CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + populaires
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • Black Friday
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Smartphones
    • Mobilité urbaine
    • Hardware
    • Image et son
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Metro : Last Light
Tests
  • Accueil
  • Actus
  • Tests
  • Vidéos
  • Images
  • Soluces
  • Forum
Test Metro : Last Light

Metro : Last Light : Monakh prend le métro

Metro : Last Light
25 248 vues
Profil de Lespol,  Jeuxvideo.com
Lespol - Journaliste jeuxvideo.com

Trois ans après la sortie de Metro 2033, 4A Games revient avec une suite adoptant un principe similaire. Préparez-vous donc à un FPS narratif basé sur une ambiance prenante et un côté survival-horror marqué, tout en proposant un aspect couloir et scripté à la Call of Duty. Si cette formule fonctionnait en 2010, est-elle encore pertinente en 2013 ?

Metro : Last Light

A l'origine de Metro 2033, il y avait un livre. Celui-ci a connu une suite logiquement nommée Metro 2034 contant les aventures d'un héros inédit dans une nouvelle ville. 4A Games n'a toutefois pas choisi d'adapter cet épisode, préférant se concentrer sur le héros du premier opus : Artyom. Last Light s'affranchit donc des romans afin de narrer une histoire inédite, mais rassurez-vous, le scénario et les dialogues de Last Light ont été écrits par l'auteur des romans himself, à savoir Dmitri Gloukhovski. On y retrouve alors un Artyom dévasté par la fin de l'épisode précédent (la fin classique, pas l'alternative) et cherchant à se racheter une conscience tout en tentant de prévenir une guerre latente entre les différentes factions qui se sont installées dans le métro moscovite afin de fuir l'hiver nucléaire. Le Reich, les communistes, etc., tous sont encore là pour servir une intrigue souvent intéressante et au rythme bien dosé permettant d'en apprendre un peu plus sur l'univers passionnant de Metro à travers différents flash-back et témoignages. D'ailleurs, chaque NPC croisé a quelque chose d'intéressant à dire, si bien qu'on passe finalement beaucoup d'heures à simplement écouter ce qui se raconte dans les tunnels crasseux des villes. Certains pourraient y voir un manque de dynamisme ou même une source d'ennui, mais en réalité il s'agit là de la principale force de ce jeu qui se veut clairement narratif et contemplatif. Notons que, comme dans le premier opus, tous les dialogues sont disponibles en français, anglais ou russe, mais nous vous conseillons fortement le dernier choix, nettement meilleur pour l'immersion.

L'immersion avant tout

Metro : Last Light
Même sur consoles, Metro Last Light est très joli.
Cette immersion passe aussi par une bande-son soignée et des graphismes franchement jolis, même sur consoles. Certains plans en extérieur passent ainsi quasiment pour des artworks, si bien qu'il n'est pas rare de prendre une seconde ou deux (mais pas plus, les masques à gaz sont rares) pour s'arrêter et contempler les lieux. Cela est d'autant plus vrai que 4A Games a diversifié quelque peu ses environnements, emmenant le joueur des quartiers populaires de la ville à la Place Rouge en passant par une version souterraine et post-apocalyptique de Venise. Les tunnels ne sont d'ailleurs pas en reste et bénéficient d'une atmosphère étouffante magnifiée par des effets lumineux d'une qualité rarement égalée. Evidemment, on est très loin de ce qui est affiché sur la version PC et il ne faut pas non plus s'attendre à du 1080p. De même, certaines textures bavent un peu, certains effets comme la brume ou la fumée sont clairement des sprites 2D, les ombres sont parfois capricieuses, mais le résultat est globalement satisfaisant et au-dessus des standards actuels sur consoles. Finalement, on doit être au niveau des presets bas ou moyens de la version PC, ce qui n'est déjà pas si mal.

Metro 2033.5

Metro : Last Light
L'ambiance est pesante.
Au niveau du gameplay, on retrouve quelque chose de très très proche de Metro 2033 avec ce que cela comprend de couloirs à explorer en prenant de temps à autre une porte dérobée afin de trouver de précieuses munitions ou autres filtres de masques à gaz. L'économie est alors la norme afin de ne pas mourir asphyxié ou tomber en rade contre un ennemi puissant. De là naît un côté survival magnifié par la lumière vacillante d'un briquet, mais malheureusement un peu limité par la présence de nombreux équipiers en début d'aventure. Notons que les balles sont à nouveau divisées en 2 catégories distinctes : les munitions pré-apocalypses, puissantes et rares, servant de monnaie et donc à l'amélioration (viseur, silencieux, pointeur lazer, etc.) et à l'achat d'armes, puis des balles artisanales pour chaque catégorie de pétoires. Notons à ce propos qu'on remarque simplement l'apparition d'une machine gun, ce qui constitue une nouveauté sympathique l'espace d'une séquence de jeu, mais ne bouleverse en rien l'expérience. 4A a donc choisi de ne pas changer sa formule, ce qui n'est pas problématique en soi et ne devrait pas choquer les fans outre mesure, mais il aurait au moins été de bon ton de corriger les quelques défauts du premier épisode.

Un gameplay perfectible

Metro : Last Light
L'IA n'est pas bien maligne.
Last Light souffre ainsi des mêmes maux que son prédécesseur, à commencer par une IA pas terrible, surtout lorsqu'on choisit d'éviter l'affrontement direct et brutal en jouant la carte de l'infiltration. Les développeurs ont bien cherché à améliorer la chose en accordant notamment une importance toute particulière à la lumière et aux ombres, mais l'IA ne se montre malheureusement que peu réactive et pas spécialement intelligente. Il est donc souvent facile de franchir une salle via les chemins de traverse sans être repéré, ce qui limite l'intérêt. Et quand on choisit de bourriner, le résultat n'est pas non plus exceptionnel dans la mesure où les déplacements du héros sont souvent laborieux, qu'il n'est pas possible de se décaler pour tirer derrière un obstacle et que les armes manquent globalement de pêche. L'ensemble n'en reste pas moins acceptable en comparaison des combats contre les monstres mutants. Extrêmement brouillons, ceux-ci se montrent souvent frustrants, notamment contre certains boss qui font figure d'éponges à balles. Il aurait également été mieux de se priver de quelques phases de rail-shooting. Last Light n'en reste pas moins un très bon jeu qui devrait sans peine séduire les fans du premier opus et les occuper entre 10 et 12 heures, selon le mode de difficulté choisi. A ce propos, terminons d'ailleurs ce test sur un petit coup de gueule : le mode Ranger qui se distingue par l'absence totale de HUD est réservé aux joueurs ayant précommandé puis devrait par la suite être proposé sous forme de DLC. Pas très sympa...

Points forts

  • Immersion excellente
  • Plutôt beau, même sur consoles
  • Environnements variés
  • Scénario riche en révélations
  • Bande-son soignée
  • Durée de vie correcte (10 à 12 heures selon la difficulté)

Points faibles

  • IA à revoir
  • Combats contre les monstres brouillons
  • Certaines phases inintéressantes et frustrantes
  • Le mode Ranger réservé aux précommandes
  • Peu de nouveautés

Fort de graphismes sympathiques, d'un scénario accrocheur et d'une immersion exceptionnelle, Metro : Last Light devrait sans peine séduire les fans du premier opus et de l'univers de Dmitri Gloukhovski. Il aurait toutefois été de bon ton d'améliorer l'IA et d'apporter quelques modifications à une jouabilité déjà critiquée il y a 3 ans. Reste que le mélange entre FPS grand spectacle et survival-horror fonctionne toujours et devrait réserver des moments agréables aux joueurs cherchant une expérience enivrante plutôt qu'un gameplay léché.

Note de la rédaction

15
17.3

L'avis des lecteurs (121)

Lire les avis des lecteursDonnez votre avis sur le jeu !
360 4A Games KOCH Media FPS Survival-Horror Jouable en solo Monstres Post-apocalyptique
Meilleures offres
Achetez vos jeux au meilleur prix :
- Dispo sur PC - 2.99€
A lire aussi
Le nouvel épisode de cette série de FPS d'horreur basée sur un roman ne serait vraiment pas pour tout le monde 30 janv., 11:56
Metro : l'auteur de la saga évoque de l'avenir de la franchise 13 déc. 2016, 08:34
Metro : Le prochain jeu pour 2017 09 nov. 2016, 10:27
Chute Libre : La fin de THQ, l’éditeur bipolaire 07 sept. 2015, 09:02
Dernières Preview
PreviewAvowed : Bien plus qu'un Skyrim-like ? Nos impressions après 2 heures sur PC Il y a 8 heures
PreviewMario & Luigi L'épopée Fraternelle : La dernière exclu Nintendo Switch de 2024 est un jeu de rôle toujours aussi efficace, mais... 21 oct., 15:07
PreviewThe First Berserker Khazan : un action-RPG prêt à se déchaîner en 2025 ou un Souls-like qui nous fait enrager ? 03 oct., 15:00
Les jeux attendus
1
Vampire: The Masquerade - Bloodlines 2
4ème trimestre 2024
2
Blue Protocol
2024
3
2XKO
2025
La vidéo du moment