Que pensez-vous de cette citation ? Cela mérite d'être cannonisé, n'est-ce pas ?
Le 12 avril 2024 à 21:30:47 :
Que pensez-vous de cette citation ? Cela mérite d'être cannonisé, n'est-ce pas ?
Non ça a l'air nul ...
Le voeu de la mort ? Rien compris.
Le bonheur de la vie ? Le bonheur c'est un concept pas forcément très riche mais lui accoler "la vie". J'ai l'impression que ça veut rien dire ton truc. Tu entends quoi là dedans toi ?
Pour expliquer mon combat, il faudrait d'abord que vous le partagiez. J'ai toujours été contre les gens qui cherchent à dire que fou est celui qui croit, alors que fou est celui qui ne croit que pour soi.
Fou confirmé.
Fou confirmé.
,,, tu vois comme c'est facile.
Si tu crois que je suis fou pour la seule raison que tu n'es pas d'accord, c'est forcément que tu ne penses pas, puisque j'existe.
Serais-tu pret à dire que je n'existe pas ? Qui est le fou entre nous deux ?
Ce n'est pas que tu es fou, mais plutôt que tu n'es pas clair.
Les mots que tu choisis pour exprimer tes idées font sens à tes yeux, pas aux notre. Essaie de préciser ta pensées, veux tu ?
Qu'est ce que le "veux de la mort"
Qu'est ce que le "bonheur de la vie"
Merci.
Alors voici...
Lorsque nous sommes forts, nous acceptons le caractère mortel du projet de la vie, et nous libérons notre mort et notre amour de la mort et de l'amour, de sorte que le voeu de la mort devient supérieur en influence de la raison que notre peur de mourir.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons peur, mais que pour cultiver notre raison, il faut obligatoirement accepter cette peur, non la rejeter. En d'autre terme, pour vivre, il faut du courage à l'endroit de la mort, non du refus d'y croire.
Être ami avec la mort, c'est aimer la vie, non la détruire. Il faut être courageux pour mériter d'être connu, et comme la mort toujours existera, il faut accepter la mort pour vivre et mérité la reconnaissance que procure le courage.
Donc, le message n'est pas : soyez comme moi, mais plutôt : être juste avec les autres, c'est s'en inspirer. Pour s'inspirer d'autrui, il faut croire en un « nous », non en un « soi ». Donc, croire en soi, c'est croire en sa propre mort, non en celle de l'autre.
Il faut savoir le voeu de la mort pour faire le bonheur de la vie.
Être courageux, c'est croire en soi, non pas en la mort de l'autre, mais en sa propre mort. Il faut donc le voeu de cette mort pour être courageux et il faut être courageux pour atteindre le bonheur de la vie, non pas en un « soi », mais en un « nous ».
En gros, il faut travailler pour le bonheur de l'autre pour atteindre son propre bonheur, car c'est à travers l'autre que nous devenons immortels. Donc, pour devenir immortel, il faut accepter sa propre mort, non la rejeter pour devenir immortel. Et être immortel, donc, c'est faire le voeu de sa propre mort tout en atteignant un bonheur certain. C'est à travers le postérité qu'il faut croire la vie, non pas en devenant immortel physiquement ou en désirant le devenir qu'on atteind le bonheur de la vie.
C'est plus clair comme ça ?
Cela veut aussi dire qu'il faut croire en l'au-delà pour être heureux, tout simplement.
Personne n'échappe à la mort, que tu l'acceptes ou non.
Être bien avec l'idée de mourir peut faire en sorte que tu sois plus serin et même plus heureux.
Mais faire le vœux de la mort pour moi, ça sonne comme vouloir mourir, aller jusqu'à le souhaiter. Si c'est le cas c'est que tu n'apprécies pas la vie.
J'aime la vie et il n'y rien de plus important dans mon soi. Être juste, c'est reconnaître le nous. Être juste, c'est reconnaître le nous avec le temps, et non seulement avec le nous. Continuer, c'est pardonner l'autre de sa mortalité, si il y a à pardonner, et vouloir vivre non-pas comme l'autre, mais avec l'autre. En d'autres mots, la vie se partage dans la vie, non de la mort.
Le 06 mai 2024 à 16:26:29 :
J'aime la vie et il n'y rien de plus important dans mon soi. Être juste, c'est reconnaître le nous. Être juste, c'est reconnaître le nous avec le temps, et non seulement avec le nous. Continuer, c'est pardonner l'autre de sa mortalité, si il y a à pardonner, et vouloir vivre non-pas comme l'autre, mais avec l'autre. En d'autres mots, la vie se partage dans la vie, non de la mort.
Le "nous" dont tu parles c'est la société et "dans le temps" c'est pour les nouvelles générations j'imagine. Et bien la seule façon de "partager la vie" c'est de participer à la perpétuité de l'espèce en créant sa progéniture. En partant de là, tu partages la flamme qui illumine ta lanterne pour en illuminer une autre… Je te laisse décider si propager le feu en mettant au monde un petit être dans la réalité d'aujourd'hui est vertueux ou égoïste.
Partager la vie au sens "vivre en communauté" ne veut dire que suivre les règles de société. La plupart le font très bien.
On vit en collectivité, on meurt seul.
Le 07 mai 2024 à 02:49:46 :
Le 06 mai 2024 à 16:26:29 :
J'aime la vie et il n'y rien de plus important dans mon soi. Être juste, c'est reconnaître le nous. Être juste, c'est reconnaître le nous avec le temps, et non seulement avec le nous. Continuer, c'est pardonner l'autre de sa mortalité, si il y a à pardonner, et vouloir vivre non-pas comme l'autre, mais avec l'autre. En d'autres mots, la vie se partage dans la vie, non de la mort.Le "nous" dont tu parles c'est la société et "dans le temps" c'est pour les nouvelles générations j'imagine. Et bien la seule façon de "partager la vie" c'est de participer à la perpétuité de l'espèce en créant sa progéniture. En partant de là, tu partages la flamme qui illumine ta lanterne pour en illuminer une autre… Je te laisse décider si propager le feu en mettant au monde un petit être dans la réalité d'aujourd'hui est vertueux ou égoïste.
Partager la vie au sens "vivre en communauté" ne veut dire que suivre les règles de société. La plupart le font très bien.
On vit en collectivité, on meurt seul.
C'est très vrai. Merci.