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Sujet : Avez-vous peur de la mort ?

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commando007 commando007
MP
Niveau 25
29 avril 2024 à 02:31:41

Le 29 avril 2024 à 00:13:50 :

Donc crois tu en une vie après la mort? En es-tu sur ou tu doutes?

Je crois en la vie éternel, mais ne me demande pas de te décrire ce qu'elle sera. Je ne peux concevoir le "rien" que les athéistes préconise et je ne comprends pas que eux sont convaincu de venir de nul part en allant vers la fin qui serait nul part…

Je ne doute pas de la vie après la mort, je doute de ce qu'elle représente pour moi (enfer, paradis, symbiose cosmique (unicité avec l'univers/Dieu) ou tout simplement un état fantomatique errant sur terre entre les dimensions etc...) Je sais juste que mon esprit ne se perdra pas, car je suis convaincu qu'il n'est pas lié à mon corps. Mon corps est un support physique stockant de l'information, générant ce qui me définira aux fil du temps, un outil, un bien et un mal nécessaire à la fois.

Mon corps qui faillira et déclinera, par la maladie ou la vieillesse, l'apparence de ma démence sera comme si mon instrument s'encrasserait, mais je connaitrai toujours la mélodie au fond de moi. On est en construction, en croissance et je ne parle pas du corps. L'esprit c'est comme un embryon dans un œuf. Quand mon âme quittera ma coquille, je serai enfin libre. C'est du moins ce que je crois profondément, c'est le plus sensé à mes yeux. Tout plutôt que rien.

Message édité le 29 avril 2024 à 02:33:28 par commando007
commando007 commando007
MP
Niveau 25
29 avril 2024 à 05:52:25

Les athées me posent souvent la question: "Te souviens tu de la vie avant ta naissance? non? alors ça sera cela après la mort. voila le néant dont on parle"

Je leur réponds que mes premiers souvenirs arrivent vers l'âge de 3 ans. Que mon existence entre le moment de ma naissance et ces 3 ans reste avéré. J'ai eu du plaisir, de la peine et de la souffrance et cela même si je ne m'en souvient plus. Au même titre qu'une vielle femme atteint d'Alzheimer se croit en l'an 1960 et qu'elle ne reconnait plus ses enfants, ses enfants ne cessent pas d'exister pour autant…

  • Est-ce que ma conscience s'est formé à l'âge de 3 ans? Non…
  • Est-ce que dans le ventre de ma mère j'avais conscience de la chaleur, de la voix de ma mère? Oui.
  • Est-ce que ma conscience rejoint mon corps/fétus ou c'est mon corps qui crée ma conscience?

Sur cette dernière question je crois que c'est évident. Je vais utiliser le langage informatique pour décrire une ressemblance. La conscience est le "software" et le corps le "hardware". On crée d'abords le support physique (corps/cellules) , pour ensuite y inséré le programme (conscience/esprit). Donc la conscience rejoint le corps lorsque que ce dernier est apte à l'accueillir.

Elle en est indépendante. Pour preuve, une personne dans le coma, totalement guérie physiologiquement d'un traumatisme crânien et qui reste comateux malgré tout n'est plus conscient. Car la conscience est partie ailleurs. Il ne reste que le corps avec tous ses sens intactes. Une coquille vivante, mais vide. Donc la conscience, c'est plus que le "courant électrique" qui nous anime…

Message édité le 29 avril 2024 à 05:53:19 par commando007
commando007 commando007
MP
Niveau 25
29 avril 2024 à 17:18:07

En gros mes points sont:

  • Ne pas se souvenir ne garantis pas la non existence, que ce soit durant l'enfance, suite à un trauma, un abus d'alcool ou une maladie. J'y inclus même ce qu'il y a avant notre naissance (ce néant que l'on semble accepter et nous référer pour décrire notre futur état après la mort).
  • Que la conscience n'a pas besoin de se souvenir pour être.
  • Que le cerveau est une sorte de "transmetteur" et une fois endommagé/altéré peut changer les facultés d'un individu.
  • Donc une personne peut avoir des souvenirs altérés/incomplets voir imaginés/faussés.
  • J'inclus la maladie mentale également et les psychoses, qui change la perception de la réalité, allant même jusqu'à créer des choses que toi seul peut voir ou entendre.

Mon constat saurait de dire que la conscience est en relation avec la réalité, mais n'en est pas dépendante pour autant. Si l'esprit peu décoder la réalité grâce à ses sens et au cerveau, qu'est-ce qui explique que ce dernier puisse outrepassé la réalité en générant des hallucinations de toute sorte chez les schizophrènes?

Message édité le 29 avril 2024 à 17:21:31 par commando007
Pseudo supprimé
Niveau 15
29 avril 2024 à 22:33:20

Le 28 avril 2024 à 19:44:27 :

Le 28 avril 2024 à 14:44:55 :

Vaut simplement mieux être constructif que destructif, comme la religion t'a été salvatrice alors que tu contemplais ta propre destruction. Mais les gens raisonnables vivent avec le déni, et les moins raisonnables sont plus proches de folies autodestructrices. Bref, oui il y a du beau, et bien que vivre est pénible par moment, on trouve des jouissances çà et là qui nous pousse à ne pas remettre en question son existence et continuer, jusqu'à ce que ça s'arrête.

Mais j'vais nuancer : je n'ai pas peur de la mort, mais je ne veux pas mourir maintenant, ou demain, ou avant un certain âge. Dans le concret, du moment que j'ai assez de vigueur pour jouir un peu de ma vie, je préfère encore exister. J'connais rien de mieux de toute façon, et si c'est mieux "après", ça viendra inévitablement.

En attendant... :play:

Merci de ta réponse, mais j'aurais aimer un peu plus de sincérité ou l'alors tu es agnostique et non athée comme je l'aurais souhaité. Mon message s'adressait principalement au gens qui crois en rien, pas même à la supposition qu'il y ai une vie après la mort. Crois moi, je ne suis pas religieux pratiquant et j'ai mes doutes aussi, je suis plus agnostique que catholique.

Quand tu prétend ne pas avoir peur de la mort, mais que tu repousses sont état inévitable, ou le "prépare" pour lorsque tu seras assez vieux ou avec moins de vigueur et que tu l'accepteras enfin, je trouve que c'est inconsistant avec la finalité. Continuerais tu à faire ton château de sable si je le détruisais au fur et à mesure à l'infini? Ou est la construction si tout se fait détruire?

L'indifférence c'est facile, subir c'est facile, agir c'est plus complexe.

Mais bon, peut-être une partie de toi croit que la vie après la mort est une possibilité et qu'il te reste un espoir de ne pas vivre en vain. Sans y croire dur comme fer.

Exister a pour moi plus de sens que de ne pas exister, même si c'est une existence passagère, vaine, sans Dieu, sans idées de post-existence à la vie. C'est pour cette raison que je me dis athée.

Et je ne "prépare" rien, en fait : je vis jusqu'à ma mort, en ne mettant pas fin prématurément à mon existence. La fin viendra, et ça ne me fait pas peur en soi, ni la perspective de ne plus exister, ou de vivre que pour quelque chose qui ne dure pas.

En vérité, cette perspective de fin m'apaise.

Message édité le 29 avril 2024 à 22:36:14 par
commando007 commando007
MP
Niveau 25
29 avril 2024 à 22:51:53

Le 29 avril 2024 à 22:33:20 :

Exister a pour moi plus de sens que de ne pas exister, même si c'est une existence passagère, vaine, sans Dieu, sans idées de post-existence à la vie. C'est pour cette raison que je me dis athée.

Explique moi alors pourquoi tu continues quelque chose de vain? N'as tu aucun espoir?
Je ne crois pas que tu considère ta vie comme vaine, et c'est pourquoi tu dois y voir un sens quel qu'onc non ?
Si je me trompe, alors faudra que tu m'expliques l'utilité de vivre si tu fini en ne te souvenant plus de rien, que tout ce que tu construis disparaitra. La passivité?

Et je ne "prépare" rien, en fait : je vis jusqu'à ma mort, en ne mettant pas fin prématurément à mon existence. La fin viendra, et ça ne me fait pas peur en soi, ni la perspective de ne plus exister, ou de vivre que pour quelque chose qui ne dure pas.

Je ne peux que te croire sur parole alors, personnellement, ça m'a prit un certain temps pour me préparer, me faire à l'idée qu'un jour je vais mourir et considérer ce que ça impliquerait pour mon être quel qu'il soit.

En vérité, cette perspective m'apaise. Pas au point de vouloir en finir comme une personne en proie à des idées autodestructrices, mais au point que ça finisse à un moment donné, oui absolument.

D'accord, je comprends. J'imagine que moi aussi j'aurais le même ressentis. Ça m'apaiserait de quitter ce monde en étant convaincu de finir dans le néant. Qu'il y est une vie après la mort me cause plus de traquas que d'autre chose. Le fait d'être juger, le fait de devoir quelque chose a un être supérieur etc...

Pseudo supprimé
Niveau 15
30 avril 2024 à 10:23:08

Le 29 avril 2024 à 22:51:53 :

Le 29 avril 2024 à 22:33:20 :

Exister a pour moi plus de sens que de ne pas exister, même si c'est une existence passagère, vaine, sans Dieu, sans idées de post-existence à la vie. C'est pour cette raison que je me dis athée.

Explique moi alors pourquoi tu continues quelque chose de vain? N'as tu aucun espoir?
Je ne crois pas que tu considère ta vie comme vaine, et c'est pourquoi tu dois y voir un sens quel qu'onc non ?
Si je me trompe, alors faudra que tu m'expliques l'utilité de vivre si tu fini en ne te souvenant plus de rien, que tout ce que tu construis disparaitra. La passivité?

Et je ne "prépare" rien, en fait : je vis jusqu'à ma mort, en ne mettant pas fin prématurément à mon existence. La fin viendra, et ça ne me fait pas peur en soi, ni la perspective de ne plus exister, ou de vivre que pour quelque chose qui ne dure pas.

Je ne peux que te croire sur parole alors, personnellement, ça m'a prit un certain temps pour me préparer, me faire à l'idée qu'un jour je vais mourir et considérer ce que ça impliquerait pour mon être quel qu'il soit.

En vérité, cette perspective m'apaise. Pas au point de vouloir en finir comme une personne en proie à des idées autodestructrices, mais au point que ça finisse à un moment donné, oui absolument.

D'accord, je comprends. J'imagine que moi aussi j'aurais le même ressentis. Ça m'apaiserait de quitter ce monde en étant convaincu de finir dans le néant. Qu'il y est une vie après la mort me cause plus de traquas que d'autre chose. Le fait d'être juger, le fait de devoir quelque chose a un être supérieur etc...

La vie est probablement un jeu. Vivre signifie d'être actif, d'activement créer du sens sur du non-sens, comme avec ton château de sable qu'on construit et reconstruit. Sinon, la passivité, c'est de ne rien construire du tout, de glander ou de se diriger vers la mer jusqu'à la noyade (en imaginant que l'allégorie se situe sur une plage). Déjà, ce dernier n'est sans doute pas fait dans l'esprit du jeu, quoique pas à l'encontre de ses règles... s'il y en a.

Et si je veux comprendre l'esprit du jeu, faut le jouer avec sérieux, et donc s'entêter avec son château de sable allégorique. Malgré la merde et les carcasses qui trainent par terre, l'odeur d'oeuf pourri des algues et les mouettes qui font des cadeaux à l'occasion. Bref, c'est loin d'être idyllique à temps plein, la vie.

On peut se contenter de verser du sable mouillé à l'aide d'un simple seau pour faire le château, comme on peut viser plus haut et prêter attention aux détails, développer sa technique, la travailler toujours plus consciencieusement, malgré les emmerdes causées par ce qui est hors de notre contrôle (marées, pluie, piétineurs cyniques et désoeuvrés...) et ce qui est causé par nos propres manoeuvres d'apprenti.

Mais à force de viser l'excellence, on devient peu à peu meilleur. On découvre un sens autre à ce que la vie représente, supérieur peut-être (plus intéressant que de crever dans l'oublie), et peut-être a-t-on le potentiel d'incarner un être "supérieur" en quelque sorte. Pas nécessairement divin, mais qui s'enligne avec l'idée qu'on peut s'y faire : quelque chose de juste, de beau, de bien...

N'en demeure pas moins que la vie a pour finalité la mort. En ce qui me concerne, c'est sans Dieu, sans après-vie, et cela peut certainement paraitre vain, paradoxalement à tout ce que je viens d'écrire. Mais ça m'apparait moins absurde que l'idée de paradis, d'éternité, d'immortalité... Même si, dans tous les cas, je ne constate que du non-sens.

Alors peut-être qu'il vaut mieux s'amuser du non-sens et jouer, avec le plus grand sérieux, au jeu de la vie. :noel:

commando007 commando007
MP
Niveau 25
30 avril 2024 à 14:16:54

Le 30 avril 2024 à 10:23:08 :

Alors peut-être qu'il vaut mieux s'amuser du non-sens et jouer, avec le plus grand sérieux, au jeu de la vie. :noel:

Voir la vie comme un jeu "sérieux", c'est une façon plus absurde de voir la vie que de la voir comme une croissance personnel dans le but ultime de s'en évader et retrouver un "Dieu" selon moi. Mais bon tout est une question de point de vue. Je vois généralement la vie comme une prison (un endroit limité) alors que toi un terrain de jeu au possibilité presque infini.

J'ai bien aimé tes métaphores sur la plage, mais par "passivité" je faisais référence à suivre la "musique" sans l'interrompe, de vivre tout simplement et non de foncer vers la mer pour s'y noyer (qui serait un acte délibéré). La continuité est une forme de non action selon moi (pas changer d'état de fait), mais encore là, c'est une question de perspective, il faut lutter pour continuer car tout cherche à nous détruire. Et c'est rare les gens qui stagnent dans la vie, on progresse et ensuite on finit par régresser.

Donc si je te comprend bien, tu cherches du sens la où y en a pas, tu cherche à t'améliorer pour devenir meilleur voir supérieur, mais tout ça paradoxalement pour rien. Et tu ne crois pas en Dieu parce que l'idée te parait encore plus absurde? Bizarre, on a décidément pas les mêmes critères pour évaluer l'absurde.

Athéiste ou croyant, je trouve que nous sommes absurdes l'un comme l'autre au final.

Message édité le 30 avril 2024 à 14:19:50 par commando007
HomoFestivus HomoFestivus
MP
Niveau 3
01 mai 2024 à 00:13:10

La mort est comparable à l'état d'avant la naissance disait l'autre.

MissFlunch MissFlunch
MP
Niveau 42
01 mai 2024 à 00:28:40

Le 30 avril 2024 à 18:03:17 :
Oui surtout qu'elle est inévitable

exactement ^^

Pseudo supprimé
Niveau 15
02 mai 2024 à 16:34:56

Le 30 avril 2024 à 14:16:54 :

Le 30 avril 2024 à 10:23:08 :

Alors peut-être qu'il vaut mieux s'amuser du non-sens et jouer, avec le plus grand sérieux, au jeu de la vie. :noel:

Voir la vie comme un jeu "sérieux", c'est une façon plus absurde de voir la vie que de la voir comme une croissance personnel dans le but ultime de s'en évader et retrouver un "Dieu" selon moi. Mais bon tout est une question de point de vue. Je vois généralement la vie comme une prison (un endroit limité) alors que toi un terrain de jeu au possibilité presque infini.

J'ai bien aimé tes métaphores sur la plage, mais par "passivité" je faisais référence à suivre la "musique" sans l'interrompe, de vivre tout simplement et non de foncer vers la mer pour s'y noyer (qui serait un acte délibéré). La continuité est une forme de non action selon moi (pas changer d'état de fait), mais encore là, c'est une question de perspective, il faut lutter pour continuer car tout cherche à nous détruire. Et c'est rare les gens qui stagnent dans la vie, on progresse et ensuite on finit par régresser.

Donc si je te comprend bien, tu cherches du sens la où y en a pas, tu cherche à t'améliorer pour devenir meilleur voir supérieur, mais tout ça paradoxalement pour rien. Et tu ne crois pas en Dieu parce que l'idée te parait encore plus absurde? Bizarre, on a décidément pas les mêmes critères pour évaluer l'absurde.

Athéiste ou croyant, je trouve que nous sommes absurdes l'un comme l'autre au final.

Le terrain de jeu peut certainement avoir des allures de prison. En somme, la vie a ses limites, notre condition physique aussi, et nous sommes tous prisonniers de circonstances indépendantes de notre volonté. Même notre compréhension de la vie est franchement limitée et le sera probablement toujours du fait de notre condition matérielle.

Ceci étant, je ressens juste le besoin d'accepter la vie comme un paradoxe. Ça m'aide avec les complexités et contradictions qui se présentent à moi, en acceptant l'incertitude, en lâchant le contrôle, en cultivant la résilience... Peu importe l'issue, tout ça est pour quelque chose dans le contexte de ce qui existe, puisque j'y trouve un plus grand sens de l'acceptation, de la compréhension et de la paix ce faisant. Ce qui est de mon ressort, j'aime et je cultive au meilleur de mes habiletés.

commando007 commando007
MP
Niveau 25
02 mai 2024 à 18:58:50

Le 02 mai 2024 à 16:34:56 :
Le terrain de jeu peut certainement avoir des allures de prison. En somme, la vie a ses limites, notre condition physique aussi, et nous sommes tous prisonniers de circonstances indépendantes de notre volonté. Même notre compréhension de la vie est franchement limitée et le sera probablement toujours du fait de notre condition matérielle.

Nous sommes d'accord sur ce point alors.

Ceci étant, je ressens juste le besoin d'accepter la vie comme un paradoxe. Ça m'aide avec les complexités et contradictions qui se présentent à moi, en acceptant l'incertitude, en lâchant le contrôle, en cultivant la résilience... Peu importe l'issue, tout ça est pour quelque chose dans le contexte de ce qui existe, puisque j'y trouve un plus grand sens de l'acceptation, de la compréhension et de la paix ce faisant. Ce qui est de mon ressort, j'aime et je cultive au meilleur de mes habiletés.

La vie n'a pas besoin d'être une contradiction quand tu considères qu'elle a été créé et qu'elle perdura en une autre forme après la mort ( par Dieu ou autre). Que l'orientation que tu donnes au sens de la vie soit faux ou non n'a pas de réel importance ici, puisque c'est l'intention qui compte. Les croyances seront ainsi en cohérence avec les actions. Si tu crois faire le bien, c'est parce que ton intention est bonne (raisonnée en fonction d'un jugement moral quel qu'onc). Ça ne veut pas dire que c'est bien pour tout le monde, le jugement n'est pas absolu.

Tout ce que je cherche à dire c'est essayes d'être cohérent avec tes croyances/non-croyances et tes actions. Si tu vois du non-sens partout, que tu prétends que la vie n'a pas de sens profond et bien ne vas plus en chercher ou en imaginer pour te faire du bien. Ça ferait de toi une sorte d'hypocrite. C'est mon point de vue seulement, je ne cherche pas à te brusquer.

Message édité le 02 mai 2024 à 18:59:27 par commando007
Pseudo supprimé
Niveau 15
03 mai 2024 à 04:20:16

Le 02 mai 2024 à 18:58:50 :

Le 02 mai 2024 à 16:34:56 :
Le terrain de jeu peut certainement avoir des allures de prison. En somme, la vie a ses limites, notre condition physique aussi, et nous sommes tous prisonniers de circonstances indépendantes de notre volonté. Même notre compréhension de la vie est franchement limitée et le sera probablement toujours du fait de notre condition matérielle.

Nous sommes d'accord sur ce point alors.

Ceci étant, je ressens juste le besoin d'accepter la vie comme un paradoxe. Ça m'aide avec les complexités et contradictions qui se présentent à moi, en acceptant l'incertitude, en lâchant le contrôle, en cultivant la résilience... Peu importe l'issue, tout ça est pour quelque chose dans le contexte de ce qui existe, puisque j'y trouve un plus grand sens de l'acceptation, de la compréhension et de la paix ce faisant. Ce qui est de mon ressort, j'aime et je cultive au meilleur de mes habiletés.

La vie n'a pas besoin d'être une contradiction quand tu considères qu'elle a été créé et qu'elle perdura en une autre forme après la mort ( par Dieu ou autre). Que l'orientation que tu donnes au sens de la vie soit faux ou non n'a pas de réel importance ici, puisque c'est l'intention qui compte. Les croyances seront ainsi en cohérence avec les actions. Si tu crois faire le bien, c'est parce que ton intention est bonne (raisonnée en fonction d'un jugement moral quel qu'onc). Ça ne veut pas dire que c'est bien pour tout le monde, le jugement n'est pas absolu.

Tout ce que je cherche à dire c'est essayes d'être cohérent avec tes croyances/non-croyances et tes actions. Si tu vois du non-sens partout, que tu prétends que la vie n'a pas de sens profond et bien ne vas plus en chercher ou en imaginer pour te faire du bien. Ça ferait de toi une sorte d'hypocrite. C'est mon point de vue seulement, je ne cherche pas à te brusquer.

Je vais me donner le temps d'y penser encore. Même si mes croyances semblent bien cadrer dans mon quotidien, il y a toujours place à l'amélioration ! Merci pour la discussion en tout cas. :ok:

commando007 commando007
MP
Niveau 25
04 mai 2024 à 03:21:08

Le 03 mai 2024 à 04:20:16 :
Je vais me donner le temps d'y penser encore. Même si mes croyances semblent bien cadrer dans mon quotidien, il y a toujours place à l'amélioration ! Merci pour la discussion en tout cas. :ok:

Merci à toi également pour la discussion. Je voulais juste pointer le fait que pour toi en tant qu'athée tout est non-sens, mais que tu réussis tout de même à en voir dans ta vie. Tu cherches également à t'améliorer, ce qui est louable. Comme quoi même un athée peut croire en un état supérieur au sien.

C'était amusant, en espérant que d'autres fassent cette expérience de pensée.
Bonne continuité à toi!

Message édité le 04 mai 2024 à 03:22:29 par commando007
smurf_grognon smurf_grognon
MP
Niveau 17
05 mai 2024 à 02:08:57

Le 24 février 2024 à 23:56:41 :

Le 24 février 2024 à 14:12:53 :

Le 24 février 2024 à 10:53:17 :

Le 23 février 2024 à 23:16:55 :

Le 07 juin 2023 à 19:35:48 :
Pas vraiment, l'idée d'une fin de me rassure plutôt :hap:

Pareil
Mais j'ai peur de la souffrance qui mène à la mort

Mais non askip selon un type d'ici on peut pas être rassurer de la mort ou y voir un soulagement, car il fait son jean scientifique circulez.

lol.. Perso, je crois à la vie après la mort, donc je pense qu'il y a un soulagement

C'est quoi qui survit au juste après la mort lorsque les cognitions ont une base somatique ?
Une lobotomie change la personnalité. La dégénérescence neuronale mène vers l'alzheimer

T'as déjà vu des alzheimers ?

J'ai entendu (par Fabien Olicard) qu'on peut vivre sans cerveau, ou avec un reste de cerveau. Après, je ne sais pas si c'est vrai. Mais c'est possible que la conscience ne dépende pas que du cerveau.

Message édité le 05 mai 2024 à 02:09:12 par smurf_grognon
commando007 commando007
MP
Niveau 25
05 mai 2024 à 04:37:11

Le 05 mai 2024 à 02:08:57 :

J'ai entendu (par Fabien Olicard) qu'on peut vivre sans cerveau, ou avec un reste de cerveau. Après, je ne sais pas si c'est vrai. Mais c'est possible que la conscience ne dépende pas que du cerveau.

Ça serait étonnant, mais bon… Pour moi la conscience ne dépend pas de rien si ce n'est que de l'esprit.

La conscience n'a pas besoin de pouvoir se souvenir ou de facultés cognitives complexes pour "être". Les comportements sont influencés par la nature du cerveau, mais la conscience reste intacte puisque c'est un état et non un caractère personnifier pour chaque personne. La personnalité, les souvenirs, les préférences alimentaires etc... ça n'a rien avoir avec la conscience. C'est l'identité évolutive de la personnes conçu grâce à sa conscience et alimenter par sa volonté propre qui l'amène à s'identifier comme unique.

Donc voilà l'ordre que je donne au fonctionnement des choses (en ordre d'indépendance):

Esprit (âme éternelle insufflant la volonté) + conscience (état qui permet le compréhension) ---> cerveau (neurones, nerfs) ---> facultés cognitives et sensorielles (la parole, la mémoire, la vue, l'ouïs, le toucher) ---> environnement (source externe) ---> évènement (qui pousse à réagir)---> choix (binaire au départ, puis plus complexe) ---> action/inaction (avec conséquences calculées ou non) ---> souvenirs (relatif au jugement, au croyance, bien ou mal) ---> personnalité (mon comportement, mes capacités innées ou acquises) ---> Identité (je suis ce que je fais)

Le cerveau peut très bien être défaillant comme lorsqu'une personne est atteint de la maladie d'Alzheimer, mais que cette personne reste consciente de ce qu'elle ressent ou vit tout les jours.

Le cerveau peut très bien ne pas se souvenir comme lorsqu'un bébé est en croissance, mais que ce bébé reste conscient de ce qu'il vit, qu'il interagit avec ses parent et ce même si il ne s'en souviendra pas plus tard.

Le cerveau peut très bien être endormi/éteint comme lorsqu'une personne vie une expérience de mort imminente, mais que cette personne reste consciente de ce qu'elle voit, entend comme les discutions entre les médecins, les infirmières et qui peut décrire une pièce qu'elle observait en état de lévitation etc...

Pour toutes ces belles raisons, l'esprit (qui je comprends ne fait pas l'unanimité par sont caractère éternelle) et la conscience ne dépende pas du cerveau ou d'un "cerveau en bonne état" pour être. La conscience dépend de l'esprit.

Message édité le 05 mai 2024 à 04:38:32 par commando007
smurf_grognon smurf_grognon
MP
Niveau 17
05 mai 2024 à 23:51:45

Le 05 mai 2024 à 04:37:11 :

Le 05 mai 2024 à 02:08:57 :

J'ai entendu (par Fabien Olicard) qu'on peut vivre sans cerveau, ou avec un reste de cerveau. Après, je ne sais pas si c'est vrai. Mais c'est possible que la conscience ne dépende pas que du cerveau.

Ça serait étonnant, mais bon… Pour moi la conscience ne dépend pas de rien si ce n'est que de l'esprit.

La conscience n'a pas besoin de pouvoir se souvenir ou de facultés cognitives complexes pour "être". Les comportements sont influencés par la nature du cerveau, mais la conscience reste intacte puisque c'est un état et non un caractère personnifier pour chaque personne. La personnalité, les souvenirs, les préférences alimentaires etc... ça n'a rien avoir avec la conscience. C'est l'identité évolutive de la personnes conçu grâce à sa conscience et alimenter par sa volonté propre qui l'amène à s'identifier comme unique.

Donc voilà l'ordre que je donne au fonctionnement des choses (en ordre d'indépendance):

Esprit (âme éternelle insufflant la volonté) + conscience (état qui permet le compréhension) ---> cerveau (neurones, nerfs) ---> facultés cognitives et sensorielles (la parole, la mémoire, la vue, l'ouïs, le toucher) ---> environnement (source externe) ---> évènement (qui pousse à réagir)---> choix (binaire au départ, puis plus complexe) ---> action/inaction (avec conséquences calculées ou non) ---> souvenirs (relatif au jugement, au croyance, bien ou mal) ---> personnalité (mon comportement, mes capacités innées ou acquises) ---> Identité (je suis ce que je fais)

Le cerveau peut très bien être défaillant comme lorsqu'une personne est atteint de la maladie d'Alzheimer, mais que cette personne reste consciente de ce qu'elle ressent ou vit tout les jours.

Le cerveau peut très bien ne pas se souvenir comme lorsqu'un bébé est en croissance, mais que ce bébé reste conscient de ce qu'il vit, qu'il interagit avec ses parent et ce même si il ne s'en souviendra pas plus tard.

Le cerveau peut très bien être endormi/éteint comme lorsqu'une personne vie une expérience de mort imminente, mais que cette personne reste consciente de ce qu'elle voit, entend comme les discutions entre les médecins, les infirmières et qui peut décrire une pièce qu'elle observait en état de lévitation etc...

Pour toutes ces belles raisons, l'esprit (qui je comprends ne fait pas l'unanimité par sont caractère éternelle) et la conscience ne dépende pas du cerveau ou d'un "cerveau en bonne état" pour être. La conscience dépend de l'esprit.

C'est vrai. Le cerveau, après tout, n'est qu'un outil pour la mémoire, les hormones, et le reste. Et quel que soit l'état du cerveau, on a tous une conscience, et donc même sûrement les personnes n'ayant pas de cerveau (à vérifier si c'est possible de vivre sans cerveau). Peut-être qu'un cerveau qui fonctionne bien permet tout de même d'améliorer l'état de la conscience.

commando007 commando007
MP
Niveau 25
06 mai 2024 à 04:13:42

Le 05 mai 2024 à 23:51:45 :

C'est vrai. Le cerveau, après tout, n'est qu'un outil pour la mémoire, les hormones, et le reste. Et quel que soit l'état du cerveau, on a tous une conscience, et donc même sûrement les personnes n'ayant pas de cerveau (à vérifier si c'est possible de vivre sans cerveau). Peut-être qu'un cerveau qui fonctionne bien permet tout de même d'améliorer l'état de la conscience.

On a tous une conscience peu importe l'état du cerveau, mais on se doit d'avoir un cerveau actif pour le démontrer (vivre, interagir, parler, manger etc...) Vivre sans cerveau serait impossible selon moi. Le reste du corps dépend du cerveau ne serait-ce que pour la respiration et la libération d'hormone en tout genre.

Un cerveau malade ou endommagé limitera l'individu selon les zones touchées, car le cerveau est un outil certes, mais aussi une forme de "prisme" de l'esprit. Comme la lumière blanche éclairant un prisme qui se divisera en un spectre de couleurs. L'esprit, la lumière blanche est un "faisceau" pur contenant déjà tous les autres couleurs. Si un cerveau est malade, le "prisme est défectueux" et il cessera d'émettre certaine couleurs.

PS: Ceci était une métaphore:

  • La lumière blanche c'est l'esprit qui contient un potentiel incommensurable.
  • Le prisme c'est le cerveau qui étalonne ce qu'il peut de l'esprit en fonction de son état.
  • Le spectre de couleurs c'est les facultés d'un individu, ses capacités.

Un cerveau en bonne état permet de développer sa conscience, ne serait-ce que par l'apprentissage en acquérant de nouvelles connaissances sur son environnement, en validant certaines choses sur soi par le fait même. Il permet ainsi de consolider nos valeurs et nos croyances. Il permet de se construire soi-même. Il est possible d'améliorer son niveau de conscience. La méditation, la spiritualité peuvent aider.

Une personne qui est dite en santé et intelligente utilise juste 10% de son cerveau à ce qu'il parait.
Le cerveau est bridé. Il limite vraiment l'esprit, mais je ne sais pas trop où ça bloque…

Message édité le 06 mai 2024 à 04:18:07 par commando007
weeabo weeabo
MP
Niveau 3
06 mai 2024 à 05:13:59

Une personne qui est dite en santé et intelligente utilise juste 10% de son cerveau à ce qu'il parait.

Le 10% est un mythe. On utilise la totalité de notre cerveau de manière continue jour et nuit, et chaque partie du cerveau a une fonction spécifique et toutes les zones du cerveau sont actives à un moment donné, que ce soit pour la motricité, la perception sensorielle, la pensée, les émotions, la mémoire, etc. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythe_de_l%27utilisation_incompl%C3%A8te_du_cerveau

commando007 commando007
MP
Niveau 25
06 mai 2024 à 17:39:50

Le 06 mai 2024 à 05:13:59 :

Une personne qui est dite en santé et intelligente utilise juste 10% de son cerveau à ce qu'il parait.

Le 10% est un mythe. On utilise la totalité de notre cerveau de manière continue jour et nuit, et chaque partie du cerveau a une fonction spécifique et toutes les zones du cerveau sont actives à un moment donné, que ce soit pour la motricité, la perception sensorielle, la pensée, les émotions, la mémoire, etc. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythe_de_l%27utilisation_incompl%C3%A8te_du_cerveau

Ton lien ne réfute pas ce que je dis, c'est peut-être un mythe qu'on utilise que 10% de notre cerveau, car toutes les zones du cerveau sont plus ou moins utilisé à un moment ou un autre, n'empêche la qualité de l'échange entre les neurones et la capacité d'utilisation reste faible voir très faible pour certain endroit. Ton article met en garde les gens contre lui-même et ses pseudos preuves qui n'en sont pas vraiment:

Je cite pour exemple:

"...

les études métaboliques : une autre technique scientifique comprend le suivi des molécules de 2-deoxyglucose (en) marquées radioactivement. Si 90 % du cerveau était inactif, alors ces cellules inactives seraient mises en évidence en blanc dans cette scintigraphie du cerveau. Là encore, cette technique ne montre pas un tel résultat

les maladies cérébrales : les cellules du cerveau qui ne sont pas utilisées ont tendance à dégénérer[citation nécessaire]. En conséquence, si 90 % du cerveau étaient inactifs, l'autopsie des cerveaux des adultes aurait dû révéler une dégénérescence majeure.

Il faut toutefois relativiser ces types de preuves, car ils se focalisent sur l'utilisation des zones physiques du cerveau, en ignorant les capacités intellectuelles et le taux d'utilisation de ces zones. D'autres types de preuve plus complets et représentatifs seraient donc nécessaires."

Je ne dis pas que 90% du cerveau est mort et que 10% est vivant, bien sûr que le cerveau est actif en intégralité…

Placoteur-90 Placoteur-90
MP
Niveau 8
06 mai 2024 à 19:34:02

J'ai peur de la mort de l'autre ; quant à ma mort, je la laisse au courage. :hap:

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