Voilà vous l'attendiez (surtout SquallCloud), je la poste enfin, ma fiction genre Sly 4.
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1ère partie/Chapitre 1 : Un nouveau commencement

Lyon, Siège d’Interpol

C’était la fin de la journée et Damien cherchait encore des informations sur le criminel que son coéquipier et lui traquaient. Après en avoir trouvé, le jeune chat noir sorti du bureau de la personne qu’il remplaçait et se dirigeait vers celui de son partenaire. Il frappa à la porte et l’inspecteur l’invita à entrer. D’une main hésitante, Damien tourna la poignée. Il vit alors que le raton laveur était sur le point de partir.
« Excuse-moi Damien, j’ai fini pour aujourd’hui. Tu voulais me dire quelque chose ? »
Damien réussit enfin à articuler une phrase :
« Euh… oui. J’ai enfin trouvé des infos sur ce type, là, celui qu’on cherche…
-Ah oui ? Merci. Pose-les sur mon bureau. Je verrai ça demain.
-D’accord. Eh bien… à demain, m’sieur Cooper.
-A demain Damien. Passe une bonne soirée. »
Sly sorti de son bureau en pensant soudainement « Une journée comme les autres ». En regagnant son appartement, il songea à Bentley et Murray. Après tout, cela faisait presque quatre ans qu’il n’avait aucune nouvelles d’eux. Il avait bien le droit de repenser à leurs aventures passées de temps en temps, non ? Quelques secondes après avoir passé la porte du duplex, Sly fut accueilli par Benjamin, un jeune renard-raton de trois ans qui s’écria aussitôt :
« Papa ! »
Carmelita tourna alors la tête en direction de la porte. Elle se leva péniblement et se dirigea vers Sly en prenant Carmen, la petite renarde qui venait de fêter son premier anniversaire, dans ses bras.
« Alors, elle s’est passée comment ta journée ? demanda-t-elle
-Comme d’habitude, on à un peu avancé dans l’enquête. Et toi comment tu vas ?
-Je m’ennui affreusement. Je préfèrerais être dans mon bureau en train d’enquêter et j’ai une terrible envie de course poursuite en voiture. »
Elle rigola en voyant Sly faire des yeux ronds.
« Vivement que cet arrêt maternité soit fini, annonças elle en regardant son ventre rond. Et mon remplaçant… Fabien ?
-Damien, corrigea Sly.
-Damien, oui. Il s’en sort bien ?
-Ca peut aller. Mais je crois que je l’intimide un peu.

Au même instant, quelque part dans Lyon

Il relisait le testament de son ami pour la troisième fois. D’un regard étonné et presque joyeux, il parcourait les lignes où il était question de lui léguer la totalité d’un trésor. Il se remit ensuite à lire les dernières volontés. Tandis qu’il les revoyait, son regard s’emplit de haine et de rage. Son ami avait été prévoyant.
« Repose en paix, se dit il finalement avec mélancolie, je te vengerai ! Je récupèrerai mon trésor auprès de lui et je te vengerais !
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Voilà dites moi ce que vous en pensez, la suite sera bien meilleure et l'action sera au rendez-vous.

Pas mal pour un début! (Meme si ça serait mieux en BD )

J'suis un peu déçue. Y a pas beaucoup de lecteurs.
Mais voilà le deuxième chap'.
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1ère partie/Chapitre 2 : Départ en catastrophe

Quelques semaines après, Sly commençait une nouvelle journée avec la conscience agitée. Le bébé devait arriver aujourd’hui et il se sentait coupable de laisser Carmelita seule.
« N’oubli pas de respirer avec le ventre si tu le sens arriver.
-Oui.
-Tu n’a rien oublié dans tes bagages ?
-Non, tout va bien.
-Et pense à appeler un taxi si tu…
-OUI C’EST BON SLY ! Ce n’est pas la première fois que j’accouche et si jamais c’est pour aujourd’hui, la baby-sitter sera là pour s’occuper de Benjamin et de Carmen.
-Bon, si tu le dis, bredouilla Sly qui n’était décidemment pas rassuré. »
Benjamin arrivat et tendit ses bras vers son père dans l’espoir de se faire bercer.
« Au revoir papa.
-Ben, je te fais confiance pour aider maman aujourd’hui d’accord ? »
A ces mots, Carmelita soupira et leva les yeux au ciel.
Peu après le départ du raton laveur, Leslie, la baby-sitter, arriva enfin. Les jours où les deux inspecteurs travaillaient, c’était elle qui s’occupait des deux enfants. Plus tard dans la journée, Carmelita ressenti de douloureux maux de ventre (pour ne pas dire "contractions ) et parti très vite pour l’hôpital.
« Elle va revenir maman ? demanda Benjamin à la jeune panthère
-Mais oui, t’en fais pas. Après ton papa viendra te chercher et vous irez voir ton futur petit frère… ou ta future petite sœur. Mais là c’est l’heure de la sieste, ma crevette. »
Le sourire qui s’était affiché sur le visage de Ben lorsque Leslie avait parlé de frères et sœurs s’estompa à l’annonce de la sieste. De plus il n’aimait pas qu’on l’appelle « ma crevette ». Néanmoins la fatigue qu’il ressentait le fit céder et il alla au lit sans demander son reste.
Dans son bureau, Sly n’arrivait toujours pas à se concentrer. Même si le voyou que lui et Damien cherchaient depuis des mois était enfin derrière les barreaux, rien ne pouvait l’empêcher d’avoir un mauvais pressentiment. Le jeune chat le ramena vite à la réalité :
« Inspecteur Cooper ? Vous avez un appel, ça va faire deux fois que le téléphone sonne. »
D’un mouvement rapide et maladroit, Sly attrapat le combiné et répondit, l’air confus :
« Allo. L’inspecteur Sly Cooper à l’appareil, je vous écoute.
-Ah ! Ah ! Ah ! Inspecteur ? Si ton père t’entendait, il aurait sûrement honte ! »
A part ceux qui voulaient lui faire la peau, peu de gens parlait des parents de Sly.
« Qu…qui est à l’appareil ?
-On à dû se croiser une fois… en prison. »
Ce n’est qu’à ce moment là que le raton laveur comprit. Cette voix grave, qui parlait de son père, rencontrée à la prison… c’était :
« McSweeny ?!
-Tu en a mis du temps pour percuter, dis moi. Il y a quelques semaines j’ai reçu le testament de docteur M. Ce brave type, mon meilleur ami à vrai dire, est mort dans le caveau des Cooper.
-Tu m’en avais parlé pour m’attirer là bas. C’était un piège ! Mais quel rapport avec son testament ?
-C’est simple pourtant. Si M arrivait à ouvrir le caveau, il était convenu que nous partagions le butin. Si il lui arrivait quelque chose, tout serai pour moi.
-Mais c’est absurde !
-Ton père nous en a fait baver. On avait bien le droit à un petit lot de consolation, non ? »
Le morse ricana un bon coup, se qui déplut légèrement à Sly. Ce dernier réussit finalement à émettre un son :
« Et alors, pourquoi tu m’appelle ?
-Bin tiens, pour que tu me donne ce qui me reviens de droit.
-Que… ?! »
Le raton laveur faillit s’étouffer de surprise.
« Pas la peine de te mettre dans cet état, je ne demande que… disons… cinq millions. Cela me parait raisonnable, non ?
-ET TU CROIS QUE JE VAIS TE PAYER AUTANT !? cria Sly, hors de lui.
-Tu a plutôt intérêt, sinon… »
Sly le coupa. Il perdait patience :
-Sinon quoi ?
-Tu veux vraiment savoir ? »
McSweeny fut coupé pour un seconde fois, à cause d’un double appel.
« Répond « monsieur l’inspecteur », je reste en ligne. Mais tu risque d’avoir une surprise. »
Sly prit le deuxième appel, un peu déboussolé.
« Allo ?
-Mon… m’sieur Cooper ?
-Leslie ? »
Au ton de sa voix, on pouvait deviner qu’elle pleurait. Elle hoqueta :
-Quand c’est… arrivé j’m’suis dit d’a… appeler la po…olice mais comme vous êt… êtes de la police je me suis dit…
-Leslie s’il te plait calme toi et ne tourne pas autour du pot. Qu’est ce qui se passe ?
-C’est Benjamin, m’sieur. Il a disparu.
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Au troisième et quatrième chapitre y aura de la baston.
S'il vous plait laissez des commentaires.

Moi jte met des coms et le chapitre 2 est bien mais met de la baston que Sly se prenne des coups de lattes , jvtais faire de la pub

Pff... décidemment y pas beaucoup de lecteurs.
Mais voilà la suite.
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1ère partie/Chapitre 3 : De voleur à volé

A cette annonce, le cœur de Sly faillit bien le lâcher :
« Disparu ? Mais comment ?
-Quan…and miss Fox est partie, j’l’ai mis au li…it pour faire la sieste et quand je suis allée le révei…eiller il était plus làaaAAAAAAAAA ! Bouhouhoooooooou ! »
La jeune panthère n’était décidemment pas en état de parler. Sly tenta tout de même de la rassurer:
« Leslie calme toi. Je me charge de le retrouver, mais toi tu surveille Carmen à la maison, d’accord ?
-D’accord, sanglota la baby-sitter entre deux hoquets »
Sly remit aussitôt la ligne sur laquelle McSweeny était. Ce dernier avait comprit que le raton laveur savait où se trouvait son fils. Le morse reprit alors :
« Pour l’instant il n’a rien. Mais il risque de lui arriver des bricoles si tu ne rapplique pas avec ce que tu me dois. D’ailleurs, j’ai lu sur tes dossiers qu’on t’avait retrouvé amnésique. »
Sly comprit à ce moment là qu’il avait fait une erreur monumentale. Il s’était effectivement trahi au moment même où il reconnu McSweeny au téléphone. Ce dernier continua :
« Alors évite de demander des renforts. Si tes collègues comprennent ton petit jeu, tu risque de le regretter le reste de ta vie. Pour me retrouver, tu sors de ton bureau et tu passe de l’autre côté du Rhône. J’suis dans un petit hangar. Tu viens avec l’argent le plus tôt possible. Mais il y a un moment où la patience atteint sa limite. »
Le morse avait raccroché depuis longtemps et pourtant Sly avait encore le téléphone collé à l’oreille. Toutes les paroles prononcées par McSweeny résonnaient dans sa tête. Pour trouver autant d’argent en si peu de temps, c’était peine perdue. Le raton laveur gardât néanmoins son sang froid. On lui avait volé son enfance, il était hors de question qu’on kidnappe son fils. Il raccrocha enfin, puis prit un sac dans lequel il mit tous les billets du jeu de Monopoly qu’il avait offert à Ben pour Noël. Il n’avait aucune idée de ce qu’il allait faire, mais il était déterminé.
Il sorti de très bonne heure de son bureau et trouva facilement le hangar, malgré les indications peu claires de McSweeny. Hors ce dernier n’était pas là au moment où Sly entra dans le bâtiment. Le raton laveur se demanda même si il ne s’était pas trompé. A peine eu-t-il le temps de se retourner pour revenir sur ses pas qu’il prit un coup de poing au ventre. Sly eu un rictus de douleur. Un autre poing l’atteignit en travers du visage avant même qu’il ne puisse se relever. Il leva les yeux et constata avec horreur que Ben assistait à la scène, le regard remplit d’angoisse et dans l’incapacité de faire quoi que ce soit. Après avoir donné un troisième coup de pied, le morse annonça finalement :
« J’ai oublié de te dire au téléphone. La dernière volonté de M est que je te tue. »
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Voilà. Pour le quatrième chap' je suis un peu en panne sèche mais j'y réfléchi cet aprèm', promis.

Méchant! Mc Sweeny Sadique!

Non il est bien ce chapitre!

bon je crois que tout le monde est parti en vacances
(à part SquallCloud). Mais bon j'espère qu'a leur arrivée ils lirons. En attendant, voici le dernier chap' de la 1ère partie.
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1ère partie/Chapitre 4 : Arrivé inattendue

Après tout les coups qu’il avait pris, Sly était à bout de force. A part Murray, il ne connaissait personne qui pouvait frapper aussi fort. Mais contrairement à McSweeny, l’hippopotame ne taperait pas sur Sly. Au bout d’un moment, le morse s’arretat. Il recula et regarda le raton laveur avec fierté. Comme un artiste qui contemple son œuvre finie. Entre deux ricanements, il dit :
« Avec toute cette histoire, j’ai oublié de regarder si tu m’avais bien apporté les cinq millions. »
Au moment où le morse constata qu’il n’y avait que des faux billets dans le sac, Sly vit pour une seconde fois sa vie passer devant ses yeux. McSweeny aboya, hors de lui :
« ET EN PLUS TU OSE ME ROULER ? »
Il manifesta son mécontentement par quelques coups de poing sur la misérable carpette qui se trouvait devant lui, au sol :
« Je me doutait que tu n’aurais pas les cinq millions, mais me faire croire que tu les avais, c’est gonflé ! Tu es comme le reste de ta famille. Un misérable voleur ! Vous ne savez faire que ça. Voler ! Et duper les gens, comme le faisait ton père avec docteur M et moi ! »
Sly eu assez de force pour articuler quelques phrases :
« Je ne suis pas mon père. Ce n’est pas la peine que je paie pour ce qu’il t’a fais.
-Non c’est vrai. Alors je me contenterai de te faire payer ce que TOI, tu a fais. »
Le morse leva son énorme poing. Il allait porter le coup fatal à ce satané voleur. Soudain une petite silhouette orange sauta sur McSweeny, le déstabilisant et le faisant tomber. Benjamin n’avait pas compris l’histoire du gros monsieur, mais elle ne lui avait pas fais rire. Il ne voulait pas que son papa ai des plâtres partout parce qu’un bonhomme moche et gros lui avait fais pleins de bobos. Du haut de ses trois ans, il était déterminé à le sauver.
Entre temps, Sly s’était presque évanoui. En voyant la scène, il regretta de ne pas avoir sa chère serpe. A moins que… mais oui ! Dans la poche du sac ! Ce fut pour lui un effort gigantesque de tendre le bras vers le sac. Il prit l’arme qui était dans la poche, ordonna à Benjamin de s’écarter afin de ne pas le blesser accidentellement, pointa le pistolet vers le morse, tira et en un éclair, McSweeny fut paralysé de la tête aux pieds.
Le petit renard-raton se jeta dans les bras de son père, alors que celui-ci tombait de fatigue. Il eu tout de même la force de dire quelques mots :
« Ben, s’il te plait, ne parle de ça à personne d’accord. Même pas à maman, sinon elle risque de se fâcher.
-D’accord papa. »

Plus tard dans la journée

Sly ne s’était pas encore remis de toutes ses blessures et tentait de les soigner tant bien que mal. Il reçu un appel de l’hôpital. Cinq minutes après, il était en voiture, Benjamin et Carmen à l’arrière.
« Dit papa. Le gros monsieur il viendra plus t’embêter ?
-Je ne pense pas non. Il est retourné là où il s’était échappé il y a quelques mois. En prison.
-Na ! Tant pis pour lui. »
Arrivé à la chambre de Carmelita, Sly vit un berceau, dans lequel gigotait une minuscule silhouette grise. Il prit Benjamin dans ses bras et lui montra la jeune ratonne :
« Ben, voici ta petite sœur Jennissy. »

Fin de la 1ère partie
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Voilà maintenant vous comprenez d'où vient mon pseudo. Mais je tiens à noter que j'ai inventée les personnages (les enfants de Sly et Carmelita) depuis presque un an et l'histoire depuis plusieurs mois.

La deuxième partie sera plus longue, plus remplie d'action, plus remplie d'humour (faudra bien que je trouve quelques blagounettes, non? ).
Malheureusement la fic ne risquera pas de beaucoup avancer entre le lundi 3 et le vendredi 8 aout parce que je partirai (enfin! ) en vacances.

T'est la fille de Sly et de Carmelita?!
Faudrait que tu m'apprennes les techniques du Volus Ratoonus!
Sinon ce chap est le meilleure!(pour le moment )

En fait mon pseudo il fait juste référence au perso de Jennissy. Mais après dans la vrai vie, non, je ne suis pas la fille de Sly et de Carmelita.
Après ça me fait plaisir de lire que ce chapitre est le meilleur.

tu as gagné un nouveau fan ta fic est vraiment exellente, l'histoire est vraiment bien imaginée et tu écrit très bien !
Continue !

Zeldor et moi on s'occupe de la pub !

Merci, rien que pour vous j'essayrai de poster le début de la 2ème partie. Mais pour la pub je crois que c'est pas la peine, mais merci quand même.

T'as vu Zeldor ,on est gatée ,bientôt la deuxieme partie

Voilà pour les deux gatés donc...
J'espère que ça vous plaira. Bonne lecture.
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2ème partie/Chapitre 1 : Phénomène innatendu

Lyon, Siège d’Interpol

Sly et Carmelita avaient presque finis leur journée. La lumière orangée qui pénétrait dans leur bureau signalait la fin de l’après midi. Néanmoins les deux inspecteurs étaient encore en grande discussion, malgré le fait que chacun des deux avait la tête ailleurs :
« Je suis sûre qu’on l’aura à son petit jeu, termina Carmelita après une longue description de la criminelle.
-C’est vrai ? Tu as prévu des jeux ? dit Sly qui ne parlait pas du tout du même sujet.
-Façon de parler. C’est pour l’attraper, quoi.
-Bonne idée. En sortant de l’école, on lui fera une grosse surprise.
-Tu l’as dit. A moins que… et si elle prenait la voiture pour s’enfuir !
-La voiture ? Mais elle est trop petite pour ça enfin !
-Tu as raison. Un mètre trente deux pour prendre le volant…
-Et pour Benjamin, on fera quoi ?
-C’est son complice ?
-Et bien oui, c’est son frère !
-Alors on s’occupera de lui aussi.
-Par contre je n’ai aucune idée pour les cadeaux…
-Ne t’en fais pas, je leur ai réservé deux chambres.
-Deux chambres ? Où ça ?
-En prison, Sly. Quand je dis chambre, c’est cellule en prison. Je faisais de l’humour.
-Attend, on parle de quoi là ?
-Qu… ? Alors depuis tout à l’heure tu ne m’as pas écoutée ?!
-Et bien, euh…
-Il y à eu un braquage de banque ce matin. La voleuse est une naine de trente six ans et elle n’a pas agit seule ! Or, on ne connait pas son complice.
-Je te signale aimablement que Carmen va fêter ses neufs ans et Ben va en faire onze ! J’ai bien le droit de penser à leurs anniversaires, non ? »
Carmelita, qui était de nature très irritable, commença à crier :
« Il y a un temps pour penser aux anniversaires et un temps pour penser au boulot. Et au bureau on pense boulot ! Penser aux anniversaires se fait à la maison, au calme !
-Tu insinue donc que penser du boulot au bureau ne se fait pas au calme, demanda Sly d’un air détendu et un rien moqueur. »
Dehors, Damien ferma la porte des bureaux à clé, vu qu’il était toujours le dernier à partir. Juste à l’extérieur du bâtiment se trouvait un banc, sur lequel il vit trois enfants. Le premier était un garçon d’une dizaine d’années, aux allures de raton laveur, mais dont le pelage était orange. Il avait une petite mèche qui partait vers l’avant, et ses yeux étaient entourés d’un large masque noir. A côté de lui, une petite renarde faisait ses devoirs. Même si ses longs cheveux lisses d’une couleur bleutée étaient attachés en arrière par un chouchou, quelques mèches cachaient ses grands yeux. La dernière, une petite ratonne laveuse, patientait en mâchouillant le bout de sa longue tresse. Damien alla à leur rencontre et leur demanda s’ils attendaient quelqu’un. La petite fille qui se trouvait au milieu répondit :
« On attend nos parents. On rentre tous ensemble le soir. L’école n’est pas loin. Je crois que vous devez les connaitre. Ce sont les inspecteurs Fox et Cooper. »
A cette annonce, le jeune chat couru vers les bureaux, affolé, reconnaissant sa bêtise. Il avait pris soin de fermer toutes les portes à clé et si le couple n’était pas déjà parti, cela voulait dire que…oh non. Cela voulait dire qu’il les avait enfermés dans leur bureau. Il ouvrit rapidement la porte et allait commencer à s’excuser, quand il découvrit un spectacle qui le laissa perplexe. Miss Fox, hors d’elle, poursuivait l’inspecteur Cooper, à qui cette course-poursuite n’avait pas l’air de déranger et qui répétait en riant :
« Mais ne le prend pas mal, c’était pour plaisanter. »
Damien resta bouche bée devant l’étrangeté de la situation. Les deux inspecteurs, surpris, s’arrêtèrent, un peu embarrassés. Le jeune chat repris l’usage de la parole et fit remarquer au couple que leurs enfants les attendaient devant le bâtiment.

Plus tard dans la journée, quelque part à Paris

Cela faisait plusieurs années qu’il travaillait dessus et elle était enfin terminée. Bentley contemplait sa machine. Il n’en était pas peu fier. La tortue fut rejointe par Penelope, qui apportait deux grands verres de limonade.
« Alors, elle avance ta machine ?
-Elle est enfin finie, dit le petit génie avec fierté.
-Waouh ! Sans blagues ? J’espère qu’elle marchera.
-Bien sûr qu’elle marchera. Enfin, il faudrait d’abord que je fasse des petits tests, pour voir.
-Si tu faisais une petite pause avant ?
-Mouais… bonne idée. »
La souris revint à son occupation première, c'est-à-dire l’ordinateur.
« Tiens, on a reçu un e-mail de Murray. Il est qualifié pour la finale du rallye de vans.
-Ouah. Chapeau. Faudra qu’on aille voir. »
Bentley bu son verre de limonade d’un trait et reprit aussitôt :
« A part ça, on a toujours aucune nouvelle de Sly ?
-Non aucune.
-Pff… j’ai fait tout ce que j’ai pu pour le retrouver sur Internet, je n’ai absolument rien trouvé sur lui.
-Dis donc tu n’es pas allé chercher bien loin alors. »
Bentley se retourna vers Penelope. Celle-ci pointait l’écran de l’ordinateur du doigt, un sourire narquois affiché sur les lèvres. La tortue se rapprocha, perplexe. Où n’avait il pas regardé ? La petite souris venait de rentrer dans les fichiers secrets d’Interpol et avait trouvé celui de Sly.
« Incroyable ! Tu es vraiment la reine du piratage, dit-il à Penelope en lui faisant une bise sur la joue.
-Il est devenu inspecteur et fait équipe avec Carmelita Montoya Fox.
-Ca ne m’étonne pas.
-Il travaille à Lyon… Et si on lui envoyait une lettre ou un e-mail, il y a son adresse.
-Si on l’invitait carrément au Refuge ?
-Tu crois que…
-On peut toujours essayer. Ce serait bien si on se revoyait tous, non.
-OK.
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Voilà. Le quiproquo du début (entre Carmelita et Sly) est une idée de ma petite soeur.
(Merci ma petite )

elle a eu une bonne idée ta soeur, j'adore le début

C'est clair qu'il fallait trouver le debut! Chapeau petite soeur de Jenissy!

tiens j'avais pas vu cette fic !
elle est différente de celle de gag mais j'aime bien le genre surtout avec les enfants (jme demande si il va pas finir comme son père Ben)
Y'a pas juste un problème d'incompatibilité entre Sly et Carmélita XD ?
Sinon bravo 2eme fille de Sly (soeur de Jenissy) pour l'idée !

Sinon continue j'attends la suite !

La suite sera peut être pour demain, mais en attendant j'ai mis un dessin des personnages en avatar. Donc si vous voulez voir à quoi ressemble Jennissy, Carmen et Benjamin, vous cliquez sur le petit point d'interrogation à côté du pseudo.

ok vivement demain alors ^^ !
J'aime bien le renard rayé façon raton (ben).
C'est toi qui les as dessinés ?

je crois oui, elle a aussi dessiné son précédent avatar qui semble représenter une version féminine de Sly