Alors voilà, étant légèrement déçu du scénario de fable II, je me suis surpris à me dire qu'en fait l'époque où la guilde a été détruite, la flèche construite, etc, était beaucoup plus intéressante. Ca aurait dû être sur ça qu'aurait dû porter l'histoire du jeu.
Comme ça m'a vraiment inspiré, et que j'aime écrire, je me suis dit que ça pourrait être bien de raconter l'histoire du monde d'Albion à cette époque là . Bon le héros n'est pas un "héros" comme dans les jeux. Disons pour l'instant que c'est juste un petit garçon banal, même si j'ai d'autres projets pour lui .
Je terminerai en disant que je n'ai pas fini fable II, et que si il y a des éléments qui m'ont échappé ou qui sont incorrectes, j'aimerai que vous m'en fassiez part. Sur ce bonne lecture .
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Des nuages lourd et gris chargeaient le ciel. Leurs ombres donnaient au paysage un ton froid et obscur. La neige virevoltait, tournoyait violemment sous le vent. La cime des arbres ployait, les petits animaux étaient presque emportés. Tout était cent fois plus grand, plus imposant. Le moindre petit sapin semblait dominer le monde. La terre, le ciel, tout paraissait menaçant. Si on levait les yeux là haut, on avait l’impression que le ciel noir allait s’écraser. Si on portait notre regard sur le sol, on peinait à ne pas s’imaginer celui-ci s’effondrer à nos pieds. Et pour cause : il n’y avait plus personnes dehors. Pas la moindre trace de vie humaine. C’était comme si la fin du monde était là, toute proche. Le vent à lui seul suffisait à écarter du dehors tous les plus téméraires. Il sifflait, grondait, s'immisçait à travers les arbres, s’infiltrait partout là où il le pouvait. Et même si on osait le défier en sortant, il nous plaquait contre les murs, nous emportait avec lui.
Cependant ce n’était qu’une journée d’hiver, comme j’en avais vécu tant d’autres.
Un souffle sortit de l’interstice sous la porte et fit s’envoler le travail de mon père. Les feuilles glissèrent sur le sol, en désordre. Posant son stylo avec rage sur la table en bois massif du salon, papa s’agenouilla et entreprit de tout ramasser. Je ne manquai pas de relever le juron qu’il sortit. Las, je tournai la tête vers la fenêtre. Les flocons s’écrasaient toujours avec autant de force et d’acharnement sur la vitre. Le ciel était toujours aussi sombre. Pff... Ce que j’aurai aimé pouvoir aller dehors, m’amuser un peu. Rien qu’aller voir maman à Bowerstone me ferait le plus grand bien. Mais cela faisait deux mois que ça durait. Pas le moindre rayon de soleil, le moindre brin d’herbe. Deux mois à n’avoir vu personne d’autre que mon père...
Et pourtant j’avais ressenti de l’excitation au début. Ca allait être une tempête historique. Tous les messagers avaient apporté la nouvelle, aux quatre coin d’Albion. On avait en effet découvert, il y a peu, un moyen de prévoir les gros changements météorologiques. Les gens s’étaient préparés à affronter le joug de la nature, ils avaient fait des provisions pour un bon mois d’isolement. Le peuple s’était agité. Rien qu’à la capitale, on ne parlait que de ça, quinze jour avant l'événement. Tous les matins je voyais des charrettes partir, des hommes rejoindre leur famille, des moines rentrer dans leur temple. Les voyageurs avaient demandé l’hébergement à des habitants et les marchands en avaient profité pour écouler leur stock. Toute la ville avait été en effervescence. Et j’avais été vraiment content de voir les choses sortir ainsi de l’ordinaire. J’ai même été encore plus heureux quand j’ai appris que j’allais m’en aller avec mon père, près d’une forêt, pour qu’il y étudie la magie qui y régnait. Pour moi c’était signe d’amusement. Seuls, loin de toutes civilisations. Enfin une aventure comme j’en rêvais !
Sauf que... Voilà deux mois... Deux mois que je reste assis près du feu, dans la cabane au milieu des arbres. Sans rien faire d’autre que d’écouter le plume de papa crisser, d’observer la neige s’abattre sur les vitres et de se morfondre sur le fait que l’on ait pas assez à manger. C’était d’ailleurs ce qui me préoccupait le plus. J’avais même peur... Je le cachais bien, mais j’avais peur. Intérieurement, je paniquais. Et si on ne survivait pas ? Et si la tempête durait encore un mois ? Rien que la pensée de mourir, agonisant, à cause du manque de nourriture, me tordait les entrailles. Mais encore une fois, je ne laissais rien paraître devant mon père. Il avait l’air déjà assez inquiet comme ça. Quand je le voyais, le nez plongé dans ses livres, les yeux plissés, la mâchoire serrée, je savais que quelque chose n’allait pas. Qu’y avait il de si contraignant dans ses recherches ? Je n’osais même plus lui poser la question. La dernière fois que je l’avais fait, il s’était mis en colère.
_ Ca ne te regarde pas. Et puis qu’est ce que tu en as à faire !? Ca ne t’intéresse pas tout ça !
Eh bien peut être que si, ça m’intéressait. La gravité du visage de mon père ces derniers temps avait pour moi rendu ses recherches plus intrigantes qu’autre chose. De toute évidence, il avait découvert quelque chose d’énorme, en travaillant sur la magie des lieux. La nuit il dormait à peine. Je le savais, car c’était le même cas pour moi. Je l’entendais parler tout bas. Je ne savais pas de quoi, mais grâce à son ton j’en devinais la gravité. Le matin, ses cernes n’en étaient que plus grandes, son teint plus blanc, ses traits plus tirés. Et c’était le seul être humain avec qui j’étais en contact.
Voilà pourquoi j’étais si las, si fatigué de rester dans cette prison en bois.
Ce soir -ou bien ce matin, qu’en sais-je ? Il n’y a plus de soleil pour nous l’indiquer- nous mangeâmes l’habituelle purée de blé. Quand la plupart de nos provisions avaient disparu, nous en avions été réduits à cela. C’était immonde, surtout que papa ne prenait pas le temps de la cuisiner. Mais en portant la cuillère à ma bouche je fus surpris de constater que le goût amère de ce plat ne me faisait plus rien. L’habitude...
Mon père était en face de moi. Nous mangions sur la table même où il travaillait. De toute façon pas possible d’en mettre deux dans un aussi petit bâtiment. Il y avait à peine la place pour deux lit, une cheminée, et cette table.
Notre repas fut tout aussi silencieux que d’habitude. Nous n’entendîmes que le tintement des couverts sur les assiettes. Le visage de papa était seulement illuminé par une petite lanterne, posée au milieu de la table. Ses yeux fatigués brillaient à sa lueur. La seule autre source de lumière venait du feu vacillant et elle éclairait l’autre bout de la pièce. Sous son influence, nos ombres s’étendaient, se tordaient et s’agitaient sur les murs, bien que nous bougions à peine. Je pris une autre cuillère de purée de blé.
_ Je vais sortir ce soir.
Je relevai la tête, surpris. Cela faisait longtemps que je n’avais pas entendu la voix de papa. Et puis ce qu’il avait dit était pour le moins étonnant.
_ Comment ça ? Tu ne peux pas sortir, fis-je.
_ Il faudra bien.
_ Mais tu veux sortir dehors ? Demandai-je en mettant l’accent sur ce dernier mot.
_ Oui.
Je restai muet. Il croyait vraiment qu’il pourrait marcher plus de quelques mètres ? Je savais que c’était par rapport aux découvertes qu’il avait faites, mais on ne pouvait pas lutter contre cette tempête. C’était de la folie ! Le silence reprit ses droits et plus aucun de nous deux ne parla pendant deux ou trois minutes. J’étais un peu inquiet par cette déclaration. Si mon père sortait par ce temps il allait lui arriver quelque chose, je le savais. Soudain, papa posa brutalement sa cuillère. Le bruit me sortit de mes pensées et je le fixai. Papa avait les mains qui tremblaient. Il me regarda puis, comme si il voulait cacher cette faiblesse, ferma les poings. Une goutte de sueur brilla sur son front. Il me dévisagea, les yeux grands ouverts. Il baissa ensuite les yeux, comme honteux, vers son assiette. Il ouvrit la bouche. Il la referma, hésitant apparemment à me dire quelque chose. Mais ce fut tout. Enfin c’est ce que je crus. Parce qu’il lâcha finalement en un souffle :
_ Désolé... désolé... je suis tellement désolé...
Il se prit la tête entre les mains. Je restai les lèvres à moitié ouverte, ne sachant que faire ni que dire. Il se leva brusquement. Je sursautai. Papa se dirigea, sans me jeter un seul regard, vers la porte. Il l’ouvrit, laissant passer des kilos de neiges. Il faillit vaciller sous le vent, mais il tint bon et s’avança vaillamment dehors. Il fit un pas... deux pas... Il le faisait ! Il allait vraiment sortir !
_ PAPA ! NE T’EN VAS PAS !
Mais le sifflement du vent couvrit ma voix.
_ Adieu, fit une voix sanglotante que j’entendis à peine. Adieu fils !
Et la porte se referma.
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Voilà . En espérant que ça vous plaira. Je conçois que ça n'a pour l'instant pas grand rapport avec ce qui s'est passé entre Fable I et Fable II , mais il faut bien commencer par quelque chose .
c'est bon
oui j' aime beaucoup,
pas contre une suite
Ouais, demain .
Merci à tous les deux .
Ben vivement demain alors
J'aime bien ta fic, tu detail bien les environnement et les pensées du narrateur. En plus on se pose déjà des questions
pourquoi le père veut aller dehors ? qu'es qu'il à découvert ? rien que sa donne envie de savoir la suite. Je t'y encourage
Je fais une fic moi aussi mais à part quelques uns qui s'y interresse je ne voit pas beaucoup de lecteur sur le forum, dommage.
Les fics commencent à se faire nombreuses, heureux de faire partie des pionniers Et c'est d'autant mieux qu'elle sont toutes de qualité.
Ouah, merci tout le monde :D .
La suite sera finalement peut être pour ce soir, je suis inspiré .
sweet!
Franchement bien (mème si j'ai pas tout lu).
Je suis complètement daccord avec toi,la période de fable 2 ne me semble pas ètre la plus intéressante...l'exil aurait été plus palpitant et épique!!!
Sur ce bonne continuation!
J'aime bien
J'attend la suite
Yeah, merci beaucoup . Voici la suite (un peu longue peut être :s ), j'espère que ça vous plaira !
Je restai là, abasourdi. Ca avait été tellement soudain, tellement inattendu. J’étais comme paralysé. Mon père, mon papa, venait de sortir pour ne jamais revenir. Il l’avait fait volontairement. Je ne connaissais ni ses motivations, ni son but. Il n’avait rien voulu m’expliquer, même quelques minutes avant sa mort.
Des centaines de pensées différentes se mêlaient à présent dans ma tête. J’étais partagé entre l’incrédulité, la surprise et le chagrin. Une boule se forma dans ma gorge. Il allait revenir, oui, il allait revenir. Papa ne pouvait pas mourir, c’était tout bonnement impossible. La tempête n’était pas si forte que ça, après tout. J’eus un rire ironique. Non bien sûr ! C’était d’ailleurs pour ça que tout Albion s’était cloîtré chez sois ! A mon sourire se mêla une larme.
Pourquoi ?! Pourquoi avait-il fait ça ?! C’était tout simplement insensé ! Je tombai à genou sur le sol poussiéreux de la cabane. Je pleurais à présent. Maintenant j’étais seul, au milieu d’une forêt, sans personne pour me venir en aide. Mon papa était parti, il m’avait abandonné. Moi qui croyais qu’il m’aimait, voilà qu’il me laissait mourir. Je n’étais qu’un enfant, un pauvre petit enfant de dix ans !
Je portai ma main à mon visage pour essuyer mes larmes. Mais en même temps la fureur s’empara de moi et je me griffai la joue le plus fort que je le pouvais en grognant comme un animal blessé. Il m’avait laissé mourir ! Du sang ne tarda pas à se mélanger à mes pleurs. La douleur ne me soulagea pas le moins du monde. Elle ne fit qu’empirer la panique dans laquelle je me trouvais. Maintenant j’avais le visage qui me piquait affreusement.
Gouttes de sang et larmes se succédaient pour venir s’écraser contre le sol. Ce fut ma seule occupation durant les minutes qui s’ensuivirent. Regarder ainsi les fruits de ma souffrance se relayer. Goutte de sang. Goutte d’eau. Goutte de sang. Goutte d’eau... Certaines se glissèrent entre mes lèvres. Cela avait un étrange goût salé. Une flaque écarlate se forma à mes genoux.
Mon père était il perdu à jamais ? Car c’était la question qui me préoccupait le plus. C’était horrible de ne pas savoir si une personne qui nous était chère était morte...
Je jouais avec la flaque avec mes doigts. Un courant d’air venant du dehors fit glisser le liquide. Il coula entre les interstices du plancher. Je préférais observer ça plutôt que de penser à ma situation.
Je passai des heures entières à me lamenter. Ou des jours. Je ne savais pas. A un moment la porte s’ouvrit avec fracas. Je sursautai, complètement sorti d’une sorte de transe. J’eus un espoir, un espoir qui me fit sourire et crier, enjoué :
_ Papa ? C’est toi ?!
Mais je n’eus rien d’autre comme réponse que le vent qui me narguait et la neige qui jouait avec moi. Mon sourire s’évanouit. Je répétais :
_ Papa ? Papa ? Réponds-moi...
Une soudaine envie de pleurer me reprit. Ma gorge était tellement serrée que je m’étonnais de pouvoir encore respirer sans difficulté. Je me recroquevillai sur moi-même, la tête dans les bras, toujours à genoux, et je sanglotai. Les flocons me chatouillèrent. La porte n’était toujours pas fermée. Mais je m’en fichais.
Suite à une bourrasque de vent, le feu s’éteint. Le cabanon devint sombre, inquiétant. Le froid commença à s’infiltrer. Mes mains me piquèrent, mes dents se mirent à claquer. Je logeai encore plus ma tête dans mes bras, je me lovai encore plus sur le plancher. De la neige commença à me recouvrir le dos. Le froid se faisait plus intense de seconde en seconde. J’étais bête. Pourquoi est-ce que ne bougeais pas ? Il me suffisait de fermer la porte. De me lever, et de fermer la porte. Mais en même temps, est ce que ça valait encore la peine de survivre ?
Une sorte de sentiment étrange me prit soudain à cette idée. Comme de l’adrénaline. “Est ce que ça valait la peine de survivre” ? Je me demandais ça, moi ? Bien sûr que oui, ça en valait la peine ! Mon père était mort, j’en étais presque sûr. Mais je ne devais pas me laisser abattre. J’étais triste, mais est ce que me donner la mort était la meilleure solution ? Sûrement pas. Que dirait maman quand elle verrait mon cadavre gisant sur le sol de la cabane ? Quand elle se rendrait compte que papa était mort, lui aussi ? Et moi, qui n’avais que dix ans, est ce que je ne voulais pas continuer à vivre ? Si, bien sûr. Je me forçai à sourire et nettoyai le sang séché qui me parsemait le visage d’un revers de la main. Je me levai, la neige qui me recouvrait le dos tombant, puis refermai la porte en luttant contre le vent.
Quand la petite cabane fut close, tout me parut beaucoup plus calme. Même mon esprit fut plus clair. J’avais l’impression de m’être réveillé d’un long sommeil profond. Je balayai la pièce d’un regard nouveau. Un frisson me parcourut. Il faisait très froid. Il fallait que j’allume un feu... Je m’approchai de l’âtre et fis la grimace. Devant ces bûches, ce soufflet, ces pierres à feu je me rendis compte que je ne savais rien faire. Jusque là je m’étais laissé porté par mes parents. Il faisaient tout, mon lit, le ménage, à manger. Moi je n’avais que dix malheureuses années. Je n’avais aucune expérience. Je tentai tout de même quelque chose. Je plaçai deux bûches dans la cheminée en les recouvrant de brindille. Je me munis ensuite de la pierre à feu. Avant de l’utiliser je la retournai dans mes mains et l’admirai.
C’était quelque chose de rare, et je voyais bien que c’était précieux. D’après mon père (je refoulai mon envie de pleurer) c’était l’invention du même homme qui avait découvert le moyen de prévoir les gros changements de météo. Si je me souvenais bien il s’appelait Edgard Olswar. Tout le monde en parlait à Bowerstone, avant mon départ. Il était à l’origine de nombreuses révolutions dans lesquelles figurait le mini-canalisateur de magie. La pierre de feu était un ce ceux là. Même les gens n’ayant aucun dons particulier pouvaient se servir de magie, pourvu qu’ils aient un peu d’argent.
Je tentai donc d’actionner la pierre. A peine eus-je pensé à cela qu’une gerbe de flamme jaillit du canalisateur et vint brûler le bois que j’avais mis. Je n’avais même pas visé. Il m’avait juste suffit de penser à la chose, et elle s’était produite. Un petit sourire se dessina sur mon visage. J’avais maintenant un avant goût de la satisfaction que pouvait ressentir quelqu’un capable de maîtriser la magie. Et c’était vraiment jouissif. J’en oubliai presque mon père. Le feu s’éleva brusquement, et la chaleur m’agressa. Je m’éloignai rapidement de la cheminée, en m’affalant sur mon lit. La cabane semblait maintenant beaucoup plus rassurante, emplie d’une lueur orangée. La neige entrée quand la porte était ouverte se mit à fondre. Je ressenti un sentiment de bien-être intense.
Je m’apprêtais à fermer les yeux quand mon regard se porta sur les parchemins de mon père. Ils étaient toujours là, sur la table. Certains étaient éparpillés un peu partout sur le plancher, aux alentours. Je me levai de mon lit bien chaud et accueillant et pris une des feuilles au hasard. Je plissai les yeux, les forçant à ne pas se fermer sous la fatigue, et me mis à lire :
“que c’est un mal plus profond. Non, personne ne voudra le croire. Je sais que c’est quelque chose de bien plus ancien, quelque chose qui aurait existé dès la création d’Albion. Une chose profondément liée à ce monde. Il faut que j’y aille, il le faut. Ce n’est pas seulement ça. Je sens que le simple fait d’avoir découvert ceci me ronge. “Ca” m’attire. J’ai l’impression que quelque chose s’empare de moi petit à petit. Mais il y a encore des tonnes de mystère à éclaircir. Je touche au but, je le sens ! Concernant les ondes qui”
Les écritures s’arrêtaient là. Autour, il y avait d’écrit plein de calculs compliqués que je ne comprenais pas. Je m’emparai d’une autre feuille :
“admettre, Olswar est décidément ignoble. Je viens de découvrir le signe qu’il m’a envoyé par bourrasques. Il me nargue. Le même signe que j’ai découvert sur le tome intitulé “Le commencement” ou encore que j’ai retrouvé dans un livre parlant de la civilisation Girow est présent dans ses messages. Il sait que je sais. Mais il ne peut m’atteindre autrement que par moquerie. Ah ! Si je”
Puis c’était tout. Je retrouvai le même schéma que sur le précédent parchemin que j’avais lu. Autour de ces mots étaient tracés toutes sortes de lignes, de calculs, de pentacle incompréhensibles. Mais Olswar ? Que venait-il faire dans les recherches de papa ?
Vrement trés bien écris ... respect ! On dirait un vrai livre ! Aprés mais ça c'est un truc personnel, je me pers dans les détails et du coup sa me saoul ^^ . Mais change rien ! Bon voilà pour ça, aprés eux ... le scénar parait pas mal...mais...enfin...oui il est bien ! Trés bien même...j'attends la suite ^^ Enfin...au final on sait pas ou tu veux en venir
Bon j'arrette !
note : A++
continu !!! J'attend les scénes de combat !!!
waouh ,franchement respect , t'écris super bien ;-)
je commanderai bien une petite suite
Sa tombe bien, ce sera gratuit ...
Le roi a raison, t'écris vachement bien, j'ai l'impression de lire un vrai roman avec un auteur de génie, c'est incroyable pour quelqu'un de 14 ans.
ouh purée j'avais pas capté que t'avais que 14 ans !!!
tu dois cartonner en rédac ! pas comme moi xD
tu as encore fait un très bon chapitre. tu insiste bien sur la psychologie du narrateur qui fait qu'on se sens presque concerné. Et on te la déjà dit mais franchment pour quelqu'un de 14ans respect, même moi je n'ai pas ce niveau...
Wah, je ne sais que dire à part un vulgaire merci .
Il faudrait que je lise ta fic Oslo .
Sinon suite ce soir ou cet après-midi, si j'ai pas trop de choses à faire .
super fic
oslo la tienne est pas mal nn plus
Rien qu'à voir les commentaires ça a l'air bien, je la lirai plus tard alors