Carnbee a pu tester Project Resistance, avec d'autres journalistes français à Londres. Il revient dans le Journal sur sa session, ce qu'il a apprécié, et ce qui le fait douter.
Project Resistance a beau se dérouler dans l'univers de Resident Evil, à Racoon City, chronologiquement situé entre Resident Evil 2 et Resident Evil 3, il ne s'agit pas là d'un nouvel épisode de la franchise, Capcom tient à le rappeler. Non, Project Resistance n'est pas non plus un Left 4 Dead-like. On parle bien ici de jeu de zombie en coopération, mais ce qui fait du titre un jeu à part c'est son gameplay asymétrique. Quatre joueurs se réveillent dans une salle, et doivent s'échapper en traversant trois zones en moins de cinq minutes. Leur obstacle : un cinquième joueur, dans le rôle de maitre du jeu, qui tente de les empêcher de le faire dans le temps imparti. Il aura à sa disposition divers moyens d'arriver à ses fins, en bloquant des portes, en prenant la possession du corps d'un zombie, en invoquant le terrible Mister X ... En face, les survivants ont chacun des compétences particulières, comme celle de désactiver les caméras pendant un moment, de soigner ses coéquipiers, de faire beaucoup de dégâts ...
Si le jeu séduit par son concept, le constat est le même que pour quasi tous les jeux à gameplay asymétrique : un énorme souci d'équilibrage. Raison pour laquelle Capcom lancera une bêta ouverte du 4 au 7 octobre, afin de récolter des informations sur la façon de jouer des joueurs, et tenter de corriger cela. Car pour l'instant, seul le maitre du jeu s'amuse vraiment.
Project Resistance n'a pas encore de date de sortie, mais devrait sortir sur PC, PS4 et Xbox One.