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Sujet : L'émotion, l'ennemi circonstanciel du partage et de l'avancée du savoir ?

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Ywokks Ywokks
MP
Niveau 2
20 avril 2024 à 08:32:29

J'adore penser, divaguer, conscientiser de longs moments, et surtout j'adore m'exprimer aux autres, partager mes pensées.

Toutefois le jugement, le stresse et l'angoisse des gens et toutes les émotions humaines négatives me poussent parfois à me renfermer sur moi-même, à me taire, voire à arrêter de penser, ou plutôt à arrêter de penser sur certains sujets car au fond je n'ai pas envie de faire du mal ou me faire mal, que sais-je ?

Que faire ? Dois-je m'efforcer d'apprendre aux gens à se libérer de ces émotions ou alors me plier à ce civisme sociétal nécessaire à l'ordre et au bon fonctionnement de la société ?
Comment choisir, est-ce vraiment une bonne chose que d'accepter de se freiner individuellement pour ne trop perturber la chimie émotionnelle des gens ?

C'est comme-ci, le progrès, l'utopie et l'aspiration s'heurter à la réalité sociétal, comment évoluer dans une société que ne cesse de se limiter en raison de l'émotion humaine qui parfois manque d'intelligence, de profondeur et de raisons, alors même que l'émotion peut tout-à-fait être raisonnable et justifier, c'est d'ailleurs un outil formidable mais à double tranchant.

Bref, au final qu'est-ce que le vrai bien ? Respecter l'intégrité émotionnelle des gens ou ignorer leurs tourments, quitte à faire mal aux gens mais en voulant faire le bien sur une échelle bien plus grande, car c'est cela chercher le sens et conscientiser.

La société se heurte à se dilemme, ceux faisant le choix de continuer de penser sans faire mal aux gens, décident dès lors de s'éloigner de ces personnes car les émotions négatives annihilent toutes cohabitations entre les individus qui ne veulent pas penser et conscientiser ou qui ne supportent pas la divergence de pensée.
Sinon ceux qui se refusent à fuir n'ont d'autres choix que la confrontation vecteur d'émotions négatives ou alors au silence hypocrite, on se met à fréquenter des gens et on s'évertue à ne pas les brusquer et à les sortir de leur confort existentiel. Or quand on a encré en soit la valeur que l'on se fait du bien, de la bonté et de la gentillesse, il est difficile d'aller vers la confrontation.

Au fond Machiavel a-t-il raison ? La fin justifie-t-elle les moyens ? Doit-on d'accepter de faire du mal dans en premier temps à l'émotion des individus pour défendre sa vision du bien ? Si les gens sont si effrayés à cette idée de la pensée désinvolte, c'est à cause des tyrans ou d'un certain Adolphe, qui ont nom de leur vision du bien on fait bien du mal, cependant ces gens oublient que ces tyrans eux-mêmes n'ont pas heurter les émotions des gens par des pensées mais par des actes.
Et défendre la pensée ne signifie nullement vouloir que la pensée se doit d'être imposé et concrétisé, le registre de la pensée n'a nulle nécessitée politique. C'est uniquement un idéal de la quête de Platon que de penser et de chercher la vérité, toutes pensées ne sont certes pas bonnes, mais venir bloquer le fait même de penser et un mal bien plus grand car il empêche aussi les bonnes pensées d'émerger. Au contraire il faudrait pousser les gens à penser davantage, c'est ainsi que l'on change.

Les gens utilisent trop de la pensée négative dans l'espoir de changer les gens, alors que bien souvent cela à l'effet inverse, les gens se brusquent et se radicalisent, or pour peu qu'eux mêmes fonctionnent comme eux, ils leurs seront alors difficile de changer et de revenir sur leurs positions sans évènements qui les forceront à changer. Alors que si ils avaient plutôt également usés de la pensée et de la rationalité sans aucune once d'émotions négatives, cela aurait moins été le cas.

Comment apprendre aux gens à accepter le fait même de penser à tout et de tout conscientiser sans que l'émotion négative vienne tout gâcher ? Les gens confondent le fait d'exprimer un désaccord, une divergence d'opinions, ou même une simple envie de ne pas conscientiser, avec le fait d'être nécessairement dans la toxicité et l'animosité émotionnelles. Ils n'arrivent pas à ne pas véhiculer d'émotions négatives et toxiques destructrices pour la créativité du tissu de la pensée. Ils ne peuvent pas s'empêcher de faire taire ceux qui les dérangent.
Bref, je me demande si au final être aux yeux des ignorants, des obtus et des intolérants, être un connard n'est-t-il parfois pas le plus grand bien ?

Ywokks Ywokks
MP
Niveau 2
20 avril 2024 à 10:00:27

Que je sois clair sur le sujet, :
Il s'agit de tout, toutes pensées qui ne se disent pas, toute absence du partage de la pensée intérieure, toute introversion.
Tout ce qui fait qu'une personne pensant une chose, va se taire (évidemment à l'exception des endroits et des circonstances où le silence est de mise)
Ce que je témoigne, c'est vraiment le pouvoir paralysant qu'a l'émotion négative. Bien qu'en soit même l'émotion positive est un danger avec son confortement idéologique et ses absences de remises en causes
Mais chaque fois que l'émotion est, la pensée se retrouve comme déterminée, étouffée ou oubliée.

La pensée perd un peu de son authenticité voire se meure
N'essaye pas de présupposer un sujet spécifique, je parle vraiment de manière générale

Comme par exemple, le fait de partager son goût pour quelque chose, ou sa manière de conceptualiser un sujet, et tout ce qui par le fait que l'interlocuteur en face de nous est pré supposément différent de nous, va nous pousser à nous taire

Message édité le 20 avril 2024 à 10:00:58 par Ywokks
LitDuCrous6 LitDuCrous6
MP
Niveau 12
22 avril 2024 à 21:44:24

J'ai pas compris grand chose à ton message mais j'ai l'impression que t'es en train de justifier que t'as pas les couilles d'assumer ce que tu penses et que tu te caches derrière des élucubrations. :hap:

commando007 commando007
MP
Niveau 25
25 avril 2024 à 06:19:22

Les gens en générale aime la tranquillité, la routine, se divertir devant des séries télé, des jeux vidéos. On cherche normalement tous le confort, le plaisir et la sécurité avant tout. C'est pas tout le monde qui aime réfléchir sur l'existence, la politique, les problèmes dans le monde ou qui ont le degré d'ouverture que tu pourrais chercher pour tes discutions philosophiques poussées. Tu peux faire le connard et insister, ça ne mènera à rien. Il faudrait mieux t'entourer. Discuter avec des gens qui partage ton intérêt pour les grandes réflexions.

Si c'est le simple fait de dire le fond de ta pensé à quelqu'un, avec la peur de lui suscité des émotions négatives, alors à toi d'évaluer la pertinence et la nécessité de le faire. Si c'est pour "ton" ou "son" bien alors je te dirais de le faire, mais bon ça dépend des circonstances… Parfois, se taire est la bonne choses à faire.

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