualité issus des écuries nippones. Après avoir dominé le milieu près de 20 ans, le Pays du Soleil Levant a cédé sa place à l’Occident. Mais l’industrie vidéoludique japonaise n’a pas dit son dernier mot. 2016 fut un excellent cru et 2017 s’annonce comme l’année du renouveau. En tant que fan et joueur, je croise les doigts avec conviction.

Commentaires
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Xmb-57 Xmb-57
MP
Niveau 43
le 27 mars 2017 à 03:21

Je trouve ce débat extrêmement intéressant en tant que joueur et passionné de jeux vidéos.

C'est vrai que durant l'ère PS3 et Xbox 360, l'occident a agit comme un rouleau compresseur par rapport aux jeux japonais. Les mécaniques de gameplay, les moteurs de jeu et les systèmes de visé et de couverture étaient très loin devant les jeux nippons à l'exception d'un dénommé Resident Evil 4 qui à l'inverse à inspiré de nombreux studios occidentaux. Les MGS ont également révolutionné l'industrie au niveau des mécaniques de jeu et de la narration.

La firme étoilé 🌟 détient un savoir-faire qu'aucun autre studios au monde ne peut encore prétendre à l'heure actuelle. Ok ils bossent comme des fous et sont archi-nombreux, beaucoup le savent mais beaucoup de studios japonais et occidentaux bossent aussi comme des dingues et pourtant ils n'égalisent en rien les jeux Take2K. Rock🌟 possède ou détient un secret qu'aucun autre studio ne doit connaître à mon humble avis :( !?

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