Vous connaissez sans doute Kevin Spacey, l'acteur de talent qui s'est déjà exporté l'année dernière sur Call of Duty : Advanced Warfare en tant que bad guy ultime. Et bien sachez que l'homme n'en reste pas là concernant sa relation avec le domaine du multimédia et du secteur vidéoludique...
C'est lors d'une conférence à Brisbane, qui s'est tenue la semaine dernière que l'acteur s'est rapproché officiellement du milieu de la réalité virtuelle. Dans des propos rapportés par le site spécialisé RoadtoVR, il déclare :
Beaucoup des problèmes survenus aux débuts des développements sont désormais résolus. Il est temps pour les créateurs de contenu de produire sur cette technologie.
Kevin Spacey dans le rôle du bad guy d'Advanced Warfare
Soutien public et financier
En parallèle, le site dédié aux actus financières AFR nous apprend que l'homme a investi, à montant inconnue, dans la start-up WoofbertVR, spécialiste de la création virtuelle dédiée aux espaces d'exposition d'art. Musées, galeries, exposition, la vocation de l'entreprise est de pouvoir amener l'art à tous, que vous soyez à la maison, au bureau, ou même en classe.
L'homme, qui avait déjà pris des risques avant 2012 en s'associant à Netflix pour House of Cards alors que personne ne voulait de son projet sans voir de pilote, réitère là sa démarche en misant sur la réalité virtuelle, bien conscient qu'un appui de leader d'opinion est nécessaire pour la pérennité d'une technologie ambitieuse. Il estime par ailleurs que l'une des places-clé pour la VR se trouve dans les salles de classe :
La salle de classe n'a pas changé depuis plusieurs dizaines d'années. Imaginez juste que vous soyez capable de rapidement porter un casque qui vous permette d'apprendre vos leçons sur le Pacifique tout en y étant virtuellement, que vous soyez matérialisé à Gettysburg pour vous renseigner sur la Guerre de Sécession, ou encore sur l'estrade du Globe (ndlr : le fameux "théâtre de Shakespeare") au 17ème siècle, à donner la réplique aux comédiens.