Sorti sur console Xbox One début novembre, et auréolé d’un joli 18/20 dans nos colonnes, Rise of the Tomb Raider débarque donc enfin dans l’univers PC. Une arrivée qui, sur un plan technique, risque d’être intéressante à plus d’un titre.
Pour commencer, Rise of the Tomb Raider est la suite d’un reboot qui avait reçu plutôt bonne presse sur nos machines, nous offrant une réalisation aussi efficace que bluffante visuellement. Mieux, son moteur du jeu (le Foundation Engine) s’était offert à l’époque la primeur d’une technologie graphique inédite, baptisée TressFX, et qui avait fait grand bruit, autant pour le réalisme qu’elle apportait à la modélisation de la chevelure de Lara Croft, que pour le coût en ressource qu’elle induisait. Sachant tout cela, on avait donc hâte de voir comment Nixxes, le studio mandaté par Crystal Dynamics pour accoucher de cette version PC, allait faire évoluer son moteur, et quel allait être l’impact des nouvelles technologies intégrées.
Enfin, Rise of the Tomb Raider sur PC devrait alimenter un autre enjeu : celui du match qui oppose régulièrement AMD et NVIDIA. Car la technologie TressFX que nous mentionnions avait été développée en partenariat avec AMD, et quoi de plus normal : la marque rouge et noire et l’éditeur Square Enix ont toujours collaboré étroitement, que ce soit sur les licences Deus Ex, Hitman ou Thief. Oui, sauf que cette fois, Square Enix a choisi la bibliothèque Gameworks de NVIDIA, pour assurer son support graphique. Il conviendra donc de voir si des options graphiques spécifiques à une marque sont présente, et si globalement, il n’y a pas de disparités dans la prise en charge des différents GPU du marché.
Sommaire
Vous constaterez en parcourant le sommaire ci-dessous que ce dernier est légèrement plus court que ceux de nos précédents guides techniques de jeux PC, puisque nous avons en effet supprimé la page regroupant la plupart des benchmarks CPU, GPU, mémoire. Cette partie nous paraissait éditorialement moins intéressante que les deux autres, aussi nous avons préféré la fusionner avec celle traitant des spécifications techniques et recommandées (les informations qu’elle contenait ne sont donc pas perdues).